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Nos balades commentées - Page 6

  • Journée à Provins

    n ce 21 mai 2016 tels "les visiteurs" nous étions en route dans notre "chariotte" pour un transfert en l'an 1216 vers la cité médiévale, capitale commerciale, illustre pour ses foires de Champagne.

    Gentes dames, beaux chevaliers, troubadours, sommes venus pour un retour vers nos ancêtres, bâtisseurs, marchands, fiers chevaucheurs hauts en couleurs.

    Épisode visite guidée

    De la visite de la ville je garde en mémoire les explications d'un guide passionné par la construction (il a travaillé longtemps à Guédelon) plein d'humour et de culture sur les significations des expressions encore courantes, qui nous ont enthousiasmés.

    Nous abordons le 1er point d'arrêt de la cité par les remparts mjestueux construits sur 5 km et 25 m de haut, à la végétation sauvage dans les fossés. Il n'en subsiste que 1200m avec des tours munies d'archères et des trous boulins (trous carrés servant pour l'échafaudage à l'époque), des fausses tours ou contreforts pleins, servant à la stabilité des murs d'enceinte.Mais entrons par la porte St-Jean, porte fortifiée ou "châtelet d'entrée" très large, qui permettait le passage des charretiers après le pont levis, comprenant un espace piétons.

    On retrouve le 2e élément d'arrêt par les cavités où glissait la herse immense en bois puis le 3e élément, qu'il faut imaginer, celui d'une porte en bois à deux battants à franchir avant d'emprunter une très large rue destinée aux convois (l'autoroute d'autrefois, puisqu'il y avait péage à l'entrée).

    Très vite se présentent des maisons de constructions différentes, aux XIIe et XIIIe siècles les demeures étaient de pierres taillées, puis de jolies façades à pans de bois. La différence entre les pans de bois et les colombages ? Les 1er sont tous verticaux, les seconds sont de positions différentes ; colombages venant du nom d'un outil "colombe".

    Mais voici La Grange aux Dîmes (Dixme) ce qui correspond à 1/10 de redevance sur la recette des ventes et rendu directement au clergé. Le seigneur recevant les droits de péage d'entrées et sorties, les taxes sur les comptes, le coût de l'occupation du sol lors de la vente entre-autre...

    Dans la Grange, la salle basse est composée de voûtes en ogives et de colonnes aux chapiteaux sculptés de fleurs stylisées. Là sont reconstituées des scènes de marchands et des métiers ainsi qu'au rez-de-chaussée "le changeur" (souvent juif ou italien) assis avec sa balance posée sur "la banqua" table "la banque" dont le couvercle se soulève pour accéder aux casiers où sont rangées les pièces de monnaie.

    Son rôle durant 5 jours francs (les foires duraient 5 à 7 semaines) consistait à vérifier s'il n'y avait pas de fausses monnaies. L'argent était aussi bien flamand, italien, ou venu d'Orient. Il fallait l'échanger en monnaie unique, celle de Provins !

    Pour vérifier l'authenticité d'une pièce.... Lire  la suite ICI

  • Direction Beauvais

    Le samedi 16 avril, le car était plein, direction Beauvais.

    Premier arrêt, l’usine de la nacre à Méru. Surprenant d’apprendre que la nacre est issue de coquillages et que nos vieux boutons de culotte en faisaient partie.

    Impressionnant de constater que cette usine continuait la fabrication avec le même matériel mécanique malgré la robotisation et l’informatique.

    Toutes les machines "électriques" demeurent sur le principe des boîtes de vitesse (roues menantes, roues menées), une poulie dont le diamètre fait varier la vitesse de rotation (engrenage dans une boîte de vitesse), et des courroies servant de transmission aux différents outils de rotation (perceuses ou polisseuses) avec une précision certaine pour la fabrication en nombre. Sont exposés de multiples accessoires de mode, des éventails, vaporisateurs, bagues, colliers, dominos...

