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Nos balades commentées - Page 10

  • Dimanche 20 février

    Carnavet.jpgExposition Vuitton
    Invitation au voyage… L'approche de l'évasion nous a été donnée par la visite à Carnavalet de la belle exposition Vuitton. Entraînés par un guide formidable, qui nous a quasiment embarqués vers une autre époque, dans les malles diverses, superbes d'aspects extérieurs, ingénieuses de par leurs contenus ou leur commodité recherchée, nous avons pu enfin constater l'évolution des bagages en général suivant leurs formes et les techniques de fabrication.

    Nous étions tenus en haleine grâce aux récits historiques si vivants, sur les modèles spéciaux commandés par des célébrités exigeantes en fonction de leurs professions ou déplacements particuliers soit, en bateau, train, automobile, puis en avion.

    Le déjeuner
    Mais les voyages…. ça creuse ! C'est connu ! Et comme tout se gagne… D'un bon pas, le groupe s'est dirigé vers le restaurant, place de la Bastille.

    Une salle mise à disposition, nous attendait. Dans la bonne humeur, chacun passa commande puis, sans "qu'un ange passe" les verres se levèrent, les fourchettes s'agitèrent, de table en table, éclats de voix, de rires, ambiance légère… Mais ne pas oublier qu'une promenade suivait et que des amis nous rejoignaient !

    Après-midi Promenade
    Enfin prêts à remonter le Faubourg Saint-Antoine, avec de nombreux arrêts pour évoquer le passé. Un détour à la maison de Verlaine, puis faisons bloc, pour écouter l'histoire des momies de la Bastille… des fontaines d'époque Louis XV, de la statue de Ledru-Rollin (que Jean voyait de sa fenêtre quand il était jeune… Et que nous avons cherchée grâce à son croquis préparé).

    IMG_3416.jpgIMG_3428.jpg

     

     

     

     


    Fontaine d'époque Louis XV/Fondation Eugène Napoléon 

    Au square Trousseau était bâti un hospice pour enfants trouvés, puis sont évoqués la mort de Baudin, la révolte chez Réveillon, l'histoire du cochon de St-Antoine, la fondation Eugène Napoléon, l'interrogation sur les immeubles industriels, puis la place de la Nation et sa superbe statue de Dalou.

    Gaillardement le groupe a suivi, suscitant l'étonnement de jeunes souriants, pensant à une manif du 3è âge ou que les portes de la maison de retraite s'étant ouvertes, nous nous en étions échappés !

    Nous avons bien rigolé…. l'humour est toujours le bienvenu.

    Ninette

  • Promenade de St-Paul à Carnavalet

    Le samedi 27 novembre 2010 nous nous sommes donnés rendez-vous devant l'église St Paul encore hantée par Mme de Sévigné et Victor Hugo avant de nous diriger vers la Place des Vosges à la recherche notamment d'un graffiti de Restif de La Bretonne.

    Ceci fait, direction le Boulevard Beaumarchais et le souvenir de l'affaire Philippe Daudet qui fit frémir la France en 1923 avant de nous intéresser aux domiciles de Cagliostro et de Mme de La Motte,protagonistes de l'affaire du Collier.

    Hélas! l'église Saint Denys du Saint Sacrement (et sa "Piéta" de Delacroix) était fermée. En route donc pour le si étonnant square Georges Cain avant d'achever notre promenade dans la cour du Musée Carnavalet au pied de l'unique statue originale du Roi-Soleil.

    Jean-Paul

  • Visite de la Basilique de Saint Denis

    Basilique.jpgC'est la rentrée, pas toujours joyeuse, parfois contraignante. La nôtre, s'est voulue emplie de sagesse, culturelle, artistique à la fois, en ce 1er R.V. à la Basilique Saint-Denis, qui débuta par une protestation à l'entrée, du fait du groupe incomplet à l'heure dite. Mais voici les retardataires !... Ouf ! Nous pouvons enfin entrer !

