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Nos visites guidées - Page 4

  • Expo "René Goscinny, au-delà du rire"

    paris,goscinnyEn ce dimanche de janvier des adhérents d’Arvem s’étaient donnés rendez-vous devant le Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, 71 rue du Temple qui jusqu’au 4 mars propose une exposition ayant trait à René Goscinny.

    Après avoir salué comme il se doit la statue du capitaine Dreyfus, nous nous sommes intéressés une fois rentrés dans le musée et cornaqués par une guide adéquate à la vie de ce génial scénariste de bandes dessinées.

    Fils d’émigrés venus au début du XXeme siècle des pays de l’Est (chassés par les pogroms) il passa sa jeunesse en Argentine avant de traverser l’Atlantique et de nous ravir par ses histoires désopilantes.

    Après des débuts laborieux il sera le scénariste talentueux d’Astérix, de Lucky Luke, d’Iznogood et du Petit Nicolas.

    Décédé en 1977 son œuvre va se propager dans le monde entier grâce au cinéma et à de multiples traductions.

    Vous pouvez suivre la genèse de ces œuvres grâce aux nombreux documents proposés à la curiosité des visiteurs, la Bibliothèque Nationale ayant confié des originaux uniques habituellement non exposés.

     Jean-Paul

  • 3 - Anders Zorn

    Anders_Zorn.jpgAnders Leonard Zorn, né à Mora (Suède) le 18 février 1860 et mort à Stockholm le 22 août 1920, est un peintre, graveur et sculpteur suédois.

    Son originalité se manifeste dans une œuvre marquée par la vie et les atmosphères. Il est connu pour ses peintures liées de la campagne suédoise, par ses portraits et par ses nus ainsi que par ses représentations de l'eau. Il est avec Carl Larsson le peintre le plus populaire de Suède.

    Un musée, abritant la collection Zorn, lui est consacré à Mora.

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  • 2 - Un rendez-vous avec Anders Zorn (1860-1920)

    Rendez-vous réussi au Petit Palais (après un essai loupé le 11 novembre).

    paris,expositionIl faisait gris et froid à Paris en ce samedi 2 décembre 2017. Une météo quelque peu suédoise mais idéale pour aller à la rencontre de ce peintre peu connu dans l'Hexagone.

    Aquarelliste, peintre, sculpteur, graveur de génie et pour finir… photographe.

    Né en Suède, pays aux longs hivers et rigoureux, Zorn a cherché la lumière dans ses œuvres et dès le début de notre déambulation cette lumière est partout : sur les visages des portraits, sur la surface d'un lac, à travers des feuillages… Lui aussi déambule : Espagne, Londres, Paris. Puis, la Turquie, l'Italie, la Grèce, l'Afrique du Nord et pour finir sur un triomphe aux États-Unis.

    Mais sa renommée ne fut pas immédiate. Né dans une famille pauvre, fils naturel d'un industriel brasseur de bière qui a pris en charge ses études, Zorn s'est expatrié pour faire fortune.

    paris,expositionTrès motivé car amoureux d'Emma dont le banquier de père ne voulait pas comme gendre un saltimbanque fauché, Zorn décide d'atteindre un but : être riche pour demander et mériter la main d'Emma. Il décide de parcourir l’Europe à la recherche d’une clientèle aisée composée de banquiers, d'industriels et hommes politiques qui accourent pour se faire "tirer" le portrait. Zorn avait bien vu.

    Les portraits les plus austères, les plus académiques sont attachants et étonnent par la lumière qui finit par illuminer un visage même banal.

    Les modèles sont souvent des personnes connues. Certains ont insisté pour être immortalisés par Zorn qui a compris très vite que pour réussir son talent de portraitiste mondain était son premier atout. C'est aux États-Unis qu'il connait un triomphe.

    L'amour réciproque et passionné d'Emma et Zorn a résisté cinq ans au cours desquels les tourtereaux ont patienté. Ils deviennent des globe-trotters et s’installent dans des lieux agréables et accueillants.

    Il y a de la légèreté dans les paysages traversés par les rayons du soleil, les reflets aquatiques, le rendu du clapotis de l'eau.

    Il y a de la sensualité dans chaque tableau car Zorn était un bon vivant. Au fil du temps, ses autoportraits ou autres représentations de cet artiste, le montrent de plus en plus imposant et ventripotent.

    Mais, il est sensible. Élevé par une grand-mère en milieu très rural il a fait œuvre "d'anthropologue" en illustrant sous son pinceau magique des scènes de la vie simple et bucolique comme autant de scènes folkloriques.

    Graveur à succès et surdoué, il ne s'intéresse à la gravure qu'en 1882. Il est influencé par Rembrandt et Manet.

    Sur le tard, il s'intéressera aussi à la sculpture.

    Marie Dp

  • 1 - Expo "Anders Zorn"

    Nous l’avions attendueparis,exposition
    Partir, nous avions dû,
    Mais nous sommes revenus
    Bienheureux, nous l’avons vue !
    Découvrir cet inconnu
    Son talent, nous porte tous aux nues
    Par ses aquarelles, qui l’eut cru ?
    À s’imaginer dans la nature
    Qu’il a si bien rendue.
    Ses portraits, des photos ? Non, sa peinture !
    Cette exposition, une superbe aventure !