    Après le déjeuner dans un restaurant réservé pour nous, on a visité la Cathédrale de BEAUVAIS. Un magnifique bâtiment avec une architecture impressionnante par sa hauteur, et surtout une somptueuse horloge astronomique et entre autre, la statue de Jeanne d’ Arc.

    Merci à Arvem de nous avoir fait découvrir ce patrimoine.

    Yvesck

  • Promenade du 1er mai

    Puisque, dit-on "Au mois de mai
    Fais ce qu'il te plait"
    Nous avons opté à l'aise,
    Pour une visite au Père Lachaise.

    Après une semaine pluvieuse
    Enfin une journée radieuse,
    Il ne pouvait en être autrement
    Pour faire le tour des beaux monuments,
    En apprécier les sculptures, les gisants
    Aidés d'explications à tout moment
    Faisant revivre quelques instants,
    Ces illustres endormis, maintenant.
    Découvrir de nouvelles" présences" également,
    Des célébrités disparues dernièrement.

    Le Père Lachaise n'est pas triste,
    Nombreux se recueillent auprès d'artistes
    Souvent recouverts de fleurs,
    Preuve qu'ils sont encore dans les cœurs !

    Par cette très belle journée
    Beaucoup de promeneurs venus chercher
    Le calme d'un verdoyant jardin,
    Où chantent les oiseaux citadins.
    Presque une bouffée de nature
    Surprenant là, où règnent les sépultures !
    C'est toute la magie de cet endroit
    Où nous reviendrons d'autres fois,
    Car il faut bien l'admettre,
    On ne se lasse pas de voir renaître
    Des monuments de tradition
    Soumis à de belles restaurations.

    Après avoir marché, parfois escaladé,
    Cherché un portrait caché,
    Après avoir écouté, fait répéter,
    Découvert un brillant passé,
    Evidemment s'imposait un beau final.
    Sans se faire nullement prier
    Nous avons tous chanté
    Par cœur, ce n'est pas banal,
    "Le temps des cerises" de J.B Clément
    Car nous étions tous contents.

    Mais on entend la cloche sonner
    C'est que la fermeture est annoncée !
    De plein fouet, subitement,
    C'est le retour à la réalité
    Oui ! Même en ce lieu curieusement,
    Nous avons pris le temps de rêver !

    Ninette

  • Bons baisers de l'Oise

    En ce samedi 16 avril, notre vaillante et créative association de quartier, l’ARVEM, avait organisé une sortie dans le département de l’Oise, avec comme objectifs, d’abord la visite du musée de la Nacre et de la Tabletterie, dans la petite ville de Méru, puis ensuite de la Cathédrale de Beauvais et de son horloge astronomique.

    À Méru (patrie du célèbre aviateur Bellonte et de la non moins célèbre sportive Amélie Mauresmo) nous avons donc passé la matinée dans ce Musée, sous la conduite d’un excellent guide, Fabrice, lui-même ancien ouvrier spécialisé, très compétent et plein d’humour.

    Ce fut pour beaucoup d’entre nous une révélation que l’éventail des produits traités : dominos, boutons ,broches, accessoires de mode, éventails…, ainsi que celle des techniques sophistiquées étonnantes mises en œuvre, illustrées par une superbe collection de machines et d’ outils (en provenance notamment de la famille Minelle), venant de diverses fabriques de la région désormais fermées (tuées par le plastique, le plexiglass et le renchérissement du prix des coquillages).

    paris,oiseNous avons en particulier admiré une extraordinaire collection d’éventails, objet mis à la mode par l’impératrice Eugénie et appris le langage de son maniement : "oui – non – je voudrais te parler – je t’aime etc...".  Ce fut aussi, évidemment, l’occasion pour nombre d’entre nous d’acheter divers souvenirs : coquillages, objets en nacre, livres etc.

    Après un excellent déjeuner picard à l’auberge des Tilleuls à Heilles (la célèbre ficelle picarde était à la fois copieuse et délicieuse) nous sommes arrivés à Beauvais.

