Une journée complète bien remplie, partageant culture, découverte,dégustation, étonnement et satisfaction.
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Film "La vie pour de vrai"
Un film tendre, la naïveté tellement bien jouée par Dany Boon qui n'est pas convaincu par la "vie en vrai " qu'il découvre après avoir vécu 50 ans en retrait au club Med, et qui trouve le moyen de faire sourire et rire les spectateurs, hélas, par son comportement d'inadapté.
Si vous aimez ces 2 acteurs Dany Boon et Kad Mérad aux personnalités différentes démontrées, si vous voulez passer un agréable moment et vous évader, je vous conseille vivement de les rejoindre, vous oublierez votre "vraie vie"!
Ninette
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Mots se terminant par oxa
Coxa (n.f.ou verbe)
- (Entomologie) Segment proximal des pattes ambulatoires de certains arthropodes.
- verbe Afr. Appréhender, arrêter.
Moxa (n.m.)
- Bâtonnet brûlé au contact de la peau et faisant effet d'acupuncture.
- (Médecine) Substance telle que la poudre de feuille séchée d’armoise, le coton ou l’étoupe, souvent…
- (Médecine) (Par métonymie) Cautérisation lente utilisant du moxa.
Doxa (n.f.)
- Ensemble des croyances d'une communauté.
- Ensemble, plus ou moins homogène, de préjugés populaires, de présuppositions généralement admises…
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Film "La montagne"
De Thomas Salvador avec Thomas Salvador, Louise Bourgoin, Martine Chevallier
Pierre, ingénieur parisien, se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré par la montagne, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre.
L’idée de crapahuter et bivouaquer dans les somptueux paysages Alpins depuis mon fauteuil de cinéma me réjouissait à l’avance.
Sans que l’on sache vraiment pourquoi, le citadin plaque tout pour escalader en solitaire la montagne. Montagne dont nous n’avons que quelques belles images.
Au bout d’une heure d’achat du matériel, de pose de la tente, de prises de repas lyophilisés, de crapahutages, notre personnage plonge dans un monde étrange, mi liquide, mi féérique.
A la fin, le voici qui ressort avec un bras luminescent (on est loin de la lecture du livre de Thomas Mann si bien commenté par JacquesB "La lumière de la haute montagne éclaire jusqu’au fond d’eux-mêmes" (cf blog Arvem). Le film dérape alors dans un fantastique douteux dont je n’ai pas trouvé la clé. De plus, se trame une histoire d’amour qui n’a rien à faire là.
J’ignorais que le réalisateur, Thomas Salvador, est un scénariste versant dans le cinéma fantastique. Peu encline à ce genre et m’attendant à un film réaliste, je n’ai pas apprécié ce long métrage (2h).
Si vous êtes comme moi, attirée par les beaux paysages de montagne, je conseille plutôt un bon documentaire sur le Massif du Mont Blanc.
MartineC
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Atelier écriture "D'après un tableau"
Thème : Les rochers noirs d'après ce tableau
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Conférence "Gioviani Boldini "
Gioviani Boldini naît à Ferrare (Italie) en 1842 et reçoit ses premières leçons de dessin de son père Benvenuta Calefi, artiste-peintre.
À partir de 1858, il suit des cours de peinture et a l’occasion de connaître les grands artistes ferrarais du XVe siècle.
Puis il fréquente l’Académie des Beaux-Arts de Florence et rencontre Diego Martelli, critique d’art et surtout mécène et Macchiaïoli, représentant d’un mouvement naissant –approchant le mouvement impressionniste en France-.
Entre 1866 et 1870 il parcourt l’Europe : Naples, Paris, Londres. Il rencontre Édouard Manet, Alfred Sisley et Edgar Degas. G. Boldini revient à Paris, y ouvre un atelier et commence à travailler pour de grands marchands d’art.
Devenir très riche grâce à sa peinture était son ambition. Proche de Degas mais aussi de Proust entre autres, il évolue dans les milieux aristocratiques et bourgeois et connait de son vivant un succès fulgurant, devenant le portraitiste favori d’une clientèle riche et internationale. Dans ce Paris capitale de la mode, il représente princesses et riches héritières parées des plus belles robes. G. Boldini devient la coqueluche du Tout-Paris, ses œuvres des témoignages captivants et émouvants de ce Paris de la Belle Époque.
Giovanni Boldini meurt en 1931.
