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Nos visites guidées - Page 10

  • Expo "La photographie en France de 1950 à 2000"

    Visite guidée du 25 novembre 2012 à la Maison européenne de la photographie

    paris,expositionRétrospective assez complète de notre histoire contemporaine au travers de la photo, conférencier qui a su nous intéresser. Résultat nous aurons un regard plus attentif sur les clichés, un peu comme si nous regardions des peintures. Sortie positive comme d'habitude.

    Julie G

     

     

    paris,expositionCe qui m'a le plus marqué : Le fait que le baiser de l'hôtel de ville de Doisneau ait été photographié pour une commande d'un journal américain pour illustrer le french kiss - je savais que le couple avait posé, j'ignorai qu'ils étaient comédiens.

    Françoisej

  • Riches heures en Picardie

    Une forte délégation Arvemoise s’est rendue dans cette magnifique région le samedi 16 juin sous la houlette de Jeannette et la conduite de notre fidèle et excellent chauffeur Dominique pour visiter et admirer successivement

    • le château de Pierrefonds
    • la clairière de Rethondes et son musée
    • le château de Compiègne

    paris,picardie


    PIERREFONDS

    Une altière silhouette sur fonds de ciel gris-noir (Gustave Doré) nous accueille.

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    Après un déjeuner au restaurant "le Commerce" à Pierrefonds, vite fait mais bien fait, et dégustation de la friandise locale : les "mâchicoulis" une variété de caramel, nous nous rendons à la clairière de Rethondes au cœur de la forêt de Compiègne.

    paris,picardie

    Elle est très bien aménagée, en mémoire de la signature de l’Armistice  entre la France et l’Empire allemand, le 11 novembre 1918, et à la gloire  des armées françaises et alliées qui finirent par gagner cette  épouvantable  guerre de 1914-1918 : 1 500 000 morts français…

    Le musée, très riche, présente en plusieurs salles un remarquable résumé  de ces événements tragiques : cartes, photos, uniformes, matériels,  armes etc. (À revoir)

    paris,picardieCOMPIEGNE : Les palais des deux Empereurs

    Il est 16 h lorsque nous arrivons au château et … il fait soleil !

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     Ce fut donc une journée magnifiquement remplie où la convivialité bien connue de notre association fut également célébrée pendant les trajets en car, à l’aller comme au retour, par des jeux-quiz (Jean Paul puis Annie), des devinettes (Jacques) et une distribution de sucreries !

    Donc, merci à Arvem, mais retournons dès que possible à Compiègne pour consacrer toute une journée au château et à ses dépendances. Un pique nique dans le Parc s’impose !

    Jacques et Nicole

  • Degas et le nu à Orsay

    Afin de partir à la découverte de Degas, nous sommes accueillis par le sourire et la voix douce de Karine, guide qui nous a déjà accompagnés et éclairés lors d'autres visites.

    paris,expositionLa femme est présentée dans son intimité en positions parfois difficiles, lors de sa toilette, prenant soin des différentes parties de son corps, sortant de son bain, s'essuyant, coiffant sa longue chevelure souvent rousse.

    Elle est présentée la plupart du temps de dos, celui-ci dévoilant facilement l'âge, parfois l'origine sociale. Le grain d'une peau blanche apparaît, les imperfections du corps sont marquées. Le visage étant rarement visible, nous ne percevons pas de sourire, serait-il caché ?

    paris,expositionLes maisons closes sont une source d'inspiration, ici les femmes oisives, en attente, sont plutôt replètes. Les femmes menues à la peau plus colorée sont rencontrées dans le milieu ouvrier où elles sont plus actives. L'opéra est aussi un lieu où Degas rencontre des "petits rats" pour modèle (entre autre), et qu'il réalise en sculptures. Ah ! Les petites danseuses, celles ci sont fréquentées par ce milieu artistique ou bourgeois, pour qui, pour quoi ?

    Vu d'ensemble, il est possible de penser que Degas est là en observateur, devant une femme objet plutôt que sujet. Chaque geste est un silence.

    Après deux heures de visite guidée détaillée, il est possible de flâner près des sculptures du hall d'accueil, ou d'aller se restaurer.

    Annick D.

  • Notre-Dame de la sagesse

    Après avoir visité le matin à la Maison Rouge l'exposition Néon "Who' s afraid of red, yellow and blue ?" et nous être restaurés (nourrir l'esprit c'est bien ! mais le corps a ses exigences) nous voici partis en bus ou à pied pour les plus courageux, afin de nous rendre dans la chapelle Notre-Dame de la Sagesse près de la Bibliothèque Mitterrand.

    paris,visite,chapelleUne paroissienne dévouée nous attendait, nous invitant à visiter cet ouvrage consacré par le cardinal Lustiger le 16 septembre 2000. Le bâtiment est très sobre contrastant par sa dominante rouge avec la couleur grise des immeubles voisins.

