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Après "Sarko m'a tuer" et "Un président ne devrait pas dire çà" nos 2 reporters du Monde s'intéressent à notre actuel Président de la République.
Le traître c'est bien entendu Emmanuel Macron avec, il faut le dire, une grande complaisance de François Hollande et le néant c'est la macronie.
Nos 2 compères font défiler devant le lecteur des personnages connus (Baroin, Bern, Bayrou, Schiappa...) d'autres moins célèbres, celui-ci peut ainsi mieux appréhender ce quinquennat qui a bouleversé le paysage politique français.
Pour la reprise en présentiel de l'atelier d'écriture Arvem, animé par Arlette et Yves, l'exercice proposé est le "tautogramme" Un tautogramme est le cas particulier d'allitération où tous les mots du texte commencent par la même lettre.
"Les Français ne savent pas qui je suis" se plaint parfois Emmanuel Macron.
Ce livre tente de répondre à cette interrogation. Il approche le plus près possible de la réalité d'un homme qui verrouille son intimité et s'est construit sur la transgression personnelle familiale et politique.
Ce président cambrioleur, avant comme après la lecture de ce livre, on l'admire plus qu'on ne l'aime, on le hait plus qu'on le déteste.
Unité de lieu et de temps : nuit dans un service des urgences par temps de manifestations de "gilets jaunes".
Un couple en phase de rupture, un manifestant blessé, la police aux portes de l’hôpital, mais aussi des manifestants voulant s’y réfugier pour échapper aux gaz lacrymogènes, les soignants débordés…
C’est un constat d’états d’urgences au pluriel ; fractures de la société, état de sièges au pluriel… ça tombe, ça gueule, ça frappe… mais dans cette ambiance électrique, il y a des scènes drôles mais aussi des gestes vrais et doux.
Elles œuvrent au quotidien pour notre bien-être, notre sérénité, notre confort dont nous n’avons pas conscience. Elles se cachent de crainte d’intrusion en nos vies privées.
Ces ombres (90 % de femmes) travaillent au domicile de personnes âgées ou en Ehpad, dans les écoles auprès d'enfants quelquefois handicapés, à l'hôpital, dans les bureaux, du Parlement notamment.
Elles époussètent, frottent, soignent nos enfants et nos vieux ; se lèvent à 4h du matin pour se rendre chez leurs multiples employeurs, faire le ménage avant l’arrivée des salariés ; elles portent des charges lourdes, leurs gestes sont répétitifs, leurs trajets sont innombrables et insensés, elles rentrent enfin chez elles vers 20 H, éreintées, s’occuper de leurs enfants et tâches domestiques.
Pour un revenu inférieur au SMIC et souvent très largement inférieur (700 €).
Malgré tout, elles sont réellement passionnées par leurs métiers "d’aidantes" car elles aiment "rendre service aux autres".
Tout en ruinant leurs santés, elles nettoient les maux naturels de la vie qu’on ne veut pas voir.
Cependant, ces ombres humaines n’ont pas la reconnaissance de la Société. Certes, Elle les a applaudies lors des confinements puis les feux de la rampe se sont éteints…
…. DEBOUT LES FEMMES, documentaire réalisé par Michel Ruffin et Bruno Bonnell qui ont enquêté auprès d’elles, défendent leur cause, non sans des embûches "incompréhensibles" à mon sens.
Je lance un grand BRAVO à ces deux parlementaires, de confessions politiques radicalement opposées, mais réunis grâce à cette cause qui verra peut-être un jour ces âmes sortir de l’ombre.
Ami(e)s Avermois(e)s, je vous conseille ce documentaire poignant, pris sur le vif, traité de façon à la fois drôle et grave.
Quel joli moment j’ai passé en ce samedi 23 octobre : Jean-Yves chantait a cappella les chansons d’antan des Cathares à la Commune.
Une prouesse que chanter seul sur l’estrade sans instrument, devant un public, tout Avermois soit-il ! C’était magique et émouvant. Son Papa Jean-Paul, à ses côtés, nous apprenait ou nous rappelait l’Histoire (au fil des chansons) dont seul lui sait la conter, avec son humour habituel.
Ninette, la Maman de Jean-Yves, avait confectionné pour l’occasion cocardes, chapeau et autres ornements de circonstance. Et quel travail de mémorisation en amont ! J’en reste pantoise ! Je sentais une famille unie, et je fredonnais joyeusement les paroles en unisson avec le public Avermois.
Pour une reprise de notre séance de conférence, au profil plus léger, nous étions un maximum réunis en fonction des possibilités autorisées, puisque les contraintes sont toujours constantes en ce qui concerne l'espace et le port du masque .
Mais cela ne nous a pas empêchés d'écouter les faits historiques contés depuis les Cathares jusqu'à la Commune, relatés par des auteurs du vécu pour certains, et des explications données sur des expressions ou des personnages composant des textes de chansons proposées en accompagnement, dont certaines ont suscité l'envie à l'assistance de fredonner, puis carrément chanter de bon cœur la plus connue.
Des retrouvailles en douceur, bien agréables, encore que les effusions et les échanges soient limités, chacun ne s'identifiant que par les yeux et souhaitant pouvoir respirer ne s'attardant pas dans la salle, mais envisageant bien leur présence le fois prochaine.