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  • Expo "We are here"

    …. ou les Street Artistes s’exposent au Petit Palais…

    Un parcours dans les salles consacrées aux expositions permanentes mais aussi et surtout, dans la salle de la Concorde, investie par plus de 60 artistes du Street art, ce qui est un hommage au premier Salon des Refusés de 1863 au Palais de l'Industrie. Ce salon accueillait les artistes de l'avant-garde exclus des cercles académiques. Tout un symbole donc…

    Un foisonnement de nombreux tableaux dont certains sont plus reconnaissables que d’autres, puisque ce sont les "originaux" à taille humaine, des œuvres peintes sur les murs des immeubles du 13ème arrondissement par exemple…>

    À voir et à coupler avec l’exposition au musée de la Poste. Je n’y suis pas encore allée, mais je compte bien le faire.

    WE ARE HERE au Petit Palais, jusqu’au 19 janvier 2025, entrée libre.

    Colette C

  • Expo "Olympisme une histoire du monde"

    Olympisme.jpgSi vous voulez admirer les images fortes engendrées par les J.O (les poings levés de Mexico 1968) voir courir Jesse Owens (Berlin 1936) et examiner de plus près le maillot d'Alain Mimoun champion olympique au marathon de (Melbourne 1956), n'hésitez pas, précipitez-vous au Palais de la Porte Dorée l'exposition "Olympisme une histoire du monde(1896-2024) y est programmée jusqu'au 8 septembre.

     Jean-Paul

  • Chana Orloff, au Musée Zadkine 

    Chana Orloff, est venue de Palestine, à Paris en 1905, après avoir fuis les tsars russes de l’Ukraine actuelle. Son but initial, était les grandes écoles de couture, mais elle attrape à pleine mains la sculpture. Milieu réservé aux hommes à l’époque, elle trouvera sa place, surtout grâce à son style, bien particulier !!! Le portrait ! 

    Non pas la caricature, mais elle met en évidence l’aspect particulier du personnage, sans chercher à l’exagérer.

    À la naissance de son fils, certains lui affirmeront, qu’il sera une entrave à sa carrière. Soutenant qu’une femme, artiste, et mère dans le milieu de la sculpture ! elle rétorquera "que la création d’un enfant, ne peut qu’enrichir ses œuvres". Elle n’abandonne donc rien de sa passion, pas même après le décès de son conjoint, restant seule avec un enfant de 1 an. 

    paris,chana orloff,expoHormis les portraits, son thème favori est (bizarre !) la maternité, la mère et l’enfant. Nombre de ses œuvres représentent son fils surnommé Didi. "Mon fils Marin" prône Place des Droits de l’enfant, près de son atelier Villa Seurat, dans XIVème 

    Ses œuvres, sont de taille humaine, lisses et soyeuses, j’ai presque envie de les caresser, et de les prendre dans les bras… 

    paris,chana orloff,expo

    Le buste de Gaston Picard, sérieux, et droit, un peu étriquée dans un costume 3 pièces…. N’a-t-il pas la tête d'un journaliste ?

    paris,chana orloff,expoUn peu plus loin, cette jeune enfant, les mains dans ses cheveux bouclés…. Des fois qu’elle ait un air de famille avec Ida Chagall ? (Voir Ida à la fenêtre de Marc Chagall).

    Et puis, cette autre sculpture représentant Kundig (imprimeur et libraire à Genève …)  Avez-vous remarqué son regard ? J’insiste !

    paris,chana orloff,expo

    Avez-vous déjà vue une sculpture, et remarqué la pupille de son œil un peu espiègle au travers de ces lunettes ? Juste pour lire entre les lignes…. 

    Chana Orloff, fera quelques petites œuvres "pour mettre dans la poche" dira-t-elle…

    Sentait-elle la folie monter ? Quand, mi-juillet 1942, un policier de son quartier, qu’elle croise, lui conseille discrètement, "de ne pas rentrer chez elle, de partir, mais de ne pas reveparis,chana orloff,exponir".  

    Après ce "voyage contraint", elle se remet au travail. Ses œuvres sont rudes, granuleuse… La guerre est passée par là. Cette 1ère œuvre après avoir regagné son atelier en 1945, se nomme "Le Retour" (on ne pouvait pas trouver mieux) L’homme est assis, sur une chaise, tenant la tête dans les mains.

    Cette sculpture est une rare expression de douleur dans toute son œuvre, elle la cachera sous un drap pendant des années.

    paris,chana orloff,expoLa maternité restera son sujet préféré, "Maternité allaitante" date de 1949, mais encore rude et comme accidenté, style qu’elle a adopté après la guerre.

    Et puis récemment, après 80 ans d’errance, dont 18 ans de démarches, juridiques 

    "L’enfant Didi" "est rentré, à la maison", œuvre spoliée il avait disparu comme, 147 autres œuvres de Chana Orloff, seule deux ont été restituées. paris,chana orloff,expo

    Le Ministère de la Culture à crée une série de podcaste concernant les œuvres art spoliées, et facilité leur retour, deux concernent cette sculptrice….