    L'intérieur est également d'une grande sobriété. Cependant au cours de notre visite nous découvrirons notamment, avec surprise, dans le choeur paris,visite,chapelleune statue du XVIeme siècle " Notre-Dame de la Sagesse " où la Vierge tient entre ses mains l'Enfant Jésus jouant avec un oiseau (sans doute un chardonneret) et un chemin de Croix original nous rappelant les 7 dernières paroles du Christ.

    paris,visite,chapelleC'est donc, en résumé, un lieu de culte qui nous fait entrer dans le XXIeme siècle tout en nous permettant de nous souvenir que la religion chrétienne prend sa source dans les 20 siècles qui le précèdent.

    Jean-Paul

    Photos © Jeanet © Françoise J.

  • Journée du 4 mars

    Suite note du 7 mars

    Exposition "le néon"
    paris,expo,égliseTrès inattendue mais néanmoins très intéressante. Très impertinente dans la salle où étaient supendus les néons relatant "le sexe féminin", très flashie, très abstraite.

    Mais quelle jolie invention que ces ''lettres gazeuses de toutes les couleurs.. et qui habite notre vie de tous les jours !!!!!!

    Notre Dame de la Sagesse
    Là un autre monde, mais difficile à se croire dans une église, beaucoup trop moderne et contrastante avec les églises d'avant. Atmosphère très froide.

    Genevieve M.

  • Expo "Le néon"

    Très intéressante exposition autour du « Néon » dans l’art, car j’ai en effet découvert que le néon n’est pas seulement utilisé à des fins publicitaires. C’est un médium pour véhiculer des messages. Mais pour cette exposition les commentaires ont été indispensables pour comprendre la signification de ces œuvres.

    © Jeanet

    Des couleurs, des formes, des graphies manuscrites ou typographiques… Des formes géométriques simples, cercles, carrés, lignes, parallélépipèdes… Des allusions politiques… Des œuvres simples mais aussi des constructions multiples avec un foisonnement de couleurs et de lettres en un véritable chaos.

    Ce qui m’a le plus marquée : une très belle composition de mains qui s’allument par alternance et créent un mouvement de poignées de mains. Et puis, alliés à des jeux de miroirs, ces néons rouges ou jaunes qui produisent l’illusion d’un espace infini derrière une porte ou dans un puits sans fin…

    Merci à Arvem de nous avoir permis de découvrir cette première exposition internationale consacrée au néon dans l’art.

    Collette C.

    À suivre >>>

  • Le musée des Arts Forains

    Entrez entrez, Mesdames et Messieurs. Venez vous réchauffer au "Musée des Arts Forains". Vous êtes invités à passer par le "Salon Vénitien". Une musique entraînante et festive vous incitera à passer sous le pont des soupirs. Voyez ces inconnus masqués, vêtus de capes de satin étoilé, de longues robes soyeuses, de plumes légères et colorées, de coiffures poudrées et bouclées. Passez derrière un paravent et observez par le petit trou, vous serez étonnés de voir qui vient se distraire sous les lumières tamisées.

    Continuez dans une autre salle. Ici, vous pourrez faire un tour de manège, allez laissez vous tenter, n'ayez pas crainte du ridicule, il n'y a qu'un public autorisé. Choisissez : carrosse, attelage, cygne, cheval au pas ou cheval monte en l'air, il y aura même un tour supplémentaire pour qui veut s'étourdir.

    Ces objets en bois peint sont en parfait état, lisses au toucher, ils semblent vivants, et pourtant ils datent d'un siècle pour certains. Remis en état ils sont là pour transmettre une époque où le public venait à la fête pour se rencontrer.


    © Josiane D. © Martine C.

    Ohé ! Ne partez pas comme çà, la fête n'est pas terminée. Si vous pédalez énergiquement sur un vélocipède, vous aurez peut-être droit à une barbe à papa, des nougats, un cochon en pain d'épices ou une pomme d'amour ou même des frites.

    Allez, posez pied à terre et venez vous défouler à un de ces nombreux jeux d'adresse, les garçons de café vous attendent. De toute façon, qui perd, gagne.

    Enfin, satisfait de votre adresse, la valse des automates vous transportera dans des coins plus ou moins obscurs où les décors pourront réveiller vos peurs lointaines.

    Après vous être régalés des plaisirs enchantés, revenus à la réalité, vous pourrez si vous le souhaitez, louer ces lieux pour un évènement exceptionnel. ceci dans un cadre original (moyennant larges finances).

    Annick D.

  • Hôtel de Soubise et Grands dépôts des Archives Nationales

    Nous avons eu l’honneur de pénétrer dans les salles des Grands Dépôts de l’hôtel de Soubise. Impressionnant est le mot unanime de tous les adhérents. Des kilomètres de rayonnages (90 km nous a-t-on dit !) supportant des ouvrages reliés, des cartons de conservation ou des boîtes d’archives, estampillés de lettres et de numéros répertoriant leurs précieux trésors. Des archives dont les plus anciennes remontent au VIIème siècle et les plus récentes à 1958 puisque dorénavant les documents sont acheminées à Fontainebleau.

    paris,muséeDeux immenses ailes sont réservées à tous ces documents : l’aile Louis-Philippe avec de larges salles en pierre, voûtées,  conçues pour garder au maximum une température constante, très fraîche d’ailleurs en ce mois de janvier… Et l’aile Napoléon III avec un décor différent : rayonnages et meubles en chêne, des balustrades et des escaliers en fonte, chaque salle étant précédée d’un écriteau en marbre indiquant le fonds qui y est conservé.

    paris,muséeEt puis le Trésor des chartes qui regroupe l’ensemble des titres relatifs aux intérêts de la France. Là y est entreposée la fameuse armoire de fer, coffre-fort construit pour répondre à une demande de l’Assemblée constituante de 1790,  pour conserver les originaux des lois, des procès-verbaux des assemblées et aussi les planches et tout le matériel ayant servi à la fabrication des assignats.

