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Nos visites guidées - Page 10

  • 1 - Expo "Murano"

    Un jour nous avons entendu parler de "L'Ile Noire" et de son auteur, nous avons parcouru "l'Ile de la Cité" afin d'en admirer ses vestiges, et dernièrement une invitation à l'évasion vers "l'Ile de Murano" pour y découvrir les beautés et la particularité de cette matière magique qu'est le verre.

    paris,expositionDepuis l'époque Médiévale jusqu'au XXIeme siècle, l'exposition présente de superbes pièces très anciennes, très décoratives, surprenantes, ingénieuses ou symboliques.

    Des principes de fabrication n'ont plus de secrets pour nous. N'est-ce pas ? Vous souvenez-vous comment s'obtient le verre "calcédoine " ou le "craquelé" ?

    Je vous le souffle ? Invention du XVeme siècle pour le premier, ce sont des débris de verre opale et transparent, avec un ajout de colorants afin d'obtenir des veines de couleurs et ainsi représenter la pierre semi-précieuse du même nom. Le verre "craquelé" translucide et non transparent est obtenu en trempant le verre soufflé chaud dans de l'eau froide, ce qui crée un choc thermique et permet d'obtenir l'aspect de glace.

    Vous souvenez-vous de ces 2 seaux dans cette qualité qui recevaient l'eau bénite destinée à asperger les jeunes mariés et leur lit ?

    Et le "Lattimo" ? "Ce verre blanc de lait" imitant la porcelaine chinoise blanche connue au XVeme siècle et très en vogue au XVIIIe : une coupelle nuptiale au portrait d'un musicien destinée également aux jeunes mariés.

    La "peinture à froid" utilisée pour des objets de présentation aux dessins dont les pigments colorés n'étaient pas recuits, donc pas employé sur la vaisselle lavable.

    paris,expositionJ'ai particulièrement été attirée par ces magnifiques verreries si légères, aux tons pastels, munis de dragons, de dauphins, monstres décoratifs, très tendance à l'époque 1900, ou encore munies de fleurs, ainsi que les aiguières, vases aux couleurs vives telles rouge, vert, bleu et montures de métal doré si travaillées. (Troublante cette alliance entre ces deux matières)<

    Si j'ai repéré "les trembleuses", je n'ai pas retrouvé "les verres espiègles" dans lesquels il est difficile de boire...

    Mais je n'oublie pas non plus toute mon admiration pour cette table du XIXeme superbement décorée d'émaux et d'aventurine pailletée, ainsi que l'immense lustre composé de bouquets de fleurs et feuillages aux tons doux, le modèle type de "star" quand on évoque "Murano". Il efface le pincement au cœur ressenti devant cet autre présenté au sol, brisé, nourrissant les corbeaux !

    En ce qui concerne les oeuvres plus proches de notre époque, je suis réservée. Ma sensibilité n'a pas fonctionné, ressentant un choc de déception, dû à la simplicité presque agressive. Quelques vases rigolos ont attiré mon regard, guère plus. Là on est loin de la finesse, de la délicatesse rencontrée précédemment.

    Des formes géométriques, pas de décors, des bizarreries pour lesquelles je manque d'intérêt. À mes yeux un certain déclin, même si ce sont des oeuvres d'art.

    Je vous laisse à vos souvenirs, mais je suis curieuse de savoir ce que vous en avez pensé !

    paris,exposition

    Ce doit être cela que s'évertuait à vouloir me prévenir, le poisson rouge tournoyant tout en me regardant longuement, ouvrant large sa bouche, alors que j'avais pitié de lui, tout seul, à l'étroit dans son thermomètre...

    Mais je n'ai pas su l'entendre....

    Ninette

  • Maison d'Auguste Comte

    Auguste Comte.jpgVisite de la maison de cet homme du XIXème siècle (1798-1857), maison située au 10 rue Monsieur le Prince. Un intérieur sobre, reconstitué à l’identique avec le mobilier lui ayant appartenu. Des tableaux nous font connaître ceux qui ont compté pour lui.

    Notre conférencier nous narre avec passion la vie de ce philosophe et homme du "positivisme" puis fondateur de la religion de l’humanité.

    Sa rencontre avec Saint Simon dont il devient le secrétaire, les savants qu’il fréquente, sa crise de folie qui a nécessité un enfermement de près d’une année, les 3 femmes qui ont compté dans sa vie (sa femme Caroline, Clotilde et sa bonne).

    Après avoir développé les bases de sa philosophie positiviste, Auguste Comte souhaite éduquer les prolétaires et passer au positivisme religieux en fondant la religion de l’humanité. Pour ce faire il crée un calendrier basé sur la commémoration des grands hommes de l’humanité et instaure également des sacrements en s’inspirant de la religion catholique...

    Toutes les théories d’Auguste Comte sont aujourd’hui quasi abandonnées, sauf dans l’ancienne demeure de Clotilde de Vaux au 5 rue Payenne à Paris où subsiste une chapelle de l’humanité et au Brésil.

