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Nos balades commentées - Page 11

  • Sur les traces d'Alexandre Dumas

    Ce matin du samedi 26 juin 2010 branle-bas de combat dans la maison, il s'agit de ne pas rater le départ du car Place de la Nation, dès 7h30 pour Villers-Cotterêts terre natale d'Alexandre Dumas dont nous avons décidé de suivre les pas.

    IMG_2828.jpgArrivés vers 9h au lieu-dit rendez-vous à l'office du tourisme direction le Musée d'Alexandre Dumas où nous attendent dans les salles d'un hôtel particulier, des souvenirs émouvants notamment les lettres manuscrites des parents (le Général Dumas et sa femme Marie-Louise Labouret) et de l'immense écrivain (une page du Comte de Monte-Cristo de sa superbe écriture, est particulièrement évocatrice).

    Visite terminée, en route pour le tour de Villers-Cotterêts, charmante ville provinciale où de sa maison natale au cimetière dans lequel il ne repose plus depuis son transfert au Panthéon, nous avons pu revivre les principaux faits de son enfance et de sa jeunesse (entrée à l'école, premier travail comme saute-ruisseau, première communion).

    Ceci achevé en route pour trouver dans la superbe forêt de Retz, un lieu pour pique-niquer près des mares où Alexandre pratiquait "la marette" et la "pipée".

    IMG_2898.jpgL'estomac lesté, de nouveau le car, après une promenade dans le Parc de Marly, il ne nous restait plus qu'à pénétrer dans le domaine du château de Monte-Cristo, où de 1847 à 1851 il recevait ses amis et leur préparait parfois de succulents plats de sa composition.

    Puis ce fut le retour pour Paris où malgré quelques ralentissements nous étions vers 19h30 ; une journée bien remplie !

    Jean-Paul

  • De Denfert-Rochereau au Musée Jean Moulin

    En ce jour de Fête des Mères nous avons fait une promenade dans le 14eme arrondissement de Paris, pour y revoir le superbe Lion de Denfert-Rochereau, placé en hommage à la résistance de Belfort en 1870.

    Barrière_d'Enfer,_place_Denfert-Rochereau,_Paris_03.jpgÀ cet endroit se trouvait la direction des résistants en 1944, les ordres venaient des souterrains situés sous l'un des pavillons de la Barrière d'Enfer.

    Notre parcours s'est fait à travers les jardins du quartier pour en apprécier le calme, et découvrir des sculptures. Un coucou à Serge Gainsbourg au cimetière Montparnasse, avant d'atteindre la place de Catalogne et son "Creuset du temps", puis le jardin Atlantique.

    Église_Notre-Dame-du-Travail_(Paris)_2.jpgAuparavant nous avons découvert "l'Eglise de Notre Dame du Travail" construite au début du XXeme siècle pour accueillir les ouvriers qui travaillaient pour l'exposition universelle.

    On y retrouve l'armature métallique d'Eiffel, un étage avec balustrade de bois, un ensemble très lumineux. Tout autour des chapelles ornées de peintures florales très diverses et des fresques de Saints-Patrons de certaines professions. Curieux édifice méconnu pour la plupart d'entre nous.

    Quelques pas encore pour arriver au but : le Mémorial du Maréchal Leclerc et le Musée Jean Moulin, qui de cette époque tourmentée contiennent beaucoup de documents fort bien présentés, vitrines, nombreux écrans de télévision où passent films et reportages sur les évènements. Nous avons pu admirer les talents d'illustrateur de Jean Moulin. De grandes salles à revoir.

    En arrivant, le 1er journal que nous avons lu daté du 21 juin 1940, signale dans un article "Nous avons perdu la guerre par le manque d'enfants" déclare le Maréchal Pétain ! Coïncidence ! Savez-vous que la Fête des Mères a été inscrite sur le calendrier à l'initiative du Maréchal ?

    Alors que nous n'étions pas, ou plus, avec nos mamans, nous n'avons pas démérité ! Ce jour spécial, plus, le ciel incertain, firent que nous n'étions pas nombreux, mais félicitations pour votre présence et l'exactitude, récompensées, car les parapluies sont restés fermés.

    Bon nombre ont découvert de cet arrondissement les spécificités appuyées par les explicatons nécéssaires pour satisfaire la curiosité déclenchée.

    Avec ce retour en arrière... Le temps s'est vite écoulé.... Un après-midi fructueux en souvenirs et découvertes dans ce Paris insolite.

