Notre visite guidée en décembre 2014
©by Yvesck
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Notre visite guidée en décembre 2014
©by Yvesck
Un nouveau musée Parisien (Mundolingua) nous fait découvrir et comprendre un des plus vieux métiers du monde, la communication....
Petit musée sur 2 étages, mais le paradis du Langage International, celui des animaux, des bébés, en passant par le Braille, Morse et codages. Une merveille de découvertes... À ne pas rater.
Yves C
Visite en novembre 2014
© 2014 by Yves C & Jeanet
Nous avions rendez-vous à 10h30 devant le Petit Palais pour voir l'exposition de Baccarat. Nous étions 25 arvemois (es).
Nous avons eu un guide super pour nous expliquer l'histoire du cristal. Il a répondu à toutes nos questions.
C'était un vrai petit bijou cette exposition.
Cliquez sur les images pour les agrandir
Tout le groupe était ravi de voir tous ces verres, carafes et ces lustres magnifiques.
La visite à durée 2h. Quand elle a fini tout monde a dit : déjà !
Après, un petit groupe est retourné revoir l'expo et l'autre s'est dirigé vers la Bastille pour aller manger chez Léon. Puis on s'est séparé pour rentrer chez nous.
J'ai passé une agréable matinée.
Andrée L
Très belle exposition présentée au musée Jacquemart-André sur LE PERUGIN.
Cet artiste de la Renaissance m’était inconnu et j’avais donc tout à découvrir. Peu de toiles de ce maître, exposées dans de petites salles, et maintes explications de notre conférencière qui a su nous faire apprécier le travail de cet artiste. Quelques œuvres de Raphaël notamment nous ont permis de constater l’influence que LE PERUGIN a eue sur ses congénères.
Les couleurs m’ont enchantée et j’ai encore en mémoire le très beau portrait de Marie-Madeleine. Et que dire des « Vierge à l’enfant » par LE PERUGIN ou par d’autres artistes rassemblées dans une même salle.
Ce musée sait particulièrement nous enchanter avec ses expositions.
Colette C
Arvem nous a donné l’occasion de faire une incursion dans ce tout nouveau musée* qui retrace l’histoire de l’enregistrement sonore.
Notre guide nous a tout d’abord relaté cette idée de Charles Cros qui a été reprise vers 1889 par d’autres grands noms comme Edison, Charles Pathé… Au tout début ces appareils étaient à moteur mécanique à ressort et nous avons découvert avec stupéfaction cet appareil équipé d’une galerie de 18 écouteurs qui permettait à 18 personnes l’écoute simultanée d’un cylindre. Ce type d’appareil, présenté au grand public lors de foires, a rendu les machines parlantes très populaires. Charles Pathé en a acquis un, l’a exploité comme forain puis en a vendu avant de les fabriquer lui-même.
Gramophone, Pathéphone, électrophone, jukebox… nous avons déambulé parmi cet univers d’un autre temps, qui a évolué à grande vitesse au cours d’un siècle. Les pavillons parfois doubles de ces appareils étaient impressionnants… Après les cylindres sont apparus les disques qui se lisaient d’abord à partir du centre, avant de se lire à partir de l’extérieur comme nous les connaissons…
Le tout avec maintes explications de notre guide sur ces appareils parfaitement restaurés, illustration musicale, photos d’artistes et anciennes affiches…
Un régal pour les yeux et les oreilles.
Colette C
(*)53 bd Rochechouart à Paris 9è- M° Anvers
Visite d'avril 2014
© by Martinec, Jeanet
Étonnant, épatant, époustouflant Gustave Doré ! (1832 – 1883)
Visite d’un groupe de l’Arvem sous la houlette de Jeannette (merci !) le samedi 15 mars 2014 de l’exposition Gustave Doré au musée d’Orsay.
Nous connaissons tous, plus ou moins, Gustave Doré, illustre illustrateur de grands auteurs de la littérature européenne : Rabelais, Dante, Cervantès, Charles Perrault, La Fontaine, Walter Scott, Victor Hugo etc.