    Une maquette de Saint-Denis en 1600 nous accueille.  Rappelons-nous !

    Encore un détour pour assister au film documentaire pédagogique qui relate les fouilles, sachant que celles-ci continuent.
    (Les inconnus sont toujours là, mais partiront notre programme en poche.....)

    Après un dernier regard sur cette superbe nef altière, nous terminons la visite par le portail extérieur, puis contournons le jardin pour venir sur l'emplacement de "la Rotonde des Valois" là où se trouvaient leurs tombeaux.

    HC.jpgNe subsiste que le tracé en arrondi, avec au centre 2 lettres dorées entrelacées Le H et le C.
    (Nous avons su les identifier, bien formés que nous sommes !)

    Cet après-midi nous avons fait une belle révision d'histoire, dans un cadre magnifique  qui sera évoqué lors de la prochaine discussion, sur Aliénor d'Aquitaine.

    Soyons "sur nos gardes"  pour répondre aux éventuelles interrogations.

    Ninette

  • Journée à Vincennes

    Alors que certains sont déjà partis, que d'autres préparent leurs bagages, un bon groupe s'est retrouvé au Château de Vincennes, pour y connaître suivant les siècles, l'évolution de sa construction.

    Comme Saint-Louis sous son chêne, nous étions sous les arbres bien à l'ombre dans la cour pour écouter le guide.

    Avec parcimonie nous nous déplaçons évitant les rayons de l'astre lumineux, afin d'en savoir davantage sur la chapelle, le donjon.

    Celui-ci fraîchement restauré est impressionnant de puissance. Allons-nous monter jusqu'au sommet ? Non , simplement 2 étages afin d'y découvrir la salle du conseil, la chambre du roi avec son coin garde-robes, la chapelle, les latrines.

    Un escalier à vis nous mène au rez-de-chaussée dans la salle des réserves, avec le puits, les pavés authentiques et les lourdes portes venant de la prison du Temple.

    Notre matinée devait se terminer par l'exposition de Sainte-Anne d'Auray " Les anges musiciens " qui grâce au fil conducteur d'un questionnaire permit de regarder plus en détails des peintures, sculptures, vitrines, vitraux, surmontant ainsi quelques difficultés.

    Avec toute la bonne volonté du monde, les Arts Célestes même Bretons, ne nourrissent pas la meilleure troupe qui soit, surtout à l'heure très avancée du déjeuner !

    Certains iront pique-niquer, d'autres préfèreront se mettre les pieds sous la table. Justement le ciel prend une tournure inquiétante !

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  • 2 - Les passages couverts des grands boulevards

    Suite de la note du 15 juillet

    Suivons le passage DES PRINCES (1860) le dernier qui fut créé. Essentiellement consacré aux enfants, garni de boutiques de jouets, possibilités de fêtes, organisation d'anniversaires etc...

    Tout près LE PASSAGE DES PANORAMAS (1800) le plus riche de Paris, décoré de miroirs trompeurs sur leurs dimensions. C'est dans ce passage que se fit en 1817 le 1er essai de l'éclairage au gaz, inventé par Lebon. On y trouve des cafés, restaurants, boutiques de livres, tableaux etc..

    Composé de 6 galeries (1834) Saint-Marc, Variétés avec Stern le graveur, et l'entrée des artistes du théâtre Montmartre, Feydeau, Bourse, plutôt des tronçons de raccordements aux rues adjacentes. Très sombres, Tristounets !

    Nous voilà AU PASSAGE JOUFFROY (1845) structure de fer et verrière mieux conçue pour plus de luminosité et de ventilation.

    Boutiques de livres anciens, rayon librairie, belle pâtisserie, vitrines de luxe, présence du " Musée Grévin " (1882), au fond " l'hôtel Chopin ".

    Une anecdote : lors d'une pièce triomphale, qui occasionna une réception grandiose, Rossini ne put rentrer libre chez lui, trop de foule exaltée qui ne le reconnaissait pas, malgré ses dires " Je suis Rossini. C'est moi Rossini..."