    Ninette

  • Souvenirs de mai

    Le 8 et le 16 nous nous sommes embarqués pour "une journée Royale".

    Le départ fut un peu critique !... Forcément un jour théoriquement férié... se lever trop tôt pour être à l'heure du rendez-vous...dur, dur, pour certaines...

    Le chauffeur impatient fait vrombir le moteur, mais St-Christophe veille sur notre route dégagée, qui, à travers les champs cultivés, offrent leur coloris jaune vif, si éblouissant que le contraste des étendues vert tendre, apaise nos yeux.

    D'abord quelques descriptions devant le portail original, surmonté d'animaux autrefois des automates ; un cerf sonnait les heures de sa patte, tandis que 4 chiens aboyaient.

    Quelques belles pièces authentiques, mobilier, tableaux, plafonds etc... Bref un château !

    Après un court détour aux abords du parc, la chapelle nous accueille avec son superbe dôme composé de caissons en spirale, ce qui produit une impression de hauteur et de légèreté.

    Au sol le pavement en marbre reproduit le dessin des caissons de la coupole. (Je n'en dis pas plus, c'est juste pour se souvenir... Ah. Si et puis quand même).

    À l'extérieur contournons la chapelle afin d'admirer la statue de Diane chasseresse (Elle est nue ; est-ce pour se réchauffer qu'elle entoure de son bras, le cerf altier, heureux de ce câlin ?)

    Juste un instant encore à la chapelle funéraire pour y saluer l'imposant et curieux Tombeau de Diane, qu'elle doit réintégrer en fin de mois. (Tant mieux, sa statue agenouillée se sentira moins seule...)

    Quelques petits kilomètres pour atteindre Dreux, surtout le restaurant où le repas est prévu. (C'est que nos ventres commencent à chanter.)

    De nombreuses tables dressées, vêtues de nappes, sur lesquelles brillent plusieurs verres, nombreux couverts. Surpris et satisfaits nous choisissons nos places.

    Après un lever général de flûtes (Oh ! pardon, avoir porté un toast) sommes prêts à déguster un très bon menu. En effet, prenant notre temps... mais oubliant l'heure du rendez-vous pour la visite de la Chapelle Royale !

    Heureusement une guide charmante et pleine d'humour nous explique le passé de cet édifice et ses occupants privilégiés, qui nous reçoivent dans la crypte, sous la forme de gisants en marbre blanc, plus beaux les uns que les autres.

    Pour achever la journée n'ayant pas vraiment envie de rentrer au bercail, passant par Houdan, nous faisons une halte.

    Après cette journée bien remplie, le retour se fait sans encombre et tout le monde est très content.

    Voilà deux excellentes journées, si l'on en croit le plaisir que vous en avez retiré, à travers vos sentiments exprimés.

    Peut-on dire à la prochaine fois ?

    Ninette

  • Maison de Balzac

    Suite "Promenade à Passy"

    balzacMaison.jpg balzacMaison2.jpg

     

     

     

     

     

    Nous voici à l'arrière de cette demeure, devant la porte par laquelle il se serait sauvé, pour échapper à ses créanciers, dit-on !

    Avaient-ils le mot de passe, eux ?

    De là on aperçoit les fenêtres de son logement au 2è étage. Pour accéder à la porte d'entrée, il faut grimper un grand escalier bien raide !
    Allez courage, c'est ça, ou alors il faut faire un grand détour ! Les mines se crispent... Tâtements de genoux... haussements d'épaules, et hop ! Tout le monde affronte l'effort ! En haut, les encouragements des plus agiles, pleuvent !

    Pour souffler un moment, nous remarquons à l'angle d'un immeuble un bas-relief en forme d'obélisque, haut de plusieurs étages, mis en l'honneur de B. Franklin qui plaça à cet endroit, le 1er paratonnerre, parisien.

    Tiens des curieux ?
    La voix du guide et ce groupe de 30 personnes firent sortir des têtes des fenêtres : que pensaient-elles ? Est-ce une manif ? Mais ils ont tous le nez en l'air ! Ah ! C'est pour notre sculpture inconnue ! Rassurées, les têtes rentrèrent aussitôt... telles les oiseaux mécaniques des horloges "Coucou" !