Mais, à l’occasion de cette remarquable exposition, très bien commentée par notre conférencière Karine, nous avons découvert un artiste protéiforme, exubérant, lyrique et prolifique et plus encore :
- Illustrateur certes, mais aussi peintre, sculpteur, mais aussi acrobate émérite, violoniste virtuose, alpiniste chevronné, grand voyageur, européen avant la lettre : Angleterre, Écosse, Espagne, Tyrol, pays qui ont également nourri son art et son imaginaire et enfin grand séducteur !
- Dessinateur prodige, autodidacte mais professionnel dès l’âge de 15 ans, il a brillé avec bonheur dans tous les domaines de la peinture : sujets religieux (le gigantesque et superbe "Jésus quittant le prétoire") portraits (les Saltimbanques ) paysages (Loch Lomond) sujets mythiques (l’Enigme) sujets historiques (la Commune) etc.
- Et quel sculpteur ! Ainsi "La Parque et l’Amour" admirable de force et de grâce et "À saute-moutons" modèle de finesse et de drôlerie.
Il s’agit donc d’une œuvre immense et magnifique qui a inspiré ensuite de nombreux artistes, peintres, sculpteurs, écrivains et aussi des… cinéastes, tout au long du XXe siècle, de Méliès à Tim Burton en passant par Cecil B. DeMille, ce qui est moins banal !
Dommage que cette exposition soit scindée en deux parties : l’une au rez-de-chaussée et l’autre, après un circuit invraisemblable, au cinquième étage !
Qu’importe finalement, puisque nous avons passé de vrais moments de bonheur.
Gloire à Gustave Doré !
Jacques et Nicole
Belle visite au Petit Palais pour voir l’exposition consacrée à Jordaens, ce collaborateur de Rubens et de Van Dyck. On peut y constater l’évolution de son art, sa maîtrise progressive dans les carnations qu’il représente et qui sont de plus en plus fidèles à la réalité. Excellence des visages "âgés", voire des "trognes".
J’ai pu apprécier la mise en scène de cette exposition avec la réalisation de maquettes grandeur nature de portes et de façades de maisons et un plan de la ville d’Anvers au sol.
Très bons commentaires du guide qui nous a décrypté les symboles de l’époque (perroquet, perle rouge, chardonneret…) et nous a expliqué le contexte religieux difficile de cette époque.
Et pour terminer cette visite, nous étions conviés dans un cabinet de curiosités pour voir, toucher, admirer les différents éléments ayant pu servir à Jordaens.
Une très belle et instructive exposition.
Colette C
Émerveillée, fascinée par la beauté de cette exposition voici par quels sujets mon émoi s'est révélé. Toute une histoire... à découvrir....
Depuis "Le retour du marché" j'ai perdu la tête dû à l'évènement produit par "Des roses d'Héliogabale", pas étonnant : pourtant "Ses yeux reflètent les pensées qui sont bien lointaines". Je me suis aussi posée "La question" (éblouie par la finesse et la luminosité de ce petit tableau). Qui était "La reine Esther" ? Si inquiète, allait-elle avec les "Jeunes filles grecques ramasser des galets au bord de la mer"? ou consulter " La boule de cristal", avant de savoir que "Le sentier de l'amour n'a jamais été facile" ! Mais au"Temps jadis" le "Chant du printemps" envoie un "Message d'amour" et "Courtiser sans espoir" engendre une "Confidence opportune". "L'absence fait grandir l'amour" mais dès "qu'Un nuage passe", on ne peut "Toucher la main disparue"...
Voilà un extrait du film le plus romantique, aux sublimes portraits, que je vous invite à partager.
Éblouie je le suis encore par ces œuvres si réalistes, qui font presque concurrence à la photographie.
Les femmes sont très belles, mais ces hommes qui les ont mises en scène... Quels artistes !
Ninette