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Nos balades commentées - Page 12

  • De la bastille aux Arènes de Lutèce

    Comme d'habitude sans peine,
    De la Bastille aux Arènes
    Je résumerai cette promenade effectuée
    En réponse, à ceux qui l'avaient désirée.
    Même s'il avait déjà guidé quelques-uns
    Jean-Paul avec soin, reprit ce chemin.
    Par contre, moi, je ne vais pas refaire le trajet
    Les présents très attentifs m'en voudraient,
    Leurs petons sont maintenant reposés
    Évidemment, je pourrai recommencer !
    Ne serait-ce que pour ceux restés à la maison,
    Sachez que même la pluie n'a eu raison.
    La coquine nous a permis
    Bd Henry IV.jpgUn grand rassemblement sous les parapluies.
    C'était bien joli, ce ciel bigarré
    De tissus plus ou moins colorés....
    Nous étions ravis, entraînés
    Par des faits et anecdotes contés.
    Pour réconforter de nos pieds les pouces
    Aux Bernardins, café, chocolats dégustés en douce !
    Alors des forces ont été redonnées,
    Pour continuer ce parcours et le terminer.
    Voici les Arènes, espace immense
    Un jardin verdoyant, terrain de jeux
    Où autrefois d'autres plus dangereux
    S'y déroulaient quand j'y pense...
    Surtout à la vue des cavités grillagéesCavités grillagées Arènes Lutèce.jpg
    Derrière lesquelles les fauves engagés
    Attendaient le moment de se dégourdir,
    Pour les combats, devant une foule en délire !
    Découvrir ce lieu pour certains, quel étonnement !
    Heureusement , la vie est un éternel recommencement.
    Notre chef de file, content à vrai dire
    D'avoir contribué à vous faire sourire,
    Souhaitant toujours vous faire plaisir
    Tel est le but, entre-autre de nos loisirs.

    Ninette

  • Suite à notre promenade du samedi 25 avril

    Bd Henry IV.jpgVoici le sonnet de Félix Arvers que nous avons évoqué Quai d’Orléans dans l’Ile Saint-Louis (il est né au n°12). Merci à Marie-Jeanne de nous avoir, de mémoire, récité la 1ère strophe.

     

    Mon âme a son secret, ma vie a son mystère
    Un amour éternel en un moment conçu
    Le mal est sans espoir, aussi j’ai dû le faire
    Et celle qui l’a fait, n’en a jamais rien su.

    Hélas ! J’aurai passé près d’elle inaperçu
    Toujours à ses côtés et pourtant solitaire
    Et j’aurai jusqu’au bout fait mon temps sur la terre
    N’osant rien demander et n’ayant rien reçu.

    Pour elle, quoique Dieu l’ait faite douce et tendre
    Elle suit son chemin, distraite et sans entendre
    Ce murmure d’amour élevé sur ses pas

    À l’austère devoir pieusement fidèle
    Elle dira, lisant ces vers tout remplis d’elle
    « Qu’elle est donc cette femme ? » et ne comprendra pas

    Mes heures perdues

    podcast

    Félix Arvers (1806-1850) cette mystérieuse femme mariée est sans doute la fille de Claude Nodier, écrivain et bibliothécaire de l’Arsenal élu à l’Académie Française en 1843.

    Jean-Paul

  • Promenade de mars

    En balade avec le chant des sirènes !

    Ne dit-on pas que les sirènes charment les marins ?

    Sans doute celles de notre Paris voulaient-elles envoûter notre guide, ou distraire ses auditeurs, le long de ce parcours où il en fallait si peu, pour que l'attention soit détournée.

    Pensez donc ! C'était une belle journée printanière, ciel bleu, chaud soleil, marronniers aux premières feuilles naissantes, pelouses jonchées de corps exposés qui farnientent...

    >>>> Lire la suite

  • Quelques pas vers Gainsbourg

     

    Pour notre première promenade de l'année, en ce dimanche de février, nous avons profité d'un bon soleil pour admirer en pleine lumière, de l'Arc de Triomphe du Carrousel, ses bas-reliefs et sculptures en l'honneur des batailles napoléoniennes.

