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Nos visites guidées - Page 8

  • Baccarat. L'histoire du cristal

    Nous avions rendez-vous à 10h30 devant le Petit Palais pour voir l'exposition de Baccarat. Nous étions 25 arvemois (es).

    Nous avons eu un guide super pour nous expliquer l'histoire du cristal. Il a répondu à toutes nos questions.

    C'était un vrai petit bijou cette exposition.

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    Cliquez sur les images pour les agrandir

    Tout le groupe était ravi de voir tous ces verres, carafes et ces lustres magnifiques.

    La visite à durée 2h. Quand elle a fini tout monde a dit : déjà !

    Après, un petit groupe est retourné revoir l'expo et l'autre s'est dirigé vers la Bastille pour aller manger chez Léon. Puis on s'est séparé pour rentrer chez nous.

    J'ai passé une agréable matinée.

    Andrée L

  • LE PERUGIN, maître de RAPHAEL

    Très belle exposition présentée au musée Jacquemart-André sur LE PERUGIN.

    Cet artiste de la Renaissance m’était inconnu et j’avais donc tout à découvrir. Peu de toiles de ce maître, exposées dans de petites salles, et maintes explications de notre conférencière qui a su nous faire apprécier le travail de cet artiste. Quelques œuvres de Raphaël notamment nous ont permis de constater l’influence que LE PERUGIN a eue sur ses congénères.

    paris,expositionLes couleurs m’ont enchantée et j’ai encore en mémoire le très beau portrait de Marie-Madeleine. Et que dire des « Vierge à l’enfant » par LE PERUGIN ou par d’autres artistes rassemblées dans une même salle.

    Ce musée sait particulièrement nous enchanter avec ses expositions.

    Colette C

  • Musée "Phonoplanète"

    paris,muséeArvem nous a donné l’occasion de faire une incursion dans ce tout nouveau musée* qui retrace l’histoire de l’enregistrement sonore.

    Notre guide nous a tout d’abord relaté cette idée de Charles Cros qui a été reprise vers 1889 par d’autres grands noms comme Edison, Charles Pathé… Au tout début ces appareils étaient à moteur mécanique à ressort et nous avons découvert avec stupéfaction cet appareil équipé d’une galerie de 18 écouteurs qui permettait à 18 personnes l’écoute simultanée d’un cylindre. Ce type d’appareil, présenté au grand public lors de foires, a rendu les machines parlantes très populaires. Charles Pathé en a acquis un, l’a exploité comme forain puis en a vendu avant de les fabriquer lui-même.

    Gramophone, Pathéphone, électrophone, jukebox… nous avons déambulé parmi cet univers d’un autre temps, qui a évolué à grande vitesse au cours d’un siècle. Les pavillons parfois doubles de ces appareils étaient impressionnants… Après les cylindres sont apparus les disques qui se lisaient d’abord à partir du centre, avant de se lire à partir de l’extérieur comme nous les connaissons…

    Le tout avec maintes explications de notre guide sur ces appareils parfaitement restaurés, illustration musicale, photos d’artistes et anciennes affiches…

    Un régal pour les yeux et les oreilles.

    Colette C

    (*)53 bd Rochechouart à Paris 9è- M° Anvers

  • Expo "Gustave Doré"

    paris,expositionÉtonnant, épatant, époustouflant Gustave Doré ! (1832 – 1883)

    Visite d’un groupe de l’Arvem sous la houlette de Jeannette (merci !) le samedi 15 mars 2014 de l’exposition Gustave Doré au musée d’Orsay.

    Nous connaissons tous, plus ou moins, Gustave Doré, illustre illustrateur de grands auteurs de la littérature européenne : Rabelais, Dante, Cervantès, Charles Perrault, La Fontaine, Walter Scott, Victor Hugo etc.

