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paris

  • Expo "leurs petits formats"

    Josy_petits_formats.jpgDu 21 au 24 mars, j'expose des peintures de petits formats avec l'association ARTS19

    Vous êtes bien entendu invité(s) et je serai ravie de vous rencontrer au vernissage ou lors de mes permanences .

    Très bonne semaine à tous et j'espère à très bientôt.

    Vernissage : Jeudi 21 Mars à partir de 19H
    Permanences : Vendredi 22 mars de 11H à 14H et
    Samedi 23 mars de 14H à 17H

    Josy

  • Lire "Histoire des juifs en France"

    paris,livreDu Moyen-Age à nos jours par Michel Abitbol

    Depuis l'époque gallo-romaine l'histoire des juifs en France ne cesse d'osciller entre ombre et lumière.

    Du côté de l'ombre, on relève entre-autres:

    - Au XVIIIe siècle l'antisémitisme de Voltaire

    - Au XIXe siècle la condamnation de Dreyfus en 1894 et 1899

    - Au XXee siècle, sous le régime de Vichy,  1/4 de la population juive est exterminée. Mais dans la lumière on peut observer notamment:

    - Au XVIIIe siècle le soutien aux juifs de l'abbé Grégoire.

    - En 1906, la réhabilitation de Dreyfus

    - Les 3/4 de la population juive échappent aux camps d'extermination grâce au peuple français

    Un livre à lire et à méditer .

    Jean-Paul

  • Film "Pauvres créatures"

    De Yorgos Lanthimos (Grec) avec Emma Stone, Mark Ruffalo, Willem Dafoe
    Lion d’Or de la Mostra de Venise, 2 Golden Globes

    Dans l'Angleterre victorienne, un savant fou surnommé God –Dieu en Anglais- (Willem Dafoe) ressuscite une jeune femme, Bella (Emma Stone), qui vient de se jeter d'un pont en transplantant dans son crâne le cerveau du bébé dont elle était enceinte.

    Bella fait l'apprentissage de la vie à travers un voyage initiatique autour du monde.

    Le cerveau d'une enfant dans le corps d'une jeune femme qui n'a aucune histoire, qui ne connaît pas les conventions sociales et ses contraintes, n'a pas de filtres est une idée géniale.

    Elle est imperméable aux préjugés de son époque et est résolue à ne rien céder sur les principes d’égalité et de libération, elle tient tête aux hommes qui veulent l'enfermer, s'émancipe de tout code. 

    Excessif dans sa mise en scène baroque, gothique, transgressive et audacieuse avec quelques pointes d’humour, le film dénonce les préjugés, idées reçues et autres principes dont nous sommes tous imprégnés, et nous démontre l’absurdité de notre civilisation.

    Emma Stone est remarquable en "poupée gore".

    Un long métrage féministe, libérateur, très intelligent, qui nous pousse à la réflexion. 

    MartineC

  • Chana Orloff, au Musée Zadkine 

    Chana Orloff, est venue de Palestine, à Paris en 1905, après avoir fuis les tsars russes de l’Ukraine actuelle. Son but initial, était les grandes écoles de couture, mais elle attrape à pleine mains la sculpture. Milieu réservé aux hommes à l’époque, elle trouvera sa place, surtout grâce à son style, bien particulier !!! Le portrait ! 

    Non pas la caricature, mais elle met en évidence l’aspect particulier du personnage, sans chercher à l’exagérer.