    Le jardin des Tuileries héberge les femmes de Maillol. Donc, nous avons fait un détour auprès d'elles : La Méditerrannée, la nuit, la montagne, la baigneuse, les 3 grâces, Vénus, Flore, l'été, la douleur etc...Toutes superbes.

    Allons rejoindre la Seine, avec arrêts pour commenter le pavillon de Flore, le pont Royal, le quai Voltaire et ses hôtels où des noms célèbres ont séjouné : Ingres, Beaudelaire, Bugeaud et Voltaire qui y mourut.

    Notre parcours continue par la rue des Saints-Pères, la rue de Verneuil, pour y découvrir de Serge Gainsbourg, >>>>Lire la suite

  • Illuminations de Paris

    En ce dimanche-ci,
    À la tombée de la nuit
    Dans notre autocar, réunis, sommes partis
    Découvrir à Paris, les illuminations.
    Que de lumières
    À l’avant, comme à l’arrière
    Suscitèrent notre admiration !
    Le parcours fût agrémenté
    Par les commentaires « éclairés »,
    De notre fidèle et dévoué conférencier,
    Qui évoqua l’histoire évidemment,
    Le passé des rues, des monuments
    En cette soirée, le ciel étant clément,
    Nous avions tout le temps,
    D’observer précisément,
    Les splendides façades des Galeries.
    PC210188.JPGPC210187.JPG







    Véritables dentelles de lumières prêtant à la rêverie !
    Laissant tour à tour apparaître
    D’immenses motifs découpés,
    Tels des broderies ou mosaïques des Grands Maîtres !
    Nous découvrons la belle avenue
    Les Champs Élysées, tout de blanc vêtus,
    Grâce à des milliers de perles lumineuses
    Accrochées aux arbres comme la poudreuse,
    Laissant échapper des larmes,
    Vaste féerie, pleine de charme.
    Pour ces quelques instants
    Nous avons retrouvé nos yeux d'enfants.
    Pour continuer notre parcours
    L'avenue Montaigne habillée de beaux atours,
    Un arrêt devant l'étincelante tour,
    Vêtue de sa robe de cour.
    Arrivés dans notre quartier
    La fontaine aux lions illuminée,
    Nous signale que notre chemin
    Maintenant touche à sa fin.
    Tant mieux s'il a su vous plaire
    Quoi demander de plus, que de vous satisfaire?

    Ninette

  • Sur les chemins de Normandie

    Nous avons pris de bon matin
    Notre courage à deux mains,
    Pour quitter notre lit,
    Préparer le pique-nique aussi.
    Se faire une beauté
    Et vite se retrouver,
    En bonne compagnie
    Pour une journée en Normandie.


    Un peu de route en ce samedi,
    Nous mena sans encombre aux Andelys.
    Cet énorme château, dominant
    La Seine, offre un paysage époustouflant,
    Sous un soleil bienfaisant.
    Premier arrêt en pleine nature
    Le temps d'admirer, entourée de verdure,
    Cette magistrale construction
    Edifiée pour Richard Coeur de Lion.

    Nous reprenons la route pour la seconde escale.
    Parcours dans une campagne bien agréable,
    Invitant à la détente, aux blagues,
    Afin de mettre, dans le car, un peu d'ambiance :
    Avant d"écouter du guide ses connaissances,
    Nous conter après le château,


    La vie de l'abbaye, plus belles ruines de France
    A dit Maître Victor Hugo.
    Nous en faisons le tour sans manière
    Là encore, de beaux restes nous étonnèrent.
    Par chance, les rayons du soleil chaleureusement,
    Caressent ces vieilles pierres harmonieusement.
    Aucun bruit, si ce n'est de Jean-Paul la voix,
    Et le chant des oiseaux qui tournoient,
    Dans ces hautes tours finalement,
    Quelque chose d'impressionnant !