    Quelques pas de plus et nous voici devant le portail d'entrée de la Maison de Balzac. "Alors, le mot de passe ? Vous en souvenez-vous" ? demande notre guide. Piteux nous bafouillons.
    Rappel : "La saison des prunes est arrivée", "j'apporte des dentelles de Bruxelles"

    Cités, un peu écorchés, mais à nous tous, nous obtenons le droit de rentrer. Ouf !

    Mais là, le comble ! Il faut redescendre par un escalier qui mène au jardin de cette propriété. Quelques bancs et chaises appréciés pour soulager "nos moins solides" afin d'écouter notre chef de file, signaler ce que l'on peut admirer en particulier. En effet cette maison est assez petite et les souvenirs de l'écrivain sont placés sous vitrines, comme sa cafetière, sa canne, statuette, montre etc..

    Balzac-canne.jpgBalzac Cafetière.jpg

     

     

     

     

     

    Des tableaux bien sûr ; portraits de personnes l'ayant entouré et surtout une pièce consacrée à ses écrits, comportant une multitude de corrections manuscrites qui recouvrent totalement les murs.

    Une seconde salle aux multiples pièces de buis gravées de dessins encrés, représentants les personnages de La Comédie Humaine, et qui servaient à l'impression. Choses rares !

    À l'étage inférieur, quelques sculptures de l'écrivain par Falguière et Rodin. Ayant fait des allers et retours pour s'imprégner d'avantage, nous croisons, avec surprise, la présence d'un ministre venu, également se cultiver !

    Discrètement nous nous regroupons pour reprendre le chemin du retour, sans oublier, cela s'impose, un dernier regard sur la tour Eiffel !

    Ninette

  • Promenade à Passy

    Rendez-Vous à Bir Hakeim. Pourquoi ce nom ? Quels souvenirs? Précisions données sous le soleil en attendant tous nos participants.

    Parisien(nes) nous sommes, et pourtant nous avons fait des découvertes dans ce quartier de la capitale.

    Tout d'abord l'emplacement du Vel d'Hiv remplacé par un bâtiment du Ministère de l'Intérieur. Tout près, sur le quai de Grenelle, la statue érigée en mémoire des victimes de la rafle en 1942, inaugurée par J. Chirac.

    L'île aux cygnes se présente, nous l'avons empruntée avec plaisir sous les arbres aux tons chauds de l'automne, (cherchant les fameux cygnes, inexistants), pour aller saluer la statue de la Liberté et son histoire, tout en jetant un oeil d'envie sur les imposants bâteaux de croisières à quai, mais qui descendent la Seine jusqu'à la mer.

    Parcourant le XVIe aux immeubles cossus, nous nous arrêtons devant la maison du Dr Blanche où est décédé Guy de Maupassant. Actuellement, Ambassade de Turquie : bel ensemble de bâtisses du XVIIIe siècle et jardin protègés par de grandes grilles.

    Quel ne fut pas notre étonnement, plus loin, de devoir remonter une des plus étroites ruelles pavées de Paris  (un vrai coupe-gorge mais autrefois Passy était la campagne) pour rejoindre la Maison de Balzac.

    À suivre

    Ninette

  • Promenade de Saint-Germain-des-Prés à Saint-Sulpice

    Pour cette première promenade de rentrée, il faisait si beau, que nous avions fait le bon choix.

    Afin de profiter pleinement de cet "été" indien" nous avons reçu sur le parvis de l'église Saint-Germain-des-Près, un maximum d'informations sur l'historique de l'édifice, le temps de regrouper toutes les ouailles dont les pendules étaient coincées....

    Visite de l'intérieur, des vitraux et chapelles avec peu communes, des arcatures du XIIè, la statue de la Vierge du XIIIè récemment découverte dans un mur. Mais l'impression générale de la nef restaurée rappelle plutôt l'époque du XIXè avec ses piliers et peintures colorés.

    Dans le square attenant saluons au passage la muse de Picasso, Dora Maar.

    Un détour jusqu'au musée Delacroix, résidence et atelier du peintre, afin d'être plus près de son travail à l'église St-Sulpice.

    Poursuivrons notre parcours avec arrêt devant Palissy, et tout en observant le curieux mur de céramique de Sèvres placé pour l'exposition 1900, je glisse un petit regard en coulisse, vers 2 petites filles qui n'osaient plus jouer, au pied du toboggan, car elles écoutaient sagement les belles histoires racontées émergeantes du groupe ! Trop mignon !