    On connait en Suède La Petite Sirène, il y a sûrement aussi de bonnes fées ! Remerciements à celle qui s’est penchée sur le berceau de cet artiste (1860-1920) très glorieux dans son pays, talentueux aquarelliste, peintre, graveur, au destin particulier, de famille modeste, abandonné par son père, à 20 ans il sillonne l’Europe, puis l’Afrique du Nord, les États-Unis. Il réussit vite à se faire connaitre.

    L’exposition nous présente 150 œuvres surprenantes par la finesse de son travail débuté si jeune, avec la difficulté de l’aquarelle surtout sur grandes dimensions, puis évoluant vers la peinture et la gravure.

    paris,expositionDe nombreux portraits de personnalités de l’époque représentées dans leur environnement, avec de superbes effets de lumière, cette lumière qui le fascine, elle joue sur les visages, sur le mobilier, dans les tissus, reflète sur les eaux. Cette lumière passe dans la main de l’artiste pour interpréter la finesse des voiles, du tulle ou celle de la peau des baigneuses nues.

    Un émerveillement de tableaux en tableaux réalisés au cours des voyages du peintre, rendus encore plus vivants par les commentaires d’une guide qui nous a également démontré la méthode employée, assez compliquée, pour la gravure noire représentant des parties de tableaux en miniatures exposées en vitrine.

    Une exposition rayonnante, qui nous emplit de bonheur ! Il parait qu’en France nous ne possédons, hélas, que 3 de ses tableaux !

    Ninette

  • Expo "Trésors de la terre"

    paris

    Grâce à des petits cailloux, le petit Poucet est devenu célèbre… Un collectionneur ? Jeannette nous a fait découvrir un musée à PARIS. Mais quel musée !!!... Il renferme des cailloux, plein de cailloux, du plus petit et plus grands, très grands. Leurs poids, de quelque (s) gramme (s) à plusieurs centaines de kilogrammes.

    Ilia DELEFF possède la plus grande collection de cristaux géants. Des transparents, verts, jaunes, rouges…, avec des inclusions. Le tout est dans la nature. Le rêve des Minéralophiles.

    2.jpgLa conférencière connaissait bien le sujet. Moi qui ne suis pas collectionneur, devant ces merveilles, j’avais envie de savoir… J’avais 9 ans, en Tunisie (c’était la France..), mon père avait trouvé une belle pierre jaune d’à peu près 10cm de long avec comme des petits obélisques transparents (des dizaines). Une Topaze…parisAu Jardin des Plantes, en entrant dans ce musée où je pensais voir des petites mais diverses pierres précieuses, je suis resté en admiration devant ces "blocs" surdimensionnés, avec des transparences. Certains pesant plus d’une tonne. On peut en tailler combien de pierres pour des pendentifs, bagues ou colliers !

    parisIl y avait même des météorites tombés du ciel en 1800. Je n’en avais jamais vu… C’est magnifique, d’autant plus qu’on avait les explications de la conférencière et des écrits devant les vitrines. Diamant jaune, Rubis, sont exposés, ainsi que des objets divers, tabatière sertie de diamants, plateaux de Table.

    À voir et revoir…..

    Yvesck

  • Expo "Cy Twombly"

    paris,expositionCy Twombly, né en 1928, en Virginie, mort en 2011 à Rome, peintre, dessinateur, sculpteur et photographe américain, tout cela à la fois !!!

    L’exposition avait lieu au Centre Georges Pompidou, elle est finie…. Je pense que beaucoup n’auront rien manqué….

    La peinture : des coups de crayon, ou peinture noire, sur une toile blanche, ou d’autre grise. De temps à autre le nom d’un dieu grec, ou romain, est griffonné sur quelques une des “œuvres” trace de sa passion pour l’Antiquité.

    Enfin dans une salle je trouve quelque chose que je reconnais ! Un tableau gris ardoise avec un grand rectangle, dans mon enfance la maîtresse traçait les formes géométriques pour travailler les math…. Eh bien non je n’ai rien compris ce n’était pas cela. Mais pardonnez-moi j’ai oublié, à quoi cela correspondait pour Cy Twombly.

    Puis nous arrivons dans une salle où enfin, il y a de la couleur et quelle couleur !!! Du rouge !! Une éruption volcanique ? Non pensez-vous ! Cela traduit un jet de sang, un jet de douleur !

    J’oubliais de vous parler du sculpteur… et pour cause ces œuvres là sont exposées dans une salle superbe d’où les toits et au loin les grands monuments parisiens appellent mon regard. Mais pardon, je parlais des sculptures… des baguettes, des objets, blancs assemblés, par quel moyen… ?

    Malgré toute l’énergie et la passion de la guide, à nous faire découvrir et comprendre cet artiste, j’avoue que sur moi cela n’a eu aucun effet.

    Alors courageuse, je suis allée à mon ordi et j’ai oublié de vous parler du photographe !!! Voici textuellement ce qui y est dit !!
    - “Twombly est également photographe, activité dans laquelle on retrouve la modestie et la douceur poétique qui imprègne toute son œuvre” …. (wikipédia) -

    Alors oui, j’y suis hermétique, j’y ai rien compris… et je ne cherche même plus !! Heureusement nous nous sommes retrouvés quelques-uns autour d’un déjeuner au resto… grâce à cela ce fut une bonne journée quand même !!

    Arletteck

  • Musée Henner

    Par un après-midi particulièrement pluvieux, quoi de mieux que de se réfugier au musée Jean-Jacques Henner !... mais visite programmée par Arvem tout de même…

    Cela nous