    Mais, à l’occasion de cette remarquable exposition, très bien commentée par notre conférencière Karine, nous avons découvert un artiste protéiforme, exubérant, lyrique et prolifique et plus encore :

    - Illustrateur certes, mais aussi peintre, sculpteur, mais aussi acrobate émérite, violoniste virtuose, alpiniste chevronné, grand voyageur, européen avant la lettre : Angleterre, Écosse, Espagne, Tyrol, pays qui ont également nourri son art et son imaginaire et enfin grand séducteur !

    paris,exposition- Dessinateur prodige, autodidacte mais professionnel dès l’âge de 15 ans, il a brillé avec bonheur dans tous les domaines de la peinture : sujets religieux (le gigantesque et superbe "Jésus quittant le prétoire") portraits (les Saltimbanques ) paysages (Loch Lomond) sujets mythiques (l’Enigme) sujets historiques (la Commune) etc.

    - Et quel sculpteur ! Ainsi "La Parque et l’Amour" admirable de force et de grâce et "À saute-moutons" modèle de finesse et de drôlerie.paris,exposition

    Il s’agit donc d’une œuvre immense et magnifique qui a inspiré ensuite de nombreux artistes, peintres, sculpteurs, écrivains et aussi des… cinéastes, tout au long du XXe siècle, de Méliès à Tim Burton en passant par Cecil B. DeMille, ce qui est moins banal !

    Dommage que cette exposition soit scindée en deux parties : l’une au rez-de-chaussée et l’autre, après un circuit invraisemblable, au cinquième étage !

    Qu’importe finalement, puisque nous avons passé de vrais moments de bonheur.

    Gloire à Gustave Doré !

    Jacques et Nicole

  • Expo "Jordaens"

    paris,expositionBelle visite au Petit Palais pour voir l’exposition consacrée à Jordaens, ce collaborateur de Rubens et de Van Dyck. On peut y constater l’évolution de son art, sa maîtrise progressive dans les carnations qu’il représente et qui sont de plus en plus fidèles à la réalité. Excellence des visages "âgés", voire des "trognes".

    J’ai pu apprécier la mise en scène de cette exposition avec la réalisation de maquettes grandeur nature de portes et de façades de maisons et un plan de la ville d’Anvers au sol.

    Très bons commentaires du guide qui nous a décrypté les symboles de l’époque (perroquet, perle rouge, chardonneret…) et nous a expliqué le contexte religieux difficile de cette époque.

    Et pour terminer cette visite, nous étions conviés dans un cabinet de curiosités pour voir, toucher, admirer les différents éléments ayant pu servir à Jordaens.

    Une très belle et instructive exposition.

    Colette C

  • Désirs et volupté à l'époque victorienne

    Émerveillée, fascinée par la beauté de cette exposition voici par quels sujets mon émoi s'est révélé. Toute une histoire... à découvrir....

    paris,expositionDepuis "Le retour du marché" j'ai perdu la tête dû à l'évènement produit par "Des roses d'Héliogabale", pas étonnant : pourtant "Ses yeux reflètent les pensées qui sont bien lointaines". Je me suis aussi posée "La question" (éblouie par la finesse et la luminosité de ce petit tableau). Qui était "La reine Esther" ? Si inquiète, allait-elle avec les "Jeunes filles grecques ramasser des galets au bord de la mer"? ou consulter " La boule de cristal", avant de savoir que "Le sentier de l'amour n'a jamais été facile" ! Mais au"Temps jadis" le "Chant du printemps" envoie un "Message d'amour" et "Courtiser sans espoir" engendre une "Confidence opportune". "L'absence fait grandir l'amour" mais dès "qu'Un nuage passe", on ne peut "Toucher la main disparue"...

    Voilà un extrait du film le plus romantique, aux sublimes portraits, que je vous invite à partager.

    Éblouie je le suis encore par ces œuvres si réalistes, qui font presque concurrence à la photographie.

    Les femmes sont très belles, mais ces hommes qui les ont mises en scène... Quels artistes !

    Ninette

  • La Château d'Asnières

    Aviez-vous connaissance de ce château ?

    Après enquête, apparemment peu de gens connaissent son existence. Cependant qui pourrait croire que cet édifice du XVIIIe siècle fut dépouillé, tellement il a belle allure, à première vue !