    Plus tard sur notre chemin, croisons une oeuvre moderne sculptée et bizarre, Place du Québec "l'Embâcle" canadien, représente l'eau soulevant les blocs de glace.

    l'embacle.JPG

    Cliquez sur l'image pour l'agrandir

    Continuons, nous voici devant l'immeuble où se déroula le premier conseil national de La Résistance sous la direction de Jean Moulin.

    Arrivons à Saint-Sulpice ; faisons d'abord le tour de la fontaine "des 4 points cardinaux", à propos : pourquoi cette dénomination ? Vous souvenez-vous ? Et vous les absents.... la réponse ? fallait être là !

    Devant le portail ouvert exceptionnellement et sur les marches de l'église jonchées de pétales, nous attendons les curieuses, figées plus bas, qui déshabillent des yeux des femmes endimanchées... et la mariée... évidemment c'était tentant !

    Dans l'église, arrêtons-nous devant les peintures murales signées Delacroix "la lutte de Jacob avec l'angle" entre-autres.

    gnonom.jpgPuis le calendrier astronomique "le gnomon" qui permettait de situer le jour de Pâques, suivant le rayon du soleil à midi.

    Le tombeaux imposant, haut placé, du curé qui durant sa vie avait organisé des loteries afin de récupérer de l'argent pour la construction de Saint-Sulpice. Il est représenté devant l'ange qui ôte le linceul, chasse la mort et le rend ainsi immortel (dans la connaissance des hommes, et la vie éternelle).

    Puis ce sont les célèbres orgues à 5 claviers et 102 jeux.

    Enfin avant de sortir, quelques pas vers les 2 bénitiers, don de Venise fait à François 1er... objets royaux... que Louis XV offrit à Saint-Sulpice.

    Pour terminer, les dernières courageuses participantes ont poussé l'aventure jusque devant le Sénat voir le "mètre étalon", seul resté en place, sur 16, déposés en 1796.

    Malgré les supplications d'une vaillante de 80ans qui voulait continuer jusqu'au jardin du Luxembourg, suivre peut-être "notre titi" qui comptait y bouquiner, nous avons raisonnablement pris la direction du boulevard St-Germain, afin de s'asseoir... enfin... dans le bus 86, qui nous mena dans notre XIIè, après cet après-midi bien rempli.

    Ninette

  • 2 - Jardin Albert Kahn

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    Albert Kahn sur le balcon de son bureau en 1928

    Encore un tour vers "la Forêt Vosgienne" où se cache niché (rappel des origines de Monsieur Kahn), un habitat typique que l'on découvre après un chemin escarpé, tortueux, jonché de pierres, étroit, bordé d'orties et hautes herbes. Les messieurs du groupe se sont précipités galamment, pour aider ces dames à affronter l'escalade.

    Quelle transition avec le parc "civilisé" asiatique ! Même si nous avions pensé à chausser nos pieds, nous n'avions pas songé aux bottes, ni au piolet !

    Plan en main : à gauche ? non, en avant ? non en arrière ... Toute ! ... Demi tour, retrouvons les orties ! ... et un petit couple scotché sur un banc, visiblement las, les doigts de pieds à l'air, rigolant de nous voir, passer et repasser un peu plus courbés par la fatigue qui commence à pointer son nez. (C'est que le matin nous étions en partance vers les années 30).

    La route pour atteindre "le Jardin Japonais" se fit coquine. Une fois découverte empruntée avec délice parmi les rosiers grimpants sous tonnelles, nous accueille, un paysage totalement différent.

    Des plans d'eau où s'agitent de gros poissons dans peu de profondeur, qui viennent au bord de la berge, auprès des visiteurs, chercher quelques friandises, sachant qu'ils échappent au sushi, car personne, n'aurait le coeur de les pêcher.
    Des espaliers de pierres et verdure nous permettent de circuler, des petits ponts arqués pour accèder à l'autre rive, les plantes aquatiques harmonieusement dispersées parmi des cascades offrent un décor de dépaysement.

    Que ne restons-nous là ? Cette promenade tire à sa fin. Si nous reprenons le chemin du retour gardant en esprit de belles images, consolons-nous ; bon nombre d'amateurs en profitent encore, et de nouveaux arrivants nous remplacent, sans remords.

    Merci à Monsieur Kahn d'avoir eu cette idée géniale de donner à ce quartier, un tel havre de paix !