    À la naissance de son fils, certains lui affirmeront, qu’il sera une entrave à sa carrière. Soutenant qu’une femme, artiste, et mère dans le milieu de la sculpture ! elle rétorquera "que la création d’un enfant, ne peut qu’enrichir ses œuvres". Elle n’abandonne donc rien de sa passion, pas même après le décès de son conjoint, restant seule avec un enfant de 1 an. 

    paris,chana orloff,expoHormis les portraits, son thème favori est (bizarre !) la maternité, la mère et l’enfant. Nombre de ses œuvres représentent son fils surnommé Didi. "Mon fils Marin" prône Place des Droits de l’enfant, près de son atelier Villa Seurat, dans XIVème 

    Ses œuvres, sont de taille humaine, lisses et soyeuses, j’ai presque envie de les caresser, et de les prendre dans les bras… 

    paris,chana orloff,expo

    Le buste de Gaston Picard, sérieux, et droit, un peu étriquée dans un costume 3 pièces…. N’a-t-il pas la tête d'un journaliste ?

    paris,chana orloff,expoUn peu plus loin, cette jeune enfant, les mains dans ses cheveux bouclés…. Des fois qu’elle ait un air de famille avec Ida Chagall ? (Voir Ida à la fenêtre de Marc Chagall).

    Et puis, cette autre sculpture représentant Kundig (imprimeur et libraire à Genève …)  Avez-vous remarqué son regard ? J’insiste !

    paris,chana orloff,expo

    Avez-vous déjà vue une sculpture, et remarqué la pupille de son œil un peu espiègle au travers de ces lunettes ? Juste pour lire entre les lignes…. 

    Chana Orloff, fera quelques petites œuvres "pour mettre dans la poche" dira-t-elle…

    Sentait-elle la folie monter ? Quand, mi-juillet 1942, un policier de son quartier, qu’elle croise, lui conseille discrètement, "de ne pas rentrer chez elle, de partir, mais de ne pas reveparis,chana orloff,exponir".  

    Après ce "voyage contraint", elle se remet au travail. Ses œuvres sont rudes, granuleuse… La guerre est passée par là. Cette 1ère œuvre après avoir regagné son atelier en 1945, se nomme "Le Retour" (on ne pouvait pas trouver mieux) L’homme est assis, sur une chaise, tenant la tête dans les mains.

    Cette sculpture est une rare expression de douleur dans toute son œuvre, elle la cachera sous un drap pendant des années.

    paris,chana orloff,expoLa maternité restera son sujet préféré, "Maternité allaitante" date de 1949, mais encore rude et comme accidenté, style qu’elle a adopté après la guerre.

    Et puis récemment, après 80 ans d’errance, dont 18 ans de démarches, juridiques 

    "L’enfant Didi" "est rentré, à la maison", œuvre spoliée il avait disparu comme, 147 autres œuvres de Chana Orloff, seule deux ont été restituées. paris,chana orloff,expo

    Le Ministère de la Culture à crée une série de podcaste concernant les œuvres art spoliées, et facilité leur retour, deux concernent cette sculptrice….

    Et si la curiosité vous appelle…. Certaine de ses œuvres sont présentées régulièrement au sein d’expositions particulières. Mais plus encore son atelier-musée, géré par ses deux petits-enfants, Villa Seurat est accessible pour des visites.  

    Arletteck

     © Photos 2024 by Arletteck

     

     

  • Atelier écriture "Lipogramme en "i"

    Thème :  Faire un lipogramme en "i", (sans "i"),

    Je chante de bonheur, les vacances sont là. Le bateau est prêt à prendre la mer. Je pars abandonnant tout, seule sur ma frégate. Le retour ? Bof, cela se fera certes un jour, lorsque la tête chargée de bons moments sans regrets de les abonner à leur tous pour d’autres rêves et nouvelles aventures.

    Arletteck

  • Parlons film ?

    Début de la séance 18h15 (petite salle du 1er).

    Nous étions 6 personnes : Nicole, Annick, Élisabeth, Jacqueline, Patricia et moi.

    J'ai présenté le film "Sous le vent des marquises" (réalisateur, producteur, acteurs, tournage, synopsis). Chacune a pris la parole à tour de rôle (sur les 5 adhérentes, 1 n'avait pas vu le film). Les avis étaient tous négatifs : déception car nous pensions assister à la vie de Jacques Brel, ce qui n'est pas le cas. Même pas une chanson de J. Brel ! Nous en sommes venues à parler des derniers films que nous avions vus. J'étais satisfaite car nos échanges ont tourné exclusivement autour du cinéma, et chaque personne a respecté la parole de l'autre (une règle que j'avais posée au 1er "Parlons film").

