En cliquant sur la photo vous aurez un aperçu de notre visite au musée de la police.
Activités Arvem
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Musée de la police
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Programme septembre 2025
Tarot, Bridge
- Lundis 8, 15 & 22 septembre à 18h30
Tarot
- Samedi 20 septembre à 10h30
Scrabble duplicate
- Lundi 22 septembre à 18h30
Lundi 15 septembre à 18h15
- Atelier d'écriture par Yvesck
Mardi 16 septembre à 18h
- Billard américain
Samedi 20 septembre à 14h30
- Discussion de Karine : "Corée du Sud"
Samedi 27 septembre à 15h
- Balade photos "le quartier chinois du 13'"
Dimanche 28 septembre à 14h40
- Théâtre "Et pendant ce temps Simone veille"
Lundi 29 septembre à 18h30
- Visionnage des photos de la balade du 27 septembre
Vendredi 3 octobre à 18h
- Expo au Petit Palais "J.B. Greuze, l'enfance en lumière"
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Quelques dates de sorties 2025-2026
Samedi 18 octobre 2025 à 14h30
Conférence sur John Singer Sargent
- Artiste américain de la fin du XIXe et début du XXe siècle, adulé aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, John Singer Sargent est largement méconnu en France, pays où il s'est pourtant formé et a connu ses premiers succès. Travailleur acharné, il saura se faire rapidement un nom et devenir le portraitiste attitré de toutes les femmes du grand monde.Dimanche 19 octobre 2025 à 13h45
Visite guidée du Musée Bourdelle
· Les ateliers d’Antoine Bourdelle (1861-1929) nous feront voyager dans le temps. Tout est conçu pour suivre les étapes de son travail, notamment à partir de L’Héraklès archer qui le rend célèbre.
· Les œuvres du jardin rappellent ses débuts difficiles, ses origines occitanes et ses liens avec Rodin tandis que le grand hall des plâtres accueille ses sculptures monumentales et invite à s’intéresser au moulage, lui-même prélude à une traduction en bronze ou en marbre.Samedi 8 novembre 2025 à 11h
Visite guidée de l'exposition "Paul Poiret, la mode en fête"
- Le musée des Arts décoratifs présente la première grande monographie dédiée à Paul Poiret (1879-1944), figure incontournable de la haute couture parisienne du début du XXe siècle. Considéré comme le libérateur du corps féminin pour l’avoir décorseté, Paul Poiret a rénové la mode.
- Elle explore ses créations dans les domaines de la mode, des arts décoratifs, du parfum, de la fête et de la gastronomie. À travers 550 œuvres (vêtements, accessoires, beaux‑arts et arts décoratifs) l’exposition met en lumière l’influence durable de Paul Poiret et révèle l’étendue de son génie créatif.Dimanche 25 janvier 2026 à 11h30
La bonne franquette
-Rappel du principe de notre traditionnelle "Bonne franquette": Chacun apporte au choix entrées, viandes, légumes, fromages, desserts, boissons pour garnir le buffet à partager. L'apéritif, le café, le pain sont offerts – salle habituelle.Dimanche 22 mars 2026 à 15h
Théâtre douze "Alinea rose"
- Pour se reconstruire, Rose achète un appartement face au jardin du Luxembourg pour une bouchée de pain. Sa vie va enfin pouvoir commencer. Un soir, alors qu'elle rentre chez elle, un vieil homme l'accueille en robe de chambre. "Bienvenue chez vous !" dit-il. Il a en réalité été vendu avec l'appartement - alinéa 17 du contrat de vente - qu'elle avait visiblement omis de lire... Ce coup du sort intergénérationnel plonge la jeune femme dans ses derniers retranchements. t si ce n'était pas un hasard ? "Alinéa-Rose" est une pièce aux rebondissements multiples, méchamment drôle, moderne et élégante. -
Atelier écriture "Lipogramme en I"
Quel drôle de chuchotement ?
Je cherche, es-ce un corbeau chanteur ? Non pas sûr, un corbeau ne chante pas de cette façon ! Pourtant, j’écoute plus encore... Que cela est étrange
Cela dur un bon moment. J’écoute plus encore. Portant aucune réponse ne monte à ma tête. Alors j’abandonne mes recherches, et garde ce chant doucement enfermé et calfeutré au plus profonds de mon cœur (en moi…. !!)
Arletteck
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Dicton du 15 août
Au 15 août gros nuages en l'air, c'est la neige pour l'hiver.
