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Nos visites guidées - Page 7

  • Journée à la fondation Jérôme Seydoux-Pathé

    Unique au monde, berceau du patrimoine de l'Histoire du Cinéma, construite à la place du théâtre des Gobelins, (dont seule subsiste la façade sculptée par Rodin) devenu cinéma jusqu'en 2003.

    À la lecture du programme qui nous invitait à participer à cette visite, tout est dit, mais je pense à ceux qui n'ont pas pu être parmi nous.

    Je ferai part de mon étonnement et mon admiration partagés avec la majorité d'entre-nous, devant cette construction de Renzo Piano (Génois né en 1937) insoupçonnable depuis la rue, coincée entre des immeubles, dans un espace restreint.

    Cet édifice est impressionnant, par son aspect surprenant : c'est une "coque" qui le recouvre entièrement, (cela me fait penser à un ver luisant) comprimé dans une cour de bâtiments anciens, transformée en jardin, seul endroit d'où l'on peut découvrir son originalité extérieure.

    Cette construction de 2200 m2 dont l'intérieur est composé d'un immense hall décoré d'affiches, celui-ci entouré d'espaces verdoyants (afin de laisser passer un peu de lumière aux riverains) comporte 5 étages. Il reçoit des archives papiers concernant les films muets de la société Pathé, ceci sur 2 étages sans ouvertures pour la protection des documents, une salle de conférences, des bureaux. En sous-sol une salle de spectacles de 68 places, un espace d'expositions où, affiches, dessins, caricatures d'Adrien Barrère illustrateur de Pathé, narguent l'œil du visiteur.

    L'ensemble de l'édifice est donc masqué par une "coque" recouverte de 5000 "volets"de couleur gris argenté. C'est elle qui est magique. Au sommet, où se trouvent les bureaux et centre de recherches, la surprise est intense à la découverte de l'imposante verrière qui recouvre les deux niveaux supérieurs, en double vitrages cintrés, recouverts de plaques en aluminium anodisé, finement perforé. Le tout est soutenu par une charpente bois et acier en forme de coque de bateau retourné.

    C'est superbe, en un mot véritablement génial... Chacun a retenu son souffle devant ce lieu immense extrêmement lumineux : architectes, ouvriers-artistes, vraiment bravo !

    De nombreuses questions se sont posées sur l'élévation, l'aération, le confort, le nettoyage, le rapport avec le voisinage très proche etc...

    Après cet épisode instructif et enchanteur, nous étions accueillis agréablement au restaurant "L'Entracte" pour une pose gourmande appréciée.

    L'après-midi, la visite guidée d'une collection très importante de 150 appareils, caméras, projecteurs sur leur évolution technique entre 1896 et 1980. Pour les amateurs ce doit être intéressant.

    Mais là, y'a pas photo ! Je n'ai pas "imprimé le négatif", ni "projeté la pellicule" mon "objectif" assez vite s'est obstrué, car la technicité complexe même fort bien expliquée, a ripé le "déclic", mon "enregistreur" n'a pas fonctionné. Mieux vaut demander les explications aux photographes d'Arvem !

    Pour terminer la journée nous avons bénéficié d'une projection de films muets, confortablement installés dans de bons sièges moelleux pour apprécier les mimiques, accompagnées, comme autrefois d'un pianiste en salle.

    Une journée bien remplie, qui restera en mémoire, où le passé et le modernisme innovateur sont parfaitement mariés.

    Ninette

  • Hôtel de Sully

    Si vous voulez retrouver l'ambiance qui régnait dans les "salons" du XVIIe siècle animés par des femmes d'esprit comme Mme de Rambouillet ("l'incomparable Arthénice") faites comme Arvem : rendez-vous 62 rue Saint-Antoine pour, avec une (ou un) guide passionnée et passionnante après un arrêt dans la cour afin d'admirer l'ornementation des façades de l'Hôtel (notamment les Saisons et les Eléments) sans oublier les sphinges et la terrasse (d'où, en février 1780 Mme de Sévigné vit avec ses amies de l'Hôtel conduire la Voisin en Place de Grève), emprunter le superbe escalier qui monte aux étages.