    Une visite très intéressante pour découvrir ou mieux connaître cet homme.

    Colette C

  • Expo "Dali"

    Une nouvelle exposition Salvador Dali plus de 30 ans après la grande rétrospective que ce même Centre Pompidou lui avait consacré et que j’avais eu le plaisir de visiter à l’époque.

    Dali, l’artiste surréaliste d’exception, l’artiste controversé bien sûr pour son cabotinage, mais dessinateur de génie. Des toiles célèbres comme La Persistance de la mémoire (Les Montres Molles) avec un petit format surprenant, partout une récurrence de motifs obsessionnels, des associations d’images, duplicité des images également, chaque toile nous incite à la recherche d’éléments les plus divers… L’exposition nous montre aussi des œuvres éphémères, des sculptures, et des extraits de films ou d’interviews…

    Les commentaires de notre guide nous ont permis de mieux cerner ce personnage hors du commun, mais cerner est un bien grand mot car il reste toujours énigmatique…

    Un grand parcours dans l’univers de Dali à ne pas manquer et ce, jusqu’au 25 mars 2013.

    Colette C

  • Hiroshige, l'art du voyage

    paris,expositionArvem nous avait conviés à une promenade guidée à travers les œuvres d’Hiroshige, Hiroshige nom qui m’était inconnu jusqu’à l’annonce de cette exposition.

    Formidable voyage avec les estampes de cet artiste japonais du XIXe siècle, dans ce monde imaginaire et ancestral à la fois. Des paysages à travers les saisons, des ponts, des rivières, des montagnes, des temples, des maisons de thé avec parfois, en arrière-plan, des paysans, des pèlerins, des geishas qui animent ces rues et ces paysages. D’autres fois ce sont directement les activités humaines qui sont le sujet principal du tableau.

    Ses séries sur la route du Tokaido, ses témoignages sur sa ville natale Edo, d’autres croquis de voyages… Un nombre incalculable de planches bien à l’abri d’une lumière trop forte qui pourrait endommager ces œuvres exceptionnelles.

    Les commentaires très documentés de notre guide nous ont permis de mieux appréhender cette exposition mais aussi de connaître un peu mieux ce Japon fermé au monde occidental à cette période et de cerner ce que pouvait être la dictature du shogun, le dirigeant militaire de cet empire.

    Cette exposition dure à la Pinacothèque jusqu’au 17 mars 2013. A voir ou à revoir…

    Colette C

  • Expo "La photographie en France de 1950 à 2000"

    Visite guidée du 25 novembre 2012 à la Maison européenne de la photographie

    paris,expositionRétrospective assez complète de notre histoire contemporaine au travers de la photo, conférencier qui a su nous intéresser. Résultat nous aurons un regard plus attentif sur les clichés, un peu comme si nous regardions des peintures. Sortie positive comme d'habitude.

    Julie G

     

     

    paris,expositionCe qui m'a le plus marqué : Le fait que le baiser de l'hôtel de ville de Doisneau ait été photographié pour une commande d'un journal américain pour illustrer le french kiss - je savais que le couple avait posé, j'ignorai qu'ils étaient comédiens.

    Françoisej

  • Riches heures en Picardie

    Une forte délégation Arvemoise s’est rendue dans cette magnifique région le samedi 16 juin sous la houlette de Jeannette et la conduite de notre fidèle et excellent chauffeur Dominique pour visiter et admirer successivement

    • le château de Pierrefonds
    • la clairière de Rethondes et son musée
    • le château de Compiègne

    paris,picardie


    PIERREFONDS

    Une altière silhouette sur fonds de ciel gris-noir (Gustave Doré) nous accueille.

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    Après un déjeuner au restaurant "le Commerce" à Pierrefonds, vite fait mais bien fait, et dégustation de la friandise locale : les "mâchicoulis" une variété de caramel, nous nous rendons à la clairière de Rethondes au cœur de la forêt de Compiègne.

    paris,picardie

    Elle est très bien aménagée, en mémoire de la signature de l’Armistice  entre la France et l’Empire allemand, le 11 novembre 1918, et à la gloire  des armées françaises et alliées qui finirent par gagner cette  épouvantable  guerre de 1914-1918 : 1 500 000 morts français…

    Le musée, très riche, présente en plusieurs salles un remarquable résumé  de ces événements tragiques : cartes, photos, uniformes, matériels,  armes etc. (À revoir)

    paris,picardieCOMPIEGNE : Les palais des deux Empereurs

    Il est 16 h lorsque nous arrivons au château et … il fait soleil !

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     Ce fut donc une journée magnifiquement remplie où la convivialité bien connue de notre association fut également célébrée pendant les trajets en car, à l’aller comme au retour, par des jeux-quiz (Jean Paul puis Annie), des devinettes (Jacques) et une distribution de sucreries !

