Nous sommes arrivés à 19h15 au café "Le Bel Air" pour fêter "Le beaujolais nouveau".

il y avait de la musique, un peu forte mais sympa. J'ai passé une agréable soirée.
Merci à Arvem d'avoir organisé cette soirée.
Andréelk
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Nous sommes arrivés à 19h15 au café "Le Bel Air" pour fêter "Le beaujolais nouveau".

il y avait de la musique, un peu forte mais sympa. J'ai passé une agréable soirée.
Merci à Arvem d'avoir organisé cette soirée.
Andréelk
De François Ozon avec Benjamin Voisin, Rebecca Marder, Pierre Lottin
D’après le roman “L’étranger” d’Albert Camus
Alger, 1938. Le jeune Meursault, modeste employé, enterre sa mère. Le lendemain il entame une liaison avec Marie. La vie quotidienne reprend jusqu’au jour où son voisin Raymond l’entraîne dans des histoires louches jusqu’à un drame ultime. Meursault ne manifeste jamais la moindre émotion, comme spectateur de sa propre vie.
Un film respectueux du roman, en noir et blanc, aux cadrages superbes et jeux d’acteurs tout en subtilité. Les scènes du procès sont particulièrement remarquables.
Cette histoire me semble intemporelle dans la mesure où elle évoque le mal-être, la quête de sincérité face à un monde qui semble étranger, absurde par ses conflits et guerres incessants.
S’attaquer à un tel monument de la littérature Française était audacieux. François Ozon l’a fait, avec brio.
Un film à voir et un roman à -re-lire.
MartineC
*Visconti avait envisagé un film d’après “L’Étranger” de Camus mais y a renoncé, jugeant ce roman inadaptable au cinéma.
Tous les étés, nous passions chez les grands-parents et, en famille, nous récoltions les haricots verts. La terre est basse !
Nous, c'était la bande des cousins : quatre au total.
Nous investissions la maison de Papy et Mamy, trop heureux de nous recevoir et la réciproque était vraie. Ce rendez-vous estival c'était le bonheur total.
Cette maison se trouvait à Saint-Hilaire-Saint-Florent tout près Saumur. C'était le Bois Brard … avec ses 2000 m2 de terrain dont une grande partie était un jardin qui s'enorgueillissait d'un potager et d'un verger.
En juillet et août, les haricots verts, ça donne ! C'est-à-dire qu'ils poussent comme des champignons. Et, la règle, c'était un ramassage quotidien par nos mains expertes !
Attendre que la rosée du matin s'évapore, suivre les rangs, écarter les feuilles avec délicatesse et cueillir ces tendres haricots : voilà le travail.
Arc-boutés vers la terre nourricière, nos dos étaient endoloris. Et pourtant, nous n'étions que des petits ados !
Quand cette corvée était terminée (ouf ! quand même on peut le dire), nous, les cousins nous pouvions commencer notre journée et préparer nos affaires de piscine.
Et là, un autre sport commençait : la marche car nous nous y rendions à pied et cet équipement aquatique se trouvait à l'autre bout de Saumur.
Il suffisait de passer les trois ponts qui enjambent le Thouet et la Loire.
Et le soir, pour dîner, nous pouvions déguster une poêlée de haricots verts agrémentée d'une persillade ou bien une salade de haricots verts avec des échalotes… du jardin.
Nous savions, déjà, que demain, d'autres haricots qui auront proliféré pendant la nuit seront à point pour être cueillis par nos mains expertes.
Mais, c'était aussi la saison des prunes reine-claude. Notre grande tante Geneviève préparait des pâtés aux prunes à se damner. Nous étions accueillis par ce délicieux parfum qui ne faisait qu'aiguiser notre gourmandise.
Marie Dp
Nous avions rendez-vous ce samedi 8 novembre à 11heures devant le musée des Arts décoratifs pour l'expo "Paul Poiret. La mode en fête".
La conférencière nous attendait pour commencer la visite. Spécialisée dans la mode et le textile Elle nous a transmis avec passion l'histoire de Paul Poiret.
La majorité des vêtements exposés viennent de la collection personnelle de Madame Poiret. 
.Je n'ai pas vu l'heure passée et la conférencière non plus.
J'ai passé une agréable matinée.
Andréelk
Au musée des Arts décoratifs, où nous nous sommes donné rendez-vous, la pluie ne nous a pas arrêtés, car nous serons vite à l’abri.
Les créations exposées de ce couturier nous permettent de mieux le connaitre. Au début du 20eme siècle, il révolutionne la haute couture. Il devance Coco Chanel en supprimant le corset, ce qui permet plus d’aisance pour porter ses modèles à taille haute, laisser la liberté du corps, mettre ses courbes en valeur. Ses robes aux différentes longueurs sont souples, colorées, superposition de matières comme la soie, le velours. Applications de fourrure au col et à mi manches .Ses modèles sont inspirés de différentes cultures, broderies appliquées sur un velours bordeaux ou sur un rouge profond indéfinissable. Le boutonnage accentue la fantaisie par ses dégradés en taille et aux tons variés. Quelques modèles osent la jupe culotte.
Notre guide nous explique les techniques de tissage, mélange des différentes matières, lissage, sens du velours. On s’imagine dans l’atelier.
Certains modèles de couturiers plus contemporains complètent cette expo déjà très riche. J’ai fait quelques retours en arrière pour revoir les détails de plus près, ça valait la peine.
Annick D.