    Ceci fait, vous pouvez, toujours guidés, visiter l'appartement de Charlotte Séguier, la Duchesse Mme de Sully où (dans sa chambre) elle tenait "salon" l'assemblée pouvant frôler la cinquantaine.

    © 2015 by Yves C & Jeanet

    Le lit est là, majestueux, dominant la chambre admirablement meublée suivant les inventaires de l'époque. Elle vaut à elle seule le déplacement. Vous en sortirez avec au fond de vous un peu de l'esprit de ce XVIIe qui vit (dans une partie de la société) l'intelligence des femmes (les Précieuses de Molière, pas si Ridicules que cela) si bien mis en valeur.

    Une visite que nous n'oublierons pas et que vous n'oublierez pas !

    Si vous voulez visiter l'appartement de la Duchesse, il serait bon de téléphoner précédemment au 01-44-61-21-84 ou au 01-44-61-21-50 ou 01-44-54-19-30 (répondeur)

    Jean-Paul

  • Ordre National des Pharmaciens

    paris,muséeL’Ordre National des Pharmaciens avait ouvert ses portes à Arvem ce 2 octobre 2015.

    Une excellente conférencière nous a présenté la cour de cet hôtel particulier avec le pavillon de style normando-mauresque construit à la demande de Gaston Menier, l’escalier vénitien en bois sculpté avec ses panneaux de mosaïques en pâte de verre et la magnifique collection d’histoire de la pharmacie avec le droguier Menier et ses centaines de bocaux de verre rassemblant les drogues essentielles du 19e siècle.

    paris,muséeAprès beaucoup de commentaires sur cette collection, nous avons visité les salons de cet hôtel particulier : salons de bois, de marbre, de pierre, un régal pour les yeux.

    Une excellente visite dans un lieu habituellement fermé au public. Merci Arvem pour cette sortie aux portes du parc Monceau.

    Colette C

  • Expo "Le Musée du Barreau de Paris"

    Vous voulez connaître l'origine de l'expression "l'affaire est dans le sac" ou vous recueillir devant la clé et la serrure du cachot de Marie-Antoinette à la Conciergerie, faites comme ARVEM téléphonez au 01.44.32.47.48 on vous y communiquera les prochaines dates de visites guidées (le guide est particulièrement dissert).

    Vous ne serez pas déçus si les grandes affaires judiciaires vous intéressent (documents sur les affaires Dreyfus, Stavisky...)

    paris,expositionActuellement une exposition temporaire* sur Maurice Garçon vous permettra de mieux connaître ce grand avocat (à partir du 8 octobre 2015 et ce jusqu'au 28 février 2016 " les affaires Petiot et Troppmann seront à l'honneur).

    J'oubliais : "Le Musée de Barreau de Paris" se situe dans les caves voûtées de l'Hôtel de La Porte qui appartenait au XVIIeme siècle à un Sieur "De La Porte" marchand de poisson frais, sec et salé, 25 rue du Jour près de St-Eustache, métro Châtelet- Les Halles.

    Jean-Paul

    (*) jusqu'au 30 septembre 2015

  • Expo "De Giotto à Caravage"

    paris,expositionComme nous tous, Arvem a besoin de repos afin de recharger ses batteries pour la rentrée. Mais avant de partir chacun de notre côté, nous nous sommes retrouvés au musée Jacquemart-André.

    Sur les pas de Karine dont nous avons plusieurs fois eu plaisir à suivre, nous avons découvert l'expo "De Giotto à Caravage", les grands maîtres de de la peinture sous la renaissance italienne.

    Entre ces deux peintres dont peu de tableaux sont exposés, une collection très riche d'œuvres du 14eme au 17eme siècle est présentée dont des scènes bibliques aux pigments naturels et lumineux.