    Ninette

  • 1 - Jardin Albert Kahn

    Evasion au Jardin Albert Kahn

    Un jardin ! Que ce mot peut faire rêver quand on est citadine!....
    Comment ne pas être attirée par l'idée de découvrir un jardin à l'autre bout de Paris ?

    Mais il y a jardin et jardin... Celui d'Albert Kahn n'a rien de comparable. Ni les Floralies, ni Bagatelle, ni les Buttes Chaumont, pas le parc Montsouris, ni les Tuileries... Je suppose que " les copines" ont ressenti les mêmes impressions, puisque bien groupées, nous avons fait le même voyage. Oh ! non ! Ce n'était pas un chemin fait de tapis vert, doux tout doux, mais des allées pavées, des grimpettes caillouteuses nous attendaient, chemin escarpé longeant le vide ... Oh ! la la ! le vertige est sorti de sa coquille ...
    Pour découvrir un parc à plusieurs façettes plutôt surprenantes, que ne ferions-nous pas ?

    Tout d'abord le "jardin chinois", donne un sentiment de calme avec son petit cours d'eau, la maison offrant son salon de thé. Nous étions trop nombreux pour y être invités. Je le compris en voyant le fantôme du serviteur oriental souriant, lisser sa barbe , en signe négatif... Nous avons fait le tour des plantations exotiques, des statues, etc... Avant d'atteindre " le Jardin à l'Anglaise", tout foufou en comparaison, la nature là, reste libre de ses mouvements; prairies ; sous-bois.

    Le chemin nous mène au "Jardin à la Française"; massifs et allées bien ordonnés avec la roseraie, mais là, ... vent et pluie ont eu raison de sa parure si fragile : cependant les arbres fruitiers ont gardé leurs pommes bien accrochées.

    À suivre....

    Ninette

  • 2 - Le château d'Écouen

    Suite note du 10 juillet

    "Visite délicatement féminine"

    L'après midi, l'exposition sur la beauté "Le bain et le miroir" comptait sur nous, au château.

    Quelques jolis tableaux, statuettes évoquant la toilette des femmes, les bains collectifs, divers objets féminins, coffrets, flacons... Mais le plus étonnant, le cure dents-cure oreilles porté en pendentif, comme un bijou.

    Très surprenant, "les pommes de senteurs" véritables objets d'orfèvrerie garnis de pierres précieuses, capables de s'épanouir comme une fleur en 6 tranches contenant des odeurs différentes. Plusieurs pommes étaient présentées, plus belles les unes que les autres.

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    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

    Suite "charmer nos oreilles"

    blog_Orgue_portable_ECOUEN 026.jpgPour terminer cette échappée en Renaissance, un moment musical nous a été offert. Un musicien, de ses doigts agiles fit vibrer les sons harmonieux d'un orgue portatif de l'époque. Telle fut cette journée enrichissante, au menu varié.

    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

    Ninette

  • 1 - Le château d'Ecouen

    Excursion " classique"

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    En cette matinée de juin nous sommes partis pour le château d'Ecouen, afin de visiter cet édifice comprenant des témoignages sur l'art de la Renaissance.

    Tout d'abord un petit tour à l'extérieur, pour une information sur l'architecture particulière, des portiques aux colonnes de style antique agrémentent le bâtiment.
    Puis à l'intérieur, de très beaux meubles, coffres, dressoirs sculptés, chaires, également des tapisseries, dont la superbe suite "l'Histoire de David et Bethsabée" racontée en 10 pièces tissées à Bruxelles au XVIe siècle, et de nombreuses vitrines de verrerie, céramiques, d'émaux, attendent les visiteurs.

    Notre étonnement fut surtout porté sur les pavements extrêmement rares, de faIence polychrome exécutée à Rouen, exposés sur le sol de grandes salles.

    Encore une rareté," les cassoni"; ce sont 15 panneaux de bois peints de scènes antiques provenant de coffres offerts aux jeunes mariés, qui ornent les murs d'une pièce. En toute liberté, nous pouvons aller et venir pour admirer à notre guise.

    "Collation dans la nature"

    blog_Picnic_Ecouen_IMG_0541B.jpgVers midi, alors que nous pensions déjeuner sur l'herbe, quelle ne fut pas notre surprise que de découvrir dans d'immenses troncs d'arbres, des sièges taillés pour nous accueillir ! Pique-nique confortable, sous un ciel menaçant, mais qui respecta notre frugal repas, afin de récupérer des forces pour la suite.....

    Ninette