    Traversons la rue, Lire la suite >>>

  • 1 - Les passages couverts "Quartier St-Honoré"

    Un bon orage se déclare juste avant notre R.V pour la promenade des passages couverts. Après une bonne rincée, une vingtaine de courageux, parapluies en mains, se dit : "Quand faut y aller, faut y aller" !

    Finalement, plus l'heure tourne, plus le ciel devient clément et puis sous les passages, nous sommes à l'abri.

    Commençons par ceux du vieux QUARTIER SAINT-HONORE

    LA GALERIE VERO-DODAT fut la 1ere galerie (1826), son nom celui de 2 charcutiers célèbres. C'est une succession de boutiques uniformes aux devantures de glaces liées par des bagues en cuivre, au plafond peint de paysages, et une jolie frise de palmettes dorées orne le haut des murs. Très beau.

    Passons devant "la maison des bons-enfants", originale avec ses façades recouvertes de fer forgé gris entrelacé ; Voici le jardin du Palais Royal , les colonnes de Buren.

    Entrons dans LA GALERIE D'ORLEANS (1829), Autrefois temple de la galanterie "les femmes de mauvaises vies" nommées " Castor, 1/2 Castor, Castor fini" possédaient leurs catalogues d'activités professionnelles......

    Le 1er étage était autrefois, occupé par des cafés, cabinets de lecture, tripots, jeux. La fameuse phrase de 1968 " Interdit d'interdire " aurait été prononcée à l'époque par le Duc d'Orléans propriétaire des lieux !

    Au passage découvrons là, où Colette a passé ses dernières années.

    Continuons par le passage DES 2 PAVILLONS pour accéder :

    À LA GALERIE VIVIENNE (1823) la plus grande, la plus élégante avec sa décoration empire. Repérons un négociant en vins, que des grands crus, d'énormes bouteilles dans une boutique de présentation ancienne. Vidocq aurait demeuré là au n° 13.

    Au sortir , un coup d'œil sur la vitrine de Jean-Paul Gaultier

    Voici LA GALERIE COLBERT rivale de VIVIENNE, construite pour concurrencer celle-ci, avec une rotonde au "dôme vitré " de 15 m de diamètre.

    Pas de commerces, mais de nombreuses salles probablement de réunions, réservées à des institutions (Institut national des Arts, Universités etc..) D'où la présence d'un gardien à chaque extrémité !

    LE PASSAGE CHOISEUL (1826) le plus long 190 m tous commerces, là se trouve le "Théâtre des Bouffes Parisiens" où Offenbach connu le succès. Céline, y ayant passé son enfance, l'appelait "Le passage de la Bérézina" ! Sa mère possédait une boutique de mode "Morgane" qui existe toujours.

    Passons devant l'Opéra Comique de 1714, réhabilité ; bien beau ! Autrefois "Salle Favart", nom du créateur de comédies musicales où comédiens, chanteurs, musiciens, tous français s'y produisaient.

    Tournons la tête ! Tiens ? Juste en face la maison natale d'Alexandre Dumas Fils.

    Prochainement "Les passages des Grands Boulevards"

    Ninette

  • Balade sur les pas d'Alexandre Dumas

    La chanson dit : "Alouette je te plumerai, la tête", j'ai cru comprendre "Ninette je te plumerai la tête". Et pourquoi faire?

    Pique-nique-Fore-Retz.jpgDoutant de sa capacité, non, la plume de mon serre-tête n'écrira pas ! Aurait-elle le style suffisant pour ne pas me faire résumer, comme une oie blanche, cette journée magnifique, passée dans les traces d'Alexandre Dumas ?

    Même avec le stylo, je laisserai donc cette tâche à plus calé. Un nègre ? Un esclave ? Non au passionné qui bouclera ainsi le sujet.