    Et si la curiosité vous appelle…. Certaine de ses œuvres sont présentées régulièrement au sein d’expositions particulières. Mais plus encore son atelier-musée, géré par ses deux petits-enfants, Villa Seurat est accessible pour des visites.  

    Arletteck

     © Photos 2024 by Arletteck

     

     

  • Expo "Van Gogh à Auvers-sur-Oise"

    paris,van gogh,expoAprès m'être "cassé le nez" sur place une première fois  pour obtenir une entrée , le Musée était plein, trop sollicité  par internet, j'ai renouvelé l'expérience.

    Bien m'en a pris, j'ai réussi à découvrir au milieu de la foule "Racines" le dernier tableau de Vincent. Comme quoi l'obstination paye.

    L'exposition dure jusqu'au 4 février, sinon traverser le Musée d'Orsay est toujours un régal. Cela mérite le déplacement.

     Jeran-Paul

  • Expo "Bellini"

    paris,bellini,expoQuel plaisir d’aller au musée Jacquemart André avec ARVEM  un dimanche de pentecôte !

    Pendant une demi heure, avant l’entrée du public, nous avons eu le musée rien que pour nous. La visite était accompagnée par une conférencière ayant fait son Master sur la peinture vénitienne à l’époque de Bellini. Quel régal !

    L’exposition a pour titre "Giovanni Bellini – Influences croisées". En effet Bellini (1435-1516), qui a eu une très longue carrière, a influencé et a été influencé par un grand nombre de peintres. Giovanni Bellni est le fils illégitime de Jacopo Bellini qui est peintre et a un atelier florissant à Venise. Il se forme dans cet atelier avec son frère Gentile Bellini.

    À cette époque, Venise était encore très influencée par le style byzantin. Bellini a appris la technique des icônes dans l’atelier de son père.

    Bellini va être également influencé par Andréa Montegna, venu de Padoue, qui est devenu son beau frère. Montegna fut sans doute influencé par le sculpteur Donatello qui resta une dizaine d’années à Padoue.

    La rencontre avec Antonello de Messine, qui passe à Venise vers 1475, marque un tournant pour Giovanni.. Antonello de Messine a été en Italie l’un des premiers à abandonner la peinture à la détrempe pour la peinture à l’huile, technique largement utilisée par les Nordiques et notamment Van Eyck. Outre les techniques de peinture, Bellini retient d’Antonello et des flamands la leçon du portrait.

    Après la mort de son père, le départ de Montegna pour Mantoue et le départ de son frère Gentile, Bellini récupère l’atelier de son père.

    C’est dans cet atelier qu’il accueille de jeunes artistes dont les plus illustres furent Giorgione et Titien. Si les élèves furent influencés par l’art de leur maître, Bellini saura également apprendre auprès d’eux.

    EvelyneS

     

  • Expo "Chats et autres bêtes"

    paris,expoDans le cadre de l'exposition "Chats et autres bêtes" organisée par les artistes peintres et sculpteurs de l'association ART 19 au Belvédère, 118 avenue Jean-Jaurès 75019 Pairs, j'expose du 24 au 26 mars quelques unes de mes œuvres.

    paris,expoJe serai présente au vernissage qui aura lieu le samedi 25 mars de 18h à 21h

    Au plaisir de vous retrouver.

    Josi

  • Expo "Black Indians"

    Tout le monde connait les Peaux Rouges (Red Indians). Au musée du quai Branly, l’exposition portait sur les Black Indians. Exposition de costumes très riches en couleurs lors des carnavals des afroaméricains de la Nouvelle Orléans.

    Selon la tradition, ces costumes ont été créés par les Africains-Américains au cours du 19ème siècle afin d’honorer la mémoire des communautés amérindiennes qui les ont côtoyés et aidés durant la période de l’esclavage.

    Jean-YvesG

    paris,expo
    2023© by JeanYvesG

  • Exposition Arts19

    Affiche_arts19-51.jpgNous vous invitons au 51e Salon ARTS 19, salle des fêtes Mairie 19è place Armand Carrel,  auquel nous participons.

    Voici les jours où nous assurons les permanences :

    - Lundi 21 novembre de 14h à 17h
    - Mercredi 23 novembre de 11h à 14h
    - Samedi 26 novembre de 11h à 14h

    • Vernissage :  Mardi 22 novembre de 18h à 21h
    • Concert de Jazz (*) : Samedi 26 novembre à 16h suivi de la remise des prix avec un buffet.

    À très bientôt. 

    Josiane et Gilles

    (*) Invité d'honneur "Daniel Humair"

  • Expo " Machu Picchu et les trésors du Pérou"

    paris,expo Comme le recommandait  le "Parisien" du jeudi 25 août il était souhaitable de commencer la visite de cette exposition par celle virtuelle du site.