Je serai ravie de vous accueillir à mon exposition qui se tiendra du samedi 22 Novembre au Dimanche 30 Novembre de 11 h à 17 h à la Salle des fêtes de la Mairie. Place Armand Carrel. 75019 PARIS (Métro ligne 5 Laumière).
Mes permanences sont :
Josi
Suite à la conférence du 18 octobre de Daniella sur John Singer Sargent, je suis allée voir l 'exposition "Éblouir Paris" au musée d'Orsay.
Celle-ci est super, je vous la recommande. Attention choisissez bien votre horaire car il y a beaucoup de monde.
Andréelk
De Yann Gozlan avec Cécile de France, Mylène Farmer, Lars Mikkelsen
Clarissa, romancière, rejoint une résidence à la pointe de la technologie. Dalloway, son assistante virtuelle, est son soutien voire sa confidente à l’aide à l’écriture. Au fil du temps, Clarissa éprouve un malaise face à son IA de plus en plus intrusive. Elle se lance dans une enquête. Menace réelle ou paranoïa ?
L’Intelligence Artificielle apprend des artistes de la résidence leurs sensations, leurs émotions dans le but de supplanter les réflexions et créations humaines. Le spectateur est pris de vertige tant ce film est dérangeant de réalisme vers un futur proche.
Ce n’est pas un film de science-fiction : l’IA est déjà dans notre quotidien et le temps n’est pas loin où elle aura envahi nos vies.
Un film réaliste à la fois terrifiant et passionnant.
À suivre….
MartineC
Qu'est-ce qu'un Haori ? C'est :
Ne connaissant ni l’endroit, ni le musée où il se trouvait l’expo, d’autant plus que la ligne 6, était fermée, Yves et moi, nous décidions de partir de "bonne heure" pour repérer le musée, de déjeuner à proximité (près de Montparnasse) cela ne devait pas être difficile et, de nous retrouver à 13h45 avec le groupe. En avant c’est parti, en bus.
Arrivé sur place, nous apercevons de la rue, une statue équestre, superbe ! Appareil photo en main, nous approchons, et nous franchissons les portes du musée. Nous voilà au sas de sécurité, accueilli par "Bonjour, Vous pouvez entrer, visiter les ateliers et les jardins après les arcades" .
Je réponds simplement "Oh merci beaucoup", et m’adressant à Yves "C’est bien, nous déjeunerons dehors et ensuite nous reviendrons rejoindre le groupe" .
La jeune femme de l’accueil, souriante nous informe qu’il existe un petit restaurant au 1er étage. Oh génial ! et regardant ma montre, j’éclate de rire, qui surprend la jeune femme (et je lui explique que je n’aimais pas être en retard !) Il était 10 h 10 !
Donc pour notre visite guidée à 14 h nous avions vraiment de l’avance….
Pas un chat nulle part, idéal pour nos prises de vues non ? Les jardins ? Espace de sculptures de part et d’autre derrière des arbustes, ou fleurs qui en cette saison sont plutôt dévêtues. Et puis à l’opposé de la 1ère statue équestre sans cavalier, une autre avec son cavalier représente le Générale Alvear, qui apporta l’indépendance à l’Argentine. La statue fut hélitreuillée, là au fonds du jardin ! (confidence de l’un des agents du musée à Yves, qui lui posa la question avant de monter déjeuner).
Le guide nous le connaissions… suite à de précédentes visites… mais il est nécessaire de "rafraichir la mémoire" des règles du "canon", du "faune"…. L’art de l’enseignement n’est-ce pas la répétition ? Mais aucune lassitude à l’écouter.
Et surtout ces quelques "secrets"…
La sculpture Héraclès archer….. Celle qui permit à Bourdelle de se faire reconnaitre parmi l
es "Grands" Pour cette œuvre, Bourdelle demanda à un ami, militaire et sportif, le commandant André Doyen-Parigot, de poser pour lui. Son visage apparaît sur la 5ème étude. L’officier ne voulant pas être reconnu, ni par ses amis ni ses officiers, Bourdelle modifia la tête de son modèle, et lui donner les traits d’un jeune grec…, (déjà un droit à l’image ? !).
Et puis, ce buste enfantin … qui fut le "fil déclencheur" de tout cela, ou tout simplement du Musée… Michel Cognacq, fils (enfant décédé jeune) de Gabriel Cognacq, ce dernier souhaite que Bourdelle réalise une sculpture de son fils Michel, d’après une photo, Bordelle ne travaille pas ainsi. Pourtant il réalise le buste, mais refuse de se faire payer pour "un travail pour un si jeune défunt".
Lorsqu’en 1929, après le décès du sculpteur, Cléopâtre Bourdelle (locataire) ne peut pas garder les ateliers, c’est grâce à la générosité du mécène Gabriel Cognacq, (ni plus ni moins le neveu, et seul héritier des Cognacq-Jay… La Samaritaine !), que Cléopâtre, achète les ateliers du passage du Maine, (aujourd’hui rue Antoine Bourdelle) qui en 1949, deviennent le Musée Bourdelle.
Et encore, les 4 bas reliefs du Théâtre des Champs Élysées dont les traits ne sont autres que ceux d’Isadora Duncan… 
Quelques secrets, mais il en reste d’autres à y découvrir.
Après le départ du guide, nous nous retrouvons au 1er étage, pour prendre un thé, et trainer encore….
Arrivée de bonne heure (?) mais qu’elle bonheur !!... pour juste quelque douces et bonnes heures là dans ce petit paradis du Musée Bourdelle.
Arletteck