    La séance à pris fin vers 19h35.

    MartineC

  • La chandeleur

    Une réunion conviviale
    Des retrouvailles amicales
    Une coutume à Arvem
    Respectée, et que l'on aime
    Même s'il est demandé
    De faire un petit effort,
    Celui de confectionner
    Ce fameux réconfort,
    Les crêpes traditionnelles
    Empilées, pliées,fort belles
    Placées sur la table dorée
    Attendent d'être dégustées.

    Mais chaque chose en son temps,
    Il est annoncé auparavant
    Un sympa karaoké
    Comme l'année passée,
    Où des amateurs s'emploient
    À donner de la voix.
    L'assistance participe gentiment
    Applaudit, fredonne également,
    Entraînée par des refrains
    Connus plus ou moins.

    Mais le temps passe
    Grand bien nous fasse,
    Car le moment de tartiner
    Si attendu est enfin arrivé !
    Chacun de soi doit s'occuper
    Nutella, miel, confitures variées
    Cidre, jus de fruits au choix
    Font le bonheur des Arvemois
    Soignés comme "des rois".
    A sa place, retourner bavarder.

    Puis, sans aucun ordre soulevé,
    Beaucoup de gentils dévoués
    Un coup  de main ont donné
    Pour que la salle soit rangée.
    Quel bon souvenir à garder
    Pour cet après-midi passé.
    Un petit comte- rendu
    Pour ceux qui ne sont pas venus
    Absences volontaires ou empêchées
    Mais , forcément regrettées.

    Ninette

  • Programme mars 2024

    Tarot, Scrabble, Bridge

    • Lundi 4, 11 & 18 mars à 18h30
    • Samedi 17 février à 10h30

    Lundi 11 mars à 18h15

    • Chaque participant anime une fois par mois l'atelier d’écriture.
    • Ce mois-ci l'atelier est animé par MarieDp

    Samedi 16 mars à 14h15

    • Visite guidée de la bibliothèque de la Sorbonne Nouvelle

    Mardi 19 mars à 18h

    • Billard américain

    Samedi 23 mars à 14h30

    • Discussion d'Ania" L'histoire des carrières de calcaire à Paris"

    Dimanche 24 mars à 9h15

    • Visite Comédie Française et spectacle "Les fourberies de Scapin"

    Lundi 25 mars à 18h30

    • Visionnage photos de la balade du 27 janvier et du reportage sur le parcours du Général Leclerc
  • Lire "Comment j'ai retrouvé Xavier Dupont de Ligonnes"

    paris,livreDe  Romain Puértolas - Éditions Albin Michel

    J'avoue avoir tout d'abord eu beaucoup de difficultés à suivre toutes les péripéties qui émaillent le récit de cette recherche.

    Je l'ai suivi cependant jusqu'au bout aidé par le style alerte de l'auteur. Il nous entraîne ainsi dans cette quête de Provence aux États-Unis en passant par l'Italie et l'Espagne.

    L'obsession de l'auteur est de retrouver à tout prix Xavier Dupont de Ligonnes assassin de sa femme et de ses enfants.

    S'il ne peut réaliser ce souhait dans la réalité,  il l'imagine. La fin du meurtrier bien entendu imaginée est pour le moins originale. Je vous en laisse la surprise.

     Jean-Paul

  • Film "Le Molière imaginaire"

    Ce film vous transportera en 1673 le 17 février sur la scène du Palais Royal pour la 4eme représentation ( et dernière) du Malade imaginaire.

    Molière décèdera en effet après avoir joué la dernière scène.

    C'est un film curieux et parfois déroutant qui réussit cependant à nous rendre l'atmosphère de ce XVIIeme siècle où l’Église et le pouvoir royal jouent encore un rôle primordial.

     Jean-Paul