    Les salles ne sont pas trop chargées. À noter, à la fin de la visite il est possible de se restaurer à la cafétéria dans un cadre très agréable, ce que nous avons fait d'ailleurs.

    Annick D

  • Musée des Cosaques de la Garde Impériale

    C'est à un voyage hors du temps que nous convie le Musée du régiment des Cosaques, lové dans un hôtel particulier à Courbevoie.

    paris,muséeUne belle inconnue en médaillon sur la façade immaculée nous invite à franchir le seuil. Cet endroit était le mess des officiers et sert encore aujourd'hui de lieu d'accueil pour les militaires.

    Il règne une odeur de renfermé, "comme un secret"

    Catherine II, Impératrice de Russie a créé le Régiment des Cosaques de la garde en 1775.

    Le musée date de 1929 et a réouvert depuis environ 5 ans.

    Notre guide russe nous fait entrer dans la pièce principale. Lire la suite ICI

    Jacqueline F

  • Le Maroc médiéval

    paris,louvreJ'étais partie pour faire un voyage artistique, légère comme une gazelle, au pays de l'argan et des roses, avec mes notes dans mes bagages, mais il fallut m'alimenter d'une dose de concentration afin d'essayer de vous transmettre quelques images, à vous, qui n'avez pu vous embarquer pour remonter le temps, dans cette exposition qui nous révèle des trésors datant du XIe au XVe siècle.

    Un immense et superbe lustre en bronze de forme pointue, dont la place est à la mosquée de Fez, composé de centaines de lampes fonctionnant à l'origine à l'huile d'olive, nous accueille.

    Puis en levant les yeux je lis cette pensée : "La plus belle des terres c'est l'Occident (Maghreb) et j'en ai la preuve. La pleine lune s'y observe, et vers lui, le soleil se rend. "J'accroche, c'est poétique, accessible".

    Le parcours de la visite est divisé selon trois dynasties, qui nous ont été largement développées. Voulez-vous savoir ? Alors j'essaie de résumer. Lire la suite ICI

    Ninette

  • La Sorbonne

    Je croyais connaître la Sorbonne. Grâce à un guide maître de son sujet et soucieux de communiquer ses connaissances, j'ai redécouvert avec plaisir ce temple de la Connaissance désiré par Robert de Sorbon et hanté par le souvenir (entres autres) d'Abélard, de Richelieu, de Louis Pasteur et Marie Curie.

    paris,exposition,sorbonneJe ne vous signalerai pas toutes les peintures et statues que nous avons côtoyées en nous promenant de salles en amphithéâtres avant de clôturer notre visite dans la chapelle devant le splendide tombeau du Cardinal, dû à Girardon.

    Je vous dirai simplement que le groupe d'Arvem était ravi prêt à renouveler ces sorties aux sources du Savoir.

    Jean-Paul

    Voir plus de photos ICI

  • Hôtel Kergolay-Langsdorff

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    Si comme Jeannette vous faites un jour une pérégrination sur "Internet" et tombez sur le site n'hésitez pas, poursuivez vos investigations, vous serez incités à vous rendre avec vos amis au 9 rue de l'Amiral d'Estaing 75016 dans un hôtel édifié dans les années 1890 par l'architecte Paul Ernest Sanson, pour le Comte Pierre de Kergolay député de la Haute-Loire, descendant du général Marquis de Caulaincourt Duc de Vicence, grand écuyer de Napoléon.

    CIMG3607b.jpgUn de ses héritiers se fera un plaisir de vous faire visiter cette maison de famille, témoignage authentique de l'architecture et du cadre de vie de la Belle Époque, abritant une intéressante collection de tableaux et des souvenirs historiques napoléoniens (superbe camée donné par l'Empereur en avril 1814, lettres, manuscrites...)

    Le guide est particulièrement aimable, répondant à toutes vos questions, le cadre est enchanteur, le goûter de clôture succulent. Que demander de plus? Bravo Jeannette zappe encore !

    Jean-Paul