    Lors de la discussion précédente, si vous n'avez pas tout saisi, ou si vous avez oublié quelques détails, sur le Général et Alexandre Père, là, vous avez été servis en informations répétées. Mais de quoi parler d'autre dans ces lieux, que de ces deux destins bien remplis ?

    En ce qui me concerne, pour ne pas manquer à mon devoir de "scribouillarde" je vous ferai part de banalités et balivernes sur cette balade en Picardie agréablement guidée sous un beau soleil, puis le pique-nique dans cet endroit paisible au vert, enfin la beauté du site de Port Marly.

    Vos photos appuieront mes dires !

    Cette journée vécue comme un avant goût de vacances, me rappelle la fin des années scolaires avec le bilan du conseil des maîtres ! Que ce serait-il dit ?

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  • Sur les traces d'Alexandre Dumas

    Ce matin du samedi 26 juin 2010 branle-bas de combat dans la maison, il s'agit de ne pas rater le départ du car Place de la Nation, dès 7h30 pour Villers-Cotterêts terre natale d'Alexandre Dumas dont nous avons décidé de suivre les pas.

    IMG_2828.jpgArrivés vers 9h au lieu-dit rendez-vous à l'office du tourisme direction le Musée d'Alexandre Dumas où nous attendent dans les salles d'un hôtel particulier, des souvenirs émouvants notamment les lettres manuscrites des parents (le Général Dumas et sa femme Marie-Louise Labouret) et de l'immense écrivain (une page du Comte de Monte-Cristo de sa superbe écriture, est particulièrement évocatrice).

    Visite terminée, en route pour le tour de Villers-Cotterêts, charmante ville provinciale où de sa maison natale au cimetière dans lequel il ne repose plus depuis son transfert au Panthéon, nous avons pu revivre les principaux faits de son enfance et de sa jeunesse (entrée à l'école, premier travail comme saute-ruisseau, première communion).

    Ceci achevé en route pour trouver dans la superbe forêt de Retz, un lieu pour pique-niquer près des mares où Alexandre pratiquait "la marette" et la "pipée".

    IMG_2898.jpgL'estomac lesté, de nouveau le car, après une promenade dans le Parc de Marly, il ne nous restait plus qu'à pénétrer dans le domaine du château de Monte-Cristo, où de 1847 à 1851 il recevait ses amis et leur préparait parfois de succulents plats de sa composition.

    Puis ce fut le retour pour Paris où malgré quelques ralentissements nous étions vers 19h30 ; une journée bien remplie !

    Jean-Paul

  • De Denfert-Rochereau au Musée Jean Moulin

    En ce jour de Fête des Mères nous avons fait une promenade dans le 14eme arrondissement de Paris, pour y revoir le superbe Lion de Denfert-Rochereau, placé en hommage à la résistance de Belfort en 1870.

    Barrière_d'Enfer,_place_Denfert-Rochereau,_Paris_03.jpgÀ cet endroit se trouvait la direction des résistants en 1944, les ordres venaient des souterrains situés sous l'un des pavillons de la Barrière d'Enfer.

    Notre parcours s'est fait à travers les jardins du quartier pour en apprécier le calme, et découvrir des sculptures. Un coucou à Serge Gainsbourg au cimetière Montparnasse, avant d'atteindre la place de Catalogne et son "Creuset du temps", puis le jardin Atlantique.

    Église_Notre-Dame-du-Travail_(Paris)_2.jpgAuparavant nous avons découvert "l'Eglise de Notre Dame du Travail" construite au début du XXeme siècle pour accueillir les ouvriers qui travaillaient pour l'exposition universelle.

    On y retrouve l'armature métallique d'Eiffel, un étage avec balustrade de bois, un ensemble très lumineux. Tout autour des chapelles ornées de peintures florales très diverses et des fresques de Saints-Patrons de certaines professions. Curieux édifice méconnu pour la plupart d'entre nous.

