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ARVEM ASSOCIATION - Page 4

  • Septembre

    Nous voici à l'automne
    La forte chaleur, la sécheresse c'est fini !
    Maintenant c'est la pluie
    Une météo moins monotone !

    paris,automne

    Terminé le ciel bleu azur,
    Le voici encombré de nuages qui assurent
    Bien trop fort leur puissance
    Et font  naître des nuisances.

    Décidément le climat est incontrôlable,
    Après les feux intenses, le manque d'eau
    Il perturbe les régions douces et agréables
    Fréquemment inonde les villes à gogo.

    Les rues transformées en torrent !
    Mais où va toute cette eau ?
    Ne peut-on la récupérer plutôt
    Que la laisser suivre son courant ?

    Elle file pour envahir désespérément
    Les habitations avec le désespoir
    Qu'éprouvent les habitants
    D'une telle catastrophe souvent à revoir.

    Alors évidemment je pense
    Qu'à Paris on a de la chance,
    Même si parfois on a eu envie
    De partir pour une autre vie.

    Être plus proche de la nature
    Sans penser à toutes ses blessures,
    La mer qui monte, les dunes qui s'écroulent
    En montagne, les blocs de rochers qui déboulent.

    Oui, mais on apprécie encore sa beauté
    Dès que la capitale on a quitté
    Raisonnablement il faut savoir profiter
    En toute saison de sa diversité.

    paris,automne

    Ninette

  • Réponse "à vous de jouer n°811"

    paris,à vous de jouerDeux girouettes 

    À gauche un coq, (très fréquent au clocher d’une église).

    À droite un navire… Que fait-il là, et à quoi correspond-t-il ?

     

     

    paris,à vous de jouerPhoto N° 2. Vue depuis le Pont Au Change.

    Le coq, celui de la girouette de la Chapelle Saint Louis.

    Le "navire" est l’emblème de Paris, de la girouette de la tour du Palais de Justice.

    paris,à vous de jouerPhoto N° 3 vue depuis le Pont Saint Michel…

    les girouettes ont changées de sens, sans perdre le nord !

    Arletteck

     

  • Film "Perla"

    De Alexandra Makarova – Austro-slovaque avec Rebeka Polakova, Simon Schwarz, Simon Schwarz, Carmen Diego

    Début des années 1980. Ayant fui sa Tchécoslovaquie natale, Perla, mère célibataire,  s’est construit une nouvelle vie à Vienne avec son mari autrichien et sa fille Julia. Mais le jour où le père de Julia sort de prison, le passé ressurgit. 

    Poussée à retourner en Tchécoslovaquie communiste, Perla entreprend un dangereux voyage pour faire connaitre Julia à la famille de son père naturel. 

    Ce drame construit sur le vestige du Printemps de Prague, nous conte avec brio la période où la vie pouvait changer radicalement, au gré du passage d’une simple frontière Est / Ouest.

    Un beau portrait de femme libre mais aliénée par les aberrations "politico-géo-idéologiques". Rebeka Polakova est remarquable dans le rôle de Perla.

    Malheureusement, ce thème est récurrent et suggère les drames auxquels nous assistons, quelquefois vivons à travers la planète.

    Un film qui mérite d’être vu pour ne pas oublier les affres de l’histoire et rester attentif autant qu’on puisse l’être.

    MartineC

     

  • Atelier écriture "Haïku - les saisons"

    Thème : écrire un Haïku par saison, (poème japonais de 5 – 7 – 5 pieds)

    Printemps
    Voilà il fait doux 
    Aujourd’hui tout se réveille
    Après le sommeil

    Été
    La chaleur se lève,
    Dame Nuit tarde à se lever
    Les étoiles se posent

    Automne 
    Les feuilles dansent dans l’air,
    Pousser par les vents
    Que le soleil a roussi 

    Hiver
    Tombe la neige
    Le froid surgit durement
    Sans aucuns égards 

    Arletteck

  • Forum des associations 2025

    parisC'est la rentrée !

    Retrouvez-nous au Forum des associations qui se tiendra sur le bd de Reuilly, entre la place Félix Éboué et la rue de Charenton le samedi 13 septembre de 10h à 17h30.

    Vous ne connaissez pas les activités de l'association, c'est l'occasion de les découvrir, vous nous connaissez, un petit bonjour nous fait toujours plaisir.

    Jeanet

  • Atelier écriture : Acrostiche avec "c'est la rentrée"

    C’est bizarre ce brouhaha, en bas ?
    Et pourtant les valises ont été rangées 
    Serait-ce elles qui se chamaillent,
    Toutes malheureuses au fond de la cave ?
    Le prochain voyage est pourtant bien proche
    À peine quelques jours ou quelques mois
    Rien, ni personne ne les abandonneront 
    Et moi non plus, du reste
    Nul ne sait par quel chemin
    Terre, mer ou air, je partirai
    Rare sont les retours qui renoncent 
    Espoir d’un futur départ 
    Encore et toujours plus beau que le précédent. 

    Arletteck

  • Film "La femme qui en savait trop"

    De Nader Saeivar – scénario co-signé par le réalisateur Jafar Panahi ("Un simple accident" Palme d’Or 2025) 

    Avec Maryam Boubani, Nader Naderpour, Abbas Imani

    Iran 2025. Une femme à la retraite est témoin d’un meurtre commis par une personnalité influente du gouvernement. Elle se bat au risque de sa vie pour obtenir justice.

    La mise en scène est magnifique, les dialogues sonnent juste et Maryam Boubani, l’actrice principale, criante de vérité. Sa révolte intérieure traverse l’écran. Le spectateur se sent embarqué dans l’histoire tragique de cette femme et sa famille.

    Ce long métrage, filmé en Iran, est un portrait poignant du courage féminin en Iran et nous ne pouvons qu’applaudir ces cinéastes iraniens qui risquent le pire pour témoigner de la tyrannie du régime.

    La scène de clôture est… extra-ordinaire !

    À ne pas manquer.

    MartineC

  • film "Alpha"

    De Julia Ducournau avec Mélissa Boros, Tahar Rahim, Golshifteh Farahani

    Alpha, 13 ans, est une adolescente qui vit seule avec sa mère. Leur monde s’écroule le jour où elle rentre de l'école avec un tatouage sur le bras. L’histoire se situe dans les années 80/90 sur fond d’épidémie du sida.

    Ce long métrage est une excellente analyse de l’acceptation du deuil et les conséquences de l’addiction aux substances toxiques d’une personne au sein d’une famille.

    Il est aussi un bel hommage à toutes les personnes qui ont été infectées par le sida et se sont retrouvées rejetées, cachées, discriminées par le reste de la population, voire par leurs proches.

    Un film réaliste mais aussi poétique.

    Magnifique dans sa tragédie !

    Martinec