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Atelier écriture "Imagination en colimaçon"
J’entre dans un restaurant bien côté, au menu il est proposé : Escargots de Bourgogne. Soudain, à la vue de ces trois mots, beurk, un relent me donne la nausée. Je sors immédiatement et je file au resto d’en face. Avant de m’installer, je détaille attentivement la carte, je vérifie que la salade proposée ne soit pas accompagnée de cornes d’un horrible mollusque à coque.
L’escargot me renvoie à une scène de mon enfance, vécue lors de mes vacances à la campagne.
Une voisine, fière de sa quête après la pluie, me montre des escargots grouillant au fond d’un seau. Je m’approche plus près pour mieux les voir, mais trop tard. Sous mes yeux, elle en gobe un tout cru, se délecte de cette petite bête, recommence de plus belle et se fâche même de me voir pleurer.
Les années ont passé. Mais lors d’un repas de famille, ma sœur est fière de nous servir un plat d’escargots qu’elle a longuement préparé. Je fais grise mine, mais puisque je suis invitée, je ne vais pas chipoter.
- Allez, ne fais pas de manières, c’est du bio.
Bon ! Je teste. Par un petit coup de fourchette je sors cet escargot méconnaissable de sa coquille, je ferme les yeux, je goûte. Mais ce mets soi-disant si raffiné ne passe pas, j’imagine cette petite bête vivante, les cornes coincées au fond de ma gorge, je tousse, j’étouffe, je passe du rouge au gris, la sorcière a dû me jeter un sort. C’est la panique autour de la table.
Heureusement, un invité enseignant le secourisme, réagit rapidement. Je ne sais plus ce qu’il a fait, mais il m’a sauvé la vie, assurément pour de nombreuses années gagnées.
Afin de me rassurer, les assiettes d’escargots sont débarrassées, nous passons au dessert pour remettre de l’ambiance et tout oublier.
Annick D.
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Atelier écriture "Une histoire qui utilise les couleurs"
Thème : Une histoire qui utilise les couleurs. (Atelier du 10 mars 2025, animé par Marie Dp)
La couleur du retour
Denis est de retour au pays. On le reconnaît à sa chevelure d'un roux flamboyant.
Cela faisait dix ans qu'il avait quitté la maison familiale. Le jour de son départ, son père avait piqué une colère mémorable. Il s'était fâché très fort. Il était devenu rouge écarlate… au bord de l'apoplexie. Ces deux là ne se sont jamais bien entendus.
Sa mère, blanche comme un linge, a beaucoup pleuré. Elle tortillait son tablier bleu entre ses doigts noueux.
Denis s'est éloigné avec son sac à dos orange fluo, histoire d'être visible. En chemin il a rencontré le facteur, fringant dans son uniforme indigo.
-"Alors, Denis, on prend la route ?"
-"Oui, je vais me mettre au vert de l'autre côté de l'Atlantique. Je ne suis pas superstitieux : j'aime le vert-de-gris couleur du dollar !"
Ces dix années ont ressemblé à l'éternité pour sa mère.
Quand son père est décédé il y a deux ans Denis n'est pas venu aux obsèques. Même mort il redoutait un tête-à-tête avec ce père si dur comme l'acier. Mais, il s'était promis de revenir …. pour sa mère. Il reviendra chercher la sérénité. Aujourd'hui, il est là.
Il descend le petit chemin creux couvert d'une boue grisâtre… toujours aussi tortueux.
Il respire l'odeur du colza jaune d'or éclatant qui semble s'étaler sur un ciel d'azur. On dirait un tableau de Van Gogh.
Il se sent revivre.
Soudain, au détour du dernier petit virage, derrière le toit rouge du presbytère, Denis aperçoit une petite silhouette noire. Il accélère le pas. Cette silhouette prend forme. Elle porte un joli châle violet. C'est sa mère !
Et, serrer cette petite femme fluette dans ses bras musclés et bronzés, c'est un bonheur indicible. Tous les deux pleurent, mais pour une fois, ce sont des larmes de joie.
Pour voir la vie en rose !
Marie Dp
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Atelier écriture " Insoutenable odeur"
Thème : Insoutenable odeur de Vendée.
16 juin 2025 - Animateur Jean OOh , la vache !
Connaissez-vous la Vendée, ses plages et sa campagne ?J'adore la côte et la dégustation des fruits de mer reste une activité qui éveille tous les sens. Avec Mick, nous avons loué un studio à Jard-sur-Mer. Nous nous sommes délestés de nos bagages et de nos souvenirs de bureau.
Ah, les bains de mer vivifiants !
Or, un matin le ciel est gris. Nous décidons de randonner, histoire de découvrir l'arrière-pays.