    Nous avons commencé par admirer longuement la blanche façade de la cathédrale St Pierre, chef-d’œuvre d’architecture gothique, défiant les lois de la pesanteur et de l’équilibre. Elle dont Viollet le Duc disait : "elle reste toujours ce Panthéon de l’architecture française à qui il n’a manqué que d’être achevée".

    Ce qui lui valut à deux reprises de s’effondrer en partie… D’abord en 1284 par l’effondrement d’une partie du chœur. Alors qu’il était regardé comme l’une des quatre merveilles du XIIIe siècle, avec la nef d’Amiens, le portail de Reims et le clocher de Chartres. Rebâti, il reste le plus haut d’Europe (48,50 m.) Puis en 1573, la tour lanterne, qui surpasse alors en légèreté et en hauteur la fameuse flèche de la cathédrale de Strasbourg (142 m) en culminant à la folle hauteur de 153,5 m s’effondre à son tour, faute d’arcs boutants suffisamment solides.

    L’intérieur de la cathédrale est d’une lumineuse beauté : les vitraux occupent une très grande surface, ce qui fait bénéficier l’intérieur du sanctuaire d’une incomparable clarté. Le vert de Beauvais est le frère du bleu de Chartres.

    Et, bien sûr, nous avons admiré la célèbre horloge astronomique exécutée 1865 à 1868 par l’ingénieur Vérité sur le modèle de celle de Strasbourg (90 000 pièces – 68 automates – 52 cadrans qui donnent l’heure de la plupart des points du globe).

    paris,oiseÀ son côté se trouve une ancienne horloge de 1305, rénovée en 1976, qui fonctionne toujours remarquablement après plus de sept siècles ! Son carillon joue les cantiques avant les heures !

    Retour en car sans problème dans le 12e avec le fidèle Dominique, toujours aussi attentif et plein d’humour.

    Merci à l’état-major de l’Arvem, une fois encore, pour cette remarquable sortie.

    Jacques et Nicole

  • Journée dans l'Oise "La cathédrale de Beauvais"

    Après la nourriture du corps il ne nous restait plus qu'à nous diriger vers Beauvais qui quoique ravagée par les bombardements de juin 1940, réussit à préserver sa cathédrale Saint Pierre chef d'œuvre d'architecture défiant les lois de la pesanteur et de l'équilibre.

    De ces défis il nous reste un chœur admirable de 48 m, sous la clé de voûte, et le souvenir d'une tour s'élevant à la croisée du transept de 153m (elle s'effondra, sans faire de victimes, le jour de l'Ascension 1573).

    paris,beauvaisUne animation particulièrement soignée nous permit d'admirer tout à loisir, l'Horloge astronomique créée au XIXème siècle sur le modèle de l'horloge de Strasbourg.

    La petite cathédrale romane de l'époque carolingienne dite la Basse-Œuvre, permet de mieux admirer encore le Nouvel Œuvre qui achevé devait se révéler être la plus vaste église gothique de l'époque.

    Parmi les salamandres de François 1er qui parsèment le parcours et les évocations de Pierre Cauchon qui fut évêque de Beauvais et de Jeanne Lainé dite Jeanne Hachette, il ne restait plus qu'à nous apitoyer sur le sort de Sainte Angadresme patronne de Beauvais qui vit son visage se couvrir de pustules, évitant ainsi le mariage non voulu, comme Sainte Wilgeforte qui elle se vit pousser une longue barbe.

    Le car nous attendait prêt à nous conduire vers notre demeure afin de nous permettre de mieux méditer sur ces édifiantes histoires et de nous remémorer cette promenade si riche et variée.

    Jean-Paul

  • Journée dans l'Oise "Méru-Beauvais"

    MERU -BEAUVAIS

    Vous n'étiez pas avec nous ? Alors je vous entraîne, si vous voulez bien me suivre, partager les souvenirs de cette escapade.