    Des documents disposés dans des vitrines nous permettent de mieux nous rendre compte du contenu de toutes ces boîtes. Rédigés en latin gothique pour les plus anciens, des signatures prestigieuses des rois et reines de France, un mètre étalon et un kilogramme étalon en platine et la première plaque gravée de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, pillée puisque remplacée par les suivantes.

    paris,muséeUne fois ces salles parcourues avec moult explications plus intéressantes les unes que les autres de notre guide, nous nous retrouvons dans une atmosphère plus douillette de l’hôtel de Soubise proprement dit avec les appartements du prince et de la princesse.

    Une formidable visite pour laquelle nous devons un grand merci à Arvem.

    Colette C.

  • Visite des Galeries Lafayette

    parisEn cette période de "fêtes", nous nous sommes aventurés jusqu'aux Galeries Lafayette, non pour y faire des emplettes, mais plutôt aller à la découverte de ces lieux non monnayables.

    Quelques curieux tentent de se joindre à nous. Stop ! il n'y a pas d'oreillettes pour les non-inscrits, le compte est bon ... Après avoir ajusté celle-ci tant bien que mal, suivons le guide et soyons attentifs aux commentaires plutôt accélérés sur l'historique, l'architecture, l'évolution et l'agrandissement progressif du magasin.

    parisPassons par des allées de traverse afin d'éviter la cohue des rayons prisés. L'opération est plutôt réussie, il semble que tout le monde suit. Nous monopolisons l'ascenseur une fois, deux fois, trois fois, ceci afin d'atteindre les hautes sphères.

    Et là, vus du cinquième, la coupole et ses vitraux, les balcons, les décors, l'éclairage, sont un plaisir pour les yeux, les commentaires sont superflus, la féerie de l'enfance nous envahit. Bon, sortons de nos rêves, la visite n'est pas terminée, dommage qu'il faille continuer notre périple.

    L'air frais de la terrasse nous tente afin de découvrir la ville illuminée. Sauf que, même en nocturne, passé dix huit heures, impossible d'y accéder. Désolés, nous battons en retraite et décidons d'aller nous restaurer. Aussitôt dit aussitôt fait, en petit comité nous avons pu discuter et mieux nous rencontrer.

    Annick D.

  • Visite de l'atelier du gemmail

    Suite note du 11 novembre

    Connaît-on le principe du gemmail ? Concurrent du vitrail ? Pas vraiment, même s'il s'agit du travail du verre.

    Sa technique particulière donne un résultat qui rappelle celui de la peinture, mais consiste en la superposition de morceaux de verre teinté afin d'obtenir des effets de dégradés et d'intensité des couleurs, généralement très vives, tout en composant des formes concrètes : visages, fleurs, paysages etc..

    Contrairement au vitrail, ici pas d'emploi de plomb qui coupe le motif.

    Vu de loin, le gemmail présente tout à fait l'aspect de la peinture, mais, translucide, de près on découvre une multitude de petits morceaux qui les uns sur les autres donnent un relief plus ou moins prononcé, jusqu'à 5 cm d'épaisseur. Le tout est éclairé par l'arrière, à plusieurs endroits ; lumière et transparence feront l'effet désiré.

    Ces véritables tableaux lumineux "les Gemmaux", sont évidemment très lourds. Ils peuvent être fixés au mur, ou simplement posés sur un meuble, puisque extrêmement décoratifs.

    Après avoir reçu l'historique de cet art et son évolution par l'artiste lui-même, nous avons pu apprécier le travail par une démonstration.

    Au départ un modèle est proposé, après l'avoir suivi pour l'emplacement des coloris, l'artiste "le gemmiste" place le fond et applique tous les morceaux de verre, coupés à main nue et à l'oeil, afin de juxtaposer puis superposer les différents tons pour en donner plus ou moins de luminosité ou de profondeur tout en respectant les figures souhaitées.

    Beaucoup de talent, de goût, de patience pour ces réalisations, pour ce travail ? Non, pour une véritable passion, celle de toute une vie !

    Si cet art remonte aux années 30, il a été florissant dans les années 50, mondialement exporté. Ces dernières années peu de publicité n'a été faite pour le promouvoir, même si la station de métro Franklin Roosevelt a été décorée de quelques panneaux. Il serait désolant que toutes ces oeuvres magnifiques restent dans l'ombre, voire tomber dans l'oubli.

    Visite découverte fort intéressante, un régal pour les yeux.

    Ninette

    Photos © Marie-Andrée © Jeanet