Nous voici harnachés. Le pique-nique est prêt. Bien sûr , il y a du jambon de Vendée, moelleux et odorant, du pain de campagne croustillant et une bouteille de rosé.
La campagne n'a rien de pittoresque. Le paysage est plutôt monotone et plat. Nous passons devant des bosquets, nous
longeons des prairies dans lesquelles des vaches paissent.Sans nous consulter, nous déclarons que la faim nous tenaille. À l'ombre d'un chêne, à quelques mètres d'une grande ferme, nous nous installons.
Ah, la Nature, quelle merveille !
Tout est déballé.
Soudain, je m'étonne.
-"C'est quoi cette odeur. C'est horrible. Je n'ai jamais senti un truc aussi pestilentiel.".Mick n'a rien remarqué.
-"Oui, comme d'habitude, toi, tu ne sens rien ! Moi, je ne reste pas là."L'odeur devient de plus en plus prégnante.
Ça sent la bouse de vache, le purin, le fumier, bref c'est un vrai remugle.
Mick, qui se veut diplomate déclare :
-"C'est une question de direction du vent. On peut changer d'endroit. Le vent vient de l'ouest. installons-nous là-bas .Nous remballons le pique-nique pour nous poser 200 mètres plus loin. -
"Ah, quelle horreur ! Ça recommence ! En pire".Et là, Mick s'écrie :
-" L'odeur !!! Je vais vomir. D'où ça vient ?"Nous inspectons les environs. Derrière la ferme, nous apercevons des talus enveloppés de plastique noir.
L'odeur vient de là.
Nous apprendrons plus tard qu'il s'agit d'herbe à fourrage qui est conservée ainsi pour servir de nourriture aux vaches pendant la période hivernale.
On appelle cette méthode : l'ensilage.
Nous sommes retournés vers la plage et malgré les nuages quelque peu menaçants nous avons, enfin, dégusté nos sandwichs.
L'air iodé de la mer a atténué le souvenir de la puanteur "bucolique !"
C'est vraiment une odeur très forte que j'associe à la campagne vendéenne.
Pour conjurer le sort, l'odeur de la brioche vendéenne m'a réconciliée avec la Vendée.
Marie DP
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Journée excursions
Première découverte
LA MAISON D'ANDRÉ DERAIN
Artiste peintre 1880-1954, un des principaux représentants du "Fauvisme" (nom donné par le critique d'art, Louis Vauxcelles début XXe, sur un groupe de peintres dont la primauté était la couleur). Ces peintres étaient entre-autres : Matisse, Derain, Vlaminck tous trois amis depuis 1901.
La petite propriété du XVIIIe où le peintre sculpteur a vécu et où l'on a pu se rendre compte, de son importance lors de la visite de son atelier comportant un tas de témoignages de toutes les passions d'un artiste débordant d'activités diverses, passant par le dessin dont les motifs sont reportés sur des carrelages, des vases, lampes en céramique, la peinture avec toutes ses palettes, des pots, pinceaux, chevalets et son fauteuil, des sculptures, un tas d'objets, bibelots, des petits tableaux exposés, mais comme en fouillis afin que nos yeux ne se reposent pas, jusqu'à apercevoir accroché son béret.... Tout au fond, surprenant, une grosse presse pour imprimer.
Sa vie nous a été contée découvrant par une projection de ses tableaux, toute son évolution, ses changements par la couleur employée "comme de la dynamite" comme par exemple; "La Seine au Pecq" très colorée de rouge pas réelle du tout, "Le portrait de Vlaminck" en 1905 dont les cheveux et la moustache sont rouges, " Les barques de Collioure" dont la mer est faite de petites touches bleues, tableau plus lumineux.etc...
Autour de 1907 l'Art Moderne se voit aussi par "Les routes de Troyes" toutes rouges, "Les rues de Londres" loin de la réalité, routes vertes, arbres tout rouges....
Le changement
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Charles VII
CHARLES VII
Naissance de Charles en 1403, 11eme enfant sur 14 d'Isabeau de Bavière.
1407 - Assassinat du Duc d'Orléans, frère du roi Charles VI, par des hommes du Duc de Bourgogne ayant comme allié Simon Caboche de la corporation des bouchers, donc une guerre civile sanglante est enclenchée .
La reine Isabeau (femme de Charles VI ) mère de Charles de Ponthieu, futur Charles VII, rencontre Yolande d'Aragon, reine de Sicile afin d'unir Charles 11ans, à sa fille Marie d'Anjou de 9 ans .