    Le seul inconvénient, est qu'une queue assez impressionnante vous attend et que cette activité affiche complet jusqu'au jour de clôture le 4 septembre (la réservation par ordinateur est passée par là).

    Cette déception avalée,  les vues du site sont superbement présentées et les objets de vie quotidienne également ainsi que ceux emblématiques de cette civilisation que les Espagnols malmenèrent et manquèrent très peu de faire disparaître. Une exposition marquante malgré tout.

    Jean-Paul

  • Expo " Ilya Répine"

    Voyage au pays de Ilya Répine (1844-1930)

    Grand peintre russe, il est passé dans les oubliettes pendant un certain temps, puis il surgit… Toute première rétrospective française, au Petit Palais, ses toiles soulèvent légèrement son œuvre. Près de 100 tableaux, ont fait le voyage, entre Saint-Pétersbourg et Paris, pour permettre cette rencontre. Pourtant, il en restera (bien dommage) juste quelques-uns que notre mémoire qui sélectionne tout, automatiquement.

    Dans la première salle, tout de suite le regard est attiré, à ne plus voir autre chose que cette toile, gigantesque (presque 3m de long), scène où des hommes, tirent de toute leur force un bateau. Le tableau est nommé "Les Bateliers de la Volga". Une sensation sombre et dure de la souffrance de labeur, en contradiction avec la luminosité de la peinture. Puis c’est au tour de l’oreille d’être attirée par la voix de la guide, non, ce n’est pas une histoire qu’elle conte, c’est une vie qu’elle raconte…. L’auteur par sa peinture, témoin historique, de "sa" Russie…

    Dans sa jeunesse Ilya Répine travaille comme peintre d’icônes, dans un atelier itinérant, en fonction des commandes. Très vite cette tâche ne le satisfait plus.

    Dès le début de son activité créatrice, il fait partie du mouvement des "Ambulants" (groupe d’artiste, dans les années 1860 qui au sein de l’Académie des Beaux-Arts de Saint Pétersbourg, cherche à mettre en avant la réalité de la vie du peuple).

    Répine, devient l’un des peintres importants du réalisme russe. Il passera quelques temps à Paris : Montmartre.

    Par la grandeur, de ses peintures (non seulement en taille !) Il devient notamment le peintre témoignant de la vie, et surtout de l’histoire de Russie. Les Cosaques Zaporogues écrivant une lettre au sultan ...... (1880-1891) dépasse les 3,50 mètres. Ce tableau retrace le fait historique, montrant des Cosaques Zaporogues rédigeant un courrier débordant de mépris et d'insultes, au sultan ottoman, lui refusant leur soutien.

    Le Visiteur inattendu représente la première réaction de la famille au retour d'exil d'un "narodnik" (groupe responsable de l’assassinat du Tsar Alexandre II). En 1884 Répine reçoit sa première "commande d'État" : il lui est proposé de peindre le tableau "Alexandre III recevant les doyens des cantons dans la cour du palais Petrovski à Moscou, grande peinture officielle (H. 3m, / 4,50). Le cadre, de ce tableau est orné des 25 blasons des subdivisions administratives de la Russie, ainsi que d’éléments décoratifs de ces régions.

    Répine fut aussi un grand portraitiste, près de 300 portraits, portent sa signature.

    Ses différents modèles : artistes, scientifiques, hommes politiques, femmes de la haute société… Il reçoit d’ailleurs de très nombreuses commandes. Marié et père, Il peint et repeint son épouse Verra, sa fille, son fils Iouri, qui sera peintre comme lui. Sans oublier les autoportraits, notamment avec Verra.  Ses amis, musiciens, acteurs, écrivains lui serviront aussi de modèle. Parmi eux, Léon Tolstoï, aussi bien un livre à la main, pieds nus, ou labourant, dont l’amitié ne fait que croitre, malgré leurs divergences, dans Tolstoï à travers les yeux d'Ilya Répine, plus d’une vingtaine de tableaux de Tolstoï, (plus croquis et dessins) sont de sa main. >

    Répine, illustrera un certain nombre de manuscrits de Tolstoï, mais pour d’autres auteurs aussi. 

    En 1899 Répine, et sa nouvelle compagne, Natalia Nordmann, s’installent à "Les Pénates", à Kuokkala, située dans le Grand-duché de Finlande, une partie de l'Empire russe, devenue indépendante en 1918, Répine est coupé de la Russie.

    Il finira ses jours en 1930, dans cette ville. En 1948, elle fut renommée Repino pour honorer le peintre Ilya Répine. Il ne reverra jamais sa Russie natale, malgré les sollicitations de l’URSS.

    Arletteck

    2021  12  EXPO  REPINE (1).jpg

    ©2021by Arletteck

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