    Mais revenons aux sources. Le Marquis Marie René de Voyer d'Argenson âgé de 28 ans, fils du ministre de la guerre de Louis XV, se destine à une carrière militaire : excellent cavalier, connaisseur en chevaux, lettré, amateur d'art, il introduit en France des races chevalines anglaises, et organise des haras.

    En 1750 jouissant de la faveur du roi il est nommé gouverneur de Vincennes, directeur des haras royaux.

    Pressé par la nécessité d'installer un "dépôt de chevaux" non loin de Versailles, il lui faut un vaste terrain, une belle demeure, des écuries...

    De 1750 à 1752 il acquiert plusieurs propriétés dont "la seigneurie d'Asnières" et 23 autres ainsi de nombreux hectares sont regroupés. Il fait construire un bâtiment dans le style rocaille (mélange de fleurs, fruits, mythologie) par Jacques Hardouin Mansart de Sagonne (petit fils de Jules Hardouin Mansart).

    paris,asnièresSur la belle façade refaite entièrement, on découvre à l'entrée 2 personnages : Apollon et Vénus, des mascarons au-dessus des fenêtres de forme arrondie pour celles du rez-de-chaussée et droite pour l'étage, une toiture en terrasse inhabituelle.

    La porte était ouverte, nous entrons, lire la suite

    (Plus de photos, cliquez sur l'image)

  • Cimetière des chiens

    C'est dans un joli square près du château où des bancs nous attendaient pour le pique-nique, que nous nous sommes installés, comme souvent persuadés "Qu'avec Arvem on a d'la veine"... Evidemment il n'a pas plu !

    Un petit coin de nature appréciable par le charmant décor qui s'offrait à nous, composé d'un bassin alimenté par une cascade, où cygnes et canards dégustent une vie paisible.

    Mais une autre visite était organisée, un peu plus loin "Le cimetière des chiens", 1er au monde, une curiosité datant de 1898.

    - Émouvant ? Oui et non
    - Surprenant ? Certes, c'est le reflet de beaucoup de tendresse vis à vis de ces êtres qui ont comblé leurs maîtres.
    - Touchant ? Oui ! Devant les poèmes, épitaphes, photos, déposés sur beaucoup de tombes.
    - Etonnant ? Surtout le fétichisme remarqué sur certains emplacements, par le dépôt de petits objets variés qui, à nos yeux, n'ont aucun rapport avec l'animal.
    - Époustouflant ? Certainement, devant des monuments aussi importants que pour les humains, avec des sculptures, de belles stèles aux motifs gravés.

    Un lieu de repos pour chiens, chats, oiseaux, chevaux et même lapins, singes, fennecs, hamsters, tortues, entre autres, le 1er Rintintin, Barry le st-Bernard qui aurait sauvé 40 vies, un chien errant venu mourir devant le cimetière, et d'une fondation une sépulture pour des dizaines de chats etc...

    Quelques personnes sont là aussi pour fleurir et passer un long moment se souvenir de leur défunt compagnon.

    Et puis, surprise ! Trois chats bien vivants qui se promènent dans leur villégiature et se laissent caresser. Pas si souvent pour eux le partage d'affection. Sont-ils les gardiens du site ? Grimpent-ils sur le superbe saule pleureur présent depuis le XVIII e siècle et qui veille sur le repos des "amis de l'homme" ?

    En tous les cas les promoteurs qui enviaient les lieux n'ont plus droit à l'espoir. Là aussi, la ville a fait l'acquisition de ce territoire créé pour le respect de l'animal, sauver le côté artistique inscrit au Patrimoine.

    C'est un petit Père Lachaise miniature, mais évidemment pas beaucoup d'histoires à raconter sur le déroulement des vies.

    Il est vrai que ceux qui reposent ici n'ont également jamais eu la parole! C'est bien souvent ce qui leur a manqué! Pas vrai ?

    Tous ceux qui ont ou qui ont eu des animaux, comprendront !

    Ninette