    Munis de nos parapluies, équipés pour affronter les menaces d'un ciel capricieux nous nous sommes laissés emporter vers les "Hauts de France", à Méru, si proche de Paris pour y visiter "le Musée de la Nacre";

    Bien que ce soit un jour de grande circulation pour raison de vacances scolaires, la route est un régal par sa fluidité. Nous en apprécions les étendues de verdure, les arbres en fleurs, les champs de colza l'arrivée rapide au village, où se niche le "Musée vivant." (car une production de créations toujours renouvelées existe essentiellement pour la boutique).

    Mais, vous tous qui étiez présents, voulez-vous que nous refassions le parcours afin de ne pas oublier trop vite ?

    Alors dès notre arrivée, profitant de notre avance, rappelez-vous comme nous avons été attirés tels des aimants, par les nombreuses vitrines de la boutique, où était exposée une multitude d'objets, des bijoux de toutes sortes souvent à partir de boutons, des boîtes, des éventails, des dominos, des animaux en coquillages, des breloques etc.. Le tout regroupé par coloris, vitrines de créations blanches, oranges, vertes, rouges, bleues, des bagues à disposition que l'on essaie à gogo.

    Va-t-on se laisser tenter ? Ah! Que de jolies choses, plus on tourne autour des présentoirs plus on s'émerveille, et plus on retourne en arrière plus on s’extasie ! Il semble que déjà les cartes bleues s'agitent… Impossible de résister, surtout si, après la visite guidée le malheur voulait, faute de temps, que nous ne puissions assouvir nos envies !

    Mais une voix d'homme se fait entendre. Un guide nous annonce que le groupe va être séparé en deux afin de visiter les ateliers plus facilement.

    Nous voici donc embarqués dans l'atelier de la boutonnerie. Lire la suite ICI

    Mais poursuivons notre visite vers l'atelier de la tabletterie. Lire la suite ICI

    Puis, nous sommes invités à avancer vers l'atelier de dominos de luxe. Lire la suite ICI

    Après cette longue visite très intéressante nous avions bien sûr encore le temps de retourner à nos premières amours, dans ce vaste espace d'exposition qui attendait les pigeons enchantés encore plus affamés de souvenirs et qui ne se lassaient pas de tournoyer devant toutes les créations d'artistes.

    Mais l'heure annonçait aussi une réponse à nos tiraillements internes qui réclamaient une suite plus généreuse à nos petits déjeuners très matinaux.

    Partis sur des petites routes pour rejoindre une auberge à quelques kilomètres, où nous avons été reçus "grassement" par un copieux repas typiquement Picard, animé par une pluie battante mais compréhensive, puisqu'elle nous délaissa l'après-midi, ainsi gentiment nous permettre de faire le tour de la cathédrale de Beauvais, sans nous inquiéter !

    Je vous l'avais bien dit "Avec ARVEM on a de la veine" !

    Ninette

  • Promenade "Sur les pas d'Henri IV"

    Pour celles et ceux qui, empêchés, n'ont pu faire cette promenade, alors, maintenant, suivez-moi tranquillement.

    R.V. devant la colonnade. Pourquoi à cet endroit ? Parce que l'espace permet facilement de se regrouper, d'accueillir de nouveaux adhérents prêts à affronter cette escapade composée de curiosités architecturales à rechercher sur le parcours.

    Tout d'abord au sommet du fronton placé au-dessus de la porte d'entrée, qui peut bien être représenté ? Louis XIV ? Napoléon 1er ? Pouvons-nous croire à une telle confusion ? Erreur ? Impossible ! Justement ! Napoléon portant perruque longue, impossible. Et pourtant, aux artistes rien n'est impossible, ils obéissent parfois aux ordres royaux, comme ici, ceux de Louis XVIII avec le retour à la royauté. Confirmation est donnée par le bouclier de Minerve aux effigies de Napoléon 1er ; regardez bien les abeilles sont toujours présentes.....

    Nous voici donc partis pour rechercher dans les médaillons, sur les corniches, les identifications des initiales entrelacées des rois, reines, favorites, ceci sur les façades du Palais Renaissance, (ce que personne n'avait jamais remarqué).