    Quelques pas encore pour arriver au but : le Mémorial du Maréchal Leclerc et le Musée Jean Moulin, qui de cette époque tourmentée contiennent beaucoup de documents fort bien présentés, vitrines, nombreux écrans de télévision où passent films et reportages sur les évènements. Nous avons pu admirer les talents d'illustrateur de Jean Moulin. De grandes salles à revoir.

    En arrivant, le 1er journal que nous avons lu daté du 21 juin 1940, signale dans un article "Nous avons perdu la guerre par le manque d'enfants" déclare le Maréchal Pétain ! Coïncidence ! Savez-vous que la Fête des Mères a été inscrite sur le calendrier à l'initiative du Maréchal ?

    Alors que nous n'étions pas, ou plus, avec nos mamans, nous n'avons pas démérité ! Ce jour spécial, plus, le ciel incertain, firent que nous n'étions pas nombreux, mais félicitations pour votre présence et l'exactitude, récompensées, car les parapluies sont restés fermés.

    Bon nombre ont découvert de cet arrondissement les spécificités appuyées par les explicatons nécéssaires pour satisfaire la curiosité déclenchée.

    Avec ce retour en arrière... Le temps s'est vite écoulé.... Un après-midi fructueux en souvenirs et découvertes dans ce Paris insolite.

    Ninette

  • Souvenirs de mai

    Le 8 et le 16 nous nous sommes embarqués pour "une journée Royale".

    Le départ fut un peu critique !... Forcément un jour théoriquement férié... se lever trop tôt pour être à l'heure du rendez-vous...dur, dur, pour certaines...

    Le chauffeur impatient fait vrombir le moteur, mais St-Christophe veille sur notre route dégagée, qui, à travers les champs cultivés, offrent leur coloris jaune vif, si éblouissant que le contraste des étendues vert tendre, apaise nos yeux.

    D'abord quelques descriptions devant le portail original, surmonté d'animaux autrefois des automates ; un cerf sonnait les heures de sa patte, tandis que 4 chiens aboyaient.

    Quelques belles pièces authentiques, mobilier, tableaux, plafonds etc... Bref un château !

    Après un court détour aux abords du parc, la chapelle nous accueille avec son superbe dôme composé de caissons en spirale, ce qui produit une impression de hauteur et de légèreté.

    Au sol le pavement en marbre reproduit le dessin des caissons de la coupole. (Je n'en dis pas plus, c'est juste pour se souvenir... Ah. Si et puis quand même).

    À l'extérieur contournons la chapelle afin d'admirer la statue de Diane chasseresse (Elle est nue ; est-ce pour se réchauffer qu'elle entoure de son bras, le cerf altier, heureux de ce câlin ?)

    Juste un instant encore à la chapelle funéraire pour y saluer l'imposant et curieux Tombeau de Diane, qu'elle doit réintégrer en fin de mois. (Tant mieux, sa statue agenouillée se sentira moins seule...)

    Quelques petits kilomètres pour atteindre Dreux, surtout le restaurant où le repas est prévu. (C'est que nos ventres commencent à chanter.)

    De nombreuses tables dressées, vêtues de nappes, sur lesquelles brillent plusieurs verres, nombreux couverts. Surpris et satisfaits nous choisissons nos places.

    Après un lever général de flûtes (Oh ! pardon, avoir porté un toast) sommes prêts à déguster un très bon menu. En effet, prenant notre temps... mais oubliant l'heure du rendez-vous pour la visite de la Chapelle Royale !

    Heureusement une guide charmante et pleine d'humour nous explique le passé de cet édifice et ses occupants privilégiés, qui nous reçoivent dans la crypte, sous la forme de gisants en marbre blanc, plus beaux les uns que les autres.

    Pour achever la journée n'ayant pas vraiment envie de rentrer au bercail, passant par Houdan, nous faisons une halte.

    Après cette journée bien remplie, le retour se fait sans encombre et tout le monde est très content.

    Voilà deux excellentes journées, si l'on en croit le plaisir que vous en avez retiré, à travers vos sentiments exprimés.

    Peut-on dire à la prochaine fois ?

    Ninette