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De sa baguette magique, Tania m’a transportée dans les salons élégants de la haute bourgeoisie et l'aristocratie de La Belle Époque. Grâce à ses descriptions et commentaires captivants, j’ai découvert des peintures splendides du peintre italien tombé aujourd’hui dans l’oubli : Giovani BOLDINI.
Je me suis pavanée dans les salons de La Belle Époque, rencontrant Marcel Proust, le Comte Robert de Montesquiou, Giusepe Verdi, Coco Chanel, Paul Poiret, Sarah Bernhardt… autant d’écrivains, musiciens, stylistes, photographes, costumiers et demi-mondaines les plus en vogue.
Je rêvai en croisant les regards profonds, intelligents et parfois hautains des grands hommes, la grâce et la sensualité de ces dames toutes de finesse - enrobées de soieries, taffetas, velours, tulles vaporeux, dentelles et autres broderies de tous coloris-, au si joli minois et décolletés suggestifs (eh oui ! l’intelligence toute masculine, le paraître tout féminin [dixit Tania]).
De 1880 à 1914, se faire portraiter par Boldini était de bon ton, parmi ces dames notamment qui rivalisaient pour obtenir au plus vite "son Boldini". Boldini, homme petit et disgracieux, crée glamour et modernité tant et si bien que le style des tenues féminines furent appelées "à la boldinienne".
Merci, Tania, de votre invitation en ce monde enchanteur. Le temps d’un après-midi, j’étais Princesse parmi Princes et Princesses. Et merci pour la découverte de ce peintre si original que je méconnaissais. Une belle découverte.
Félicitations, Tania, pour votre talent de conteuse.
MartineC
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Expo "Néo-Romantique : Un moment oublié de l'art moderne 1926-1972"
e 18 mars, nous avons visité cette exposition avec l'Arvem au Musée Marmottan - Monet.
Moment oublié de l’Art moderne, semble-t-il ? Je n’en doute pas… Difficile de le définir exactement dans le temps, (pour certains, cela serait 1920-1936, d’autre 1937-1972, et pour l’expo 1926-1972 !) ni même ce qu’elle représente… Après plusieurs recherches plutôt infructueuses, j’espérais recevoir plus d’informations auprès d’un guide, Nul n’en fut le cas. Il me semble qu’elle manquait d'enthousiasme, et certainement de passion dans ce rôle de guide. Avec de surcroit un matériel "légèrement défaillant", sauf sa montre que son œil surveillait, régulièrement. J’ai eu l’occasion de rencontrer, d’autre guide, qui ont su transmettre leur passion, heureusement !
Mais je pars du principe, qu’en "Art", rien n’est complètement négatif…. Alors je cherche….
Enfin, quelques petites choses attirent ma curiosité.
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Film "Les trois Mousquetaires : D'Artagnan"
Si vous voulez vous remémorer les exploits des Mousquetaires dont la vie est relatée par Alexandre Dumas n'hésitez pas une seconde précipitez-vous vers la nouvelle présentation des aventures des trois Mousquetaires.
Toutes ces aventures se déroulent dans des décors réels (Cour Carrée du Louvre, Place des Vosges....) des acteurs prestigieux représentant avec maestria les héros (Vincent Cassel, Romain Duris, Louis Garrel ,Eva Green, et le mignon François Civil ...)
Dépêchez-vous vous ne le regretterez pas !
Jean-Paul
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Lire "Mais la vie continue"
C’est l’histoire d’un homme qui vient d’avoir 82 ans …
Une autre vie commence. Avec le plaisir de pouvoir prendre son temps et de le perdre …
JacquesB
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Film "Les chemins noirs"
De Denis Imbert avec Jean Dujardin, Joséphine Japy, Izia Higelin
J’avais beaucoup aimé le récit de Sylvain Tesson "Sur les chemins noirs" qui fait partager au lecteur ses sensations, ses émotions et réflexions métaphysiques en traversant la France d’Est en Ouest, et ce après son malheureux accident.
Je n’ai retrouvé rien de cela à travers le film de Denis Imbert. Il m’est apparu plat, sans profondeur aucune, voire ennuyeux. Reste la beauté des paysages de montagnes, bien filmés.
J’ai envie d’écrire : "Passez votre chemin. Y’a rien à voir". Si : les beaux paysages. Autant regarder un documentaire.
MartineC