    Tout en parcourant la cour grossièrement pavée, nous foulons les fondations de l'ancien château-fort de Philippe-Auguste, témoins de ce temps, les emplacements du puits et de la citerne, obstrués d'une grosse grille ancienne. Sans danger on peut donc lancer un regard sans fond. Mais allons faire un arrêt au jardin de l'Infante. Savez-vous qu'il a recueilli autrefois les victimes de l'émeute de 1830 et 2 momies offertes à Charles X ? Maintenant toutes sont réunies sous la colonne de la Bastille.

    Passons sur les quais de Seine embellis par les couleurs de l'automne. Allons jusqu'au Pavillon de Flore d'époque Restauration, pour écouter l'anecdote sur les statues placées tout en haut. Vous voulez la connaître ? Alors voici.

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  • Journée dans l'Yonne

    Départ prévu 7h45 ! Nous étions presque tous à l'heure, bon début pour donner bonne impression à de nouvelles adhérentes par cette journée d'évasion.

    Oui ! Mais voilà ! Un petit faux pas : un départ retardé de 20mn dû à de gros dormeurs encore sous la couette, attendus en vain ! Ils ont été pardonnés car, sans doute, avaient-ils senti la ouateur du brouillard qui est venu à notre rencontre très vite sur l'autoroute et la fraîcheur qui suivait.

    Pour éviter que nous poursuivions notre nuit, et afin d'aiguiser nos oreilles, un quiz traditionnel sur le sujet du jour nous occupa l'esprit.

    Comme "avec Arvem on a d'la veine" la voie libre nous permis d'être exacts au rendez-vous avec les guides, qui nous menèrent visiter la ville, longtemps considérée comme l'Archevêché (comprenant les évêchés de Chartres, Auxerre, Meaux, Paris, Orléans, Nevers, Troyes).

    paris,yonneAprès avoir écouté l'historique de la cité, par un circuit à pied, nous découvrons entre-autres, la maison à colombages du 16e siècle agrémentée d'un poteau cornier en bois sculpté d'un arbre de Jessé, quelques massives façades d'hôtels particuliers, l'Hôtel de Ville très imposant construit par le maire début 20e pour affirmer le pouvoir de l’État (séparation de l'église et de l’État), l'important marché couvert du 19e de construction métallique et de verre aux soubassements de briques qui égaient l'ensemble.

    Puis visite de la cathédrale St-Etienne du 12e siècle. Première conception révolutionnaire ; la croisée d'ogives qui servit de modèle à Paris, Chartres, Bourges. Sur les 3 portails subsistent de riches sculptures des 12e, 13e, 14e, ne reste qu'une tour surmontée d'un campanile.

    En entrant, la nef altière et lumineuse attire le regard. Des piliers imposants composés de plusieurs colonnes supportent les voûtes. Nous voici rassemblés devant une petite tête coincée entre 2 colonnettes du 1er pilier. Elle représente la tête d'un conseiller du roi Philippe de Valois avocat au cœur d'un conflit entre le roi et l'archevêque. On dit que les chanoines moqueurs utilisaient ce visage pour éteindre les cierges....

    De très beaux vitraux authentiques pour lesquels nous recevons des explications sur les scènes représentées, mais quelques particularités retiennent notre attention, comme en approchant du chœur, les superbes grilles stylisées du 18e en bronze rehaussées de dorures, qui entourent le maître-autel et son baldaquin ressemblant à celui de St-Pierre de Rome.

    paris,yonneNous sommes surpris de voir dans la chapelle Ste Colombe (patronne des Sénonais) le mausolée du Dauphin, fils aîné de Louis XV. Avant de quitter le déambulatoire, le nez en l'air tourné vers les fenêtres aux couleurs éclatantes, telle celle-ci toute rouge consacrée à l'arbre de Jessé, puis une rosace très particulière et unique entièrement composée de médaillons décorés d'anges musiciens, nous interpelle.

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