    Mais le moment arriva vite
    De songer au pique-nique.
    Installés au bord de l'eau agréablement
    Chacun se substanta confortablement.
    Qui a parlé de pluie ? de mauvais temps ?
    Sachez qu'avec Arvem
    On a souvent de " la veine " !
    Nous croisons encore les doigts, pour Rouen.



    Sous forme de promenade nous visitons
    L 'aître de Saint Maclou, endroit unique dit-on
    Bien caché, une vraie curiosité.
    Puis nous avons continué
    Par Notre Dame, la cathédrale
    Où nous attendaient vitraux, gisants,
    Avant qu'en petit train,
    Nous découvrons les belles maisons , autres monuments .
    Un tour dépaysant dans la vieille ville...
    Il fallait replonger dans la "vie civile"

    L'heure du retour ayant sonné.
    Nous voici assis à notre place retrouvée
    Pour un voyage cette fois sous la pluie.
    Alors, si on chantait les amis ?
    On ne craint plus celle-ci !
    Quelques vieux refrains en choeur repris,
    Pour clore cette journée bien remplie,
    Déroulée sans fatigue, et si j'en crois vos dires,
    Vous y avez trouvé beaucoup de plaisir.
    Merci à tous pour vos sourires.

    Ninette

  • Dimanche 6 juillet à Breteuil

    Que voilà un site pour régaler petits et grands.

    Notre groupe, sans enfants, essentiellement d'âge avancé, fût transporté sans souffrance, avec légèreté même, quelques années en arrière.

    Notre première étape fût le colombier médiéval couvert, vestige exceptionnel renfermant une exposition de représentations miniatures de scènes de tables, inspirées de célèbres tableaux.

    Le château nous a ravis par son intérieur si bien entretenu, ses belles boiseries, ses meubles marquetés, ses vitrines aux merveilleux cadeaux royaux, et surtout si vivant, grâce aux personnages de cire grandeur nature à qui il ne manque que la parole.

    Ah ! Les mises en scènes épatantes, que ce soit en cuisine, à la salle à manger avec la table dressée si raffinée, au salon, au fumoir où le moindre détail si bien étudié nous donnait envie d'être acteur nous même. Tendre la main, prendre le bras d’un bel homme, saisir un plat, piquer un radis, se servir d'un gâteau, à l'heure du repas justement, c'était tentant non?

    Rappelez-vous : le cuisinier qui vous dit non, le pâtissier qui étale sa pâte, nous ont surpris.

    Quant aux personnages des contes de Perrault, l'admiration déclencha tous nos sourires attendris. Tous ces chats bottés animés dans des situations diverses, n'étaient-ils pas superbes dans leurs beaux costumes ? Adorables non?

    Dans le parc romantique, d’autres merveilles nous attendaient réparties dans de petites maisons où nous avons rencontré le chaperon rouge et le méchant loup, peau d’Ane, le petit poucet, Barbe bleue.

    Puis la découverte de la mosaïque de buis, du labyrinthe avec Cendrillon et le Prince en pleine valse.

    Dans les anciennes écuries, l'attelage et là encore, la scène où Cendrillon à minuit sonnant, perd sa pantoufle de vair, sa robe redevient haillons, où le carrosse est transformé en citrouille, devant le Prince éberlué.


    Dans le grand parc, en flânant encore, on pouvait découvrir un grand verger et ses allées fleuries, puis par une bonne marche, pousser jusqu’aux étangs tout en passant voir la glacière du XVIIIe si profonde, tel un immense puits, en plein sous bois; étonnant.

    Le soleil était de la partie pour donner encore plus de couleur à ce bel ensemble, qui nous permis de passer un bien beau dimanche, au rythme que chacun souhaitait.

    Une ombre cependant; les Messieurs d’Arvem, ont perdu leurs illusions ! Les voyant revenir tour à tour, la mine assombrie, ils ont avoué piteusement, que malgré tous leurs charmes déployés, ils n'ont eu raison du sommeil de la Belle au bois dormant !..

    J'ai raconté tout cela à ma chatte, en rentrant.

    Ninette