    Donc, merci à Arvem, mais retournons dès que possible à Compiègne pour consacrer toute une journée au château et à ses dépendances. Un pique nique dans le Parc s’impose !

    Jacques et Nicole

  • Degas et le nu à Orsay

    Afin de partir à la découverte de Degas, nous sommes accueillis par le sourire et la voix douce de Karine, guide qui nous a déjà accompagnés et éclairés lors d'autres visites.

    paris,expositionLa femme est présentée dans son intimité en positions parfois difficiles, lors de sa toilette, prenant soin des différentes parties de son corps, sortant de son bain, s'essuyant, coiffant sa longue chevelure souvent rousse.

    Elle est présentée la plupart du temps de dos, celui-ci dévoilant facilement l'âge, parfois l'origine sociale. Le grain d'une peau blanche apparaît, les imperfections du corps sont marquées. Le visage étant rarement visible, nous ne percevons pas de sourire, serait-il caché ?

    paris,expositionLes maisons closes sont une source d'inspiration, ici les femmes oisives, en attente, sont plutôt replètes. Les femmes menues à la peau plus colorée sont rencontrées dans le milieu ouvrier où elles sont plus actives. L'opéra est aussi un lieu où Degas rencontre des "petits rats" pour modèle (entre autre), et qu'il réalise en sculptures. Ah ! Les petites danseuses, celles ci sont fréquentées par ce milieu artistique ou bourgeois, pour qui, pour quoi ?

    Vu d'ensemble, il est possible de penser que Degas est là en observateur, devant une femme objet plutôt que sujet. Chaque geste est un silence.

    Après deux heures de visite guidée détaillée, il est possible de flâner près des sculptures du hall d'accueil, ou d'aller se restaurer.

    Annick D.

  • Notre-Dame de la sagesse

    Après avoir visité le matin à la Maison Rouge l'exposition Néon "Who' s afraid of red, yellow and blue ?" et nous être restaurés (nourrir l'esprit c'est bien ! mais le corps a ses exigences) nous voici partis en bus ou à pied pour les plus courageux, afin de nous rendre dans la chapelle Notre-Dame de la Sagesse près de la Bibliothèque Mitterrand.

    paris,visite,chapelleUne paroissienne dévouée nous attendait, nous invitant à visiter cet ouvrage consacré par le cardinal Lustiger le 16 septembre 2000. Le bâtiment est très sobre contrastant par sa dominante rouge avec la couleur grise des immeubles voisins.

    L'intérieur est également d'une grande sobriété. Cependant au cours de notre visite nous découvrirons notamment, avec surprise, dans le choeur paris,visite,chapelleune statue du XVIeme siècle " Notre-Dame de la Sagesse " où la Vierge tient entre ses mains l'Enfant Jésus jouant avec un oiseau (sans doute un chardonneret) et un chemin de Croix original nous rappelant les 7 dernières paroles du Christ.

    paris,visite,chapelleC'est donc, en résumé, un lieu de culte qui nous fait entrer dans le XXIeme siècle tout en nous permettant de nous souvenir que la religion chrétienne prend sa source dans les 20 siècles qui le précèdent.

    Jean-Paul

    Photos © Jeanet © Françoise J.

  • Journée du 4 mars

    Suite note du 7 mars

    Exposition "le néon"
    paris,expo,égliseTrès inattendue mais néanmoins très intéressante. Très impertinente dans la salle où étaient supendus les néons relatant "le sexe féminin", très flashie, très abstraite.

    Mais quelle jolie invention que ces ''lettres gazeuses de toutes les couleurs.. et qui habite notre vie de tous les jours !!!!!!

    Notre Dame de la Sagesse
    Là un autre monde, mais difficile à se croire dans une église, beaucoup trop moderne et contrastante avec les églises d'avant. Atmosphère très froide.

    Genevieve M.

  • Expo "Le néon"

    Très intéressante exposition autour du « Néon » dans l’art, car j’ai en effet découvert que le néon n’est pas seulement utilisé à des fins publicitaires. C’est un médium pour véhiculer des messages. Mais pour cette exposition les commentaires ont été indispensables pour comprendre la signification de ces œuvres.

    © Jeanet

    Des couleurs, des formes, des graphies manuscrites ou typographiques… Des formes géométriques simples, cercles, carrés, lignes, parallélépipèdes… Des allusions politiques… Des œuvres simples mais aussi des constructions multiples avec un foisonnement de couleurs et de lettres en un véritable chaos.

    Ce qui m’a le plus marquée : une très belle composition de mains qui s’allument par alternance et créent un mouvement de poignées de mains. Et puis, alliés à des jeux de miroirs, ces néons rouges ou jaunes qui produisent l’illusion d’un espace infini derrière une porte ou dans un puits sans fin…

    Merci à Arvem de nous avoir permis de découvrir cette première exposition internationale consacrée au néon dans l’art.

    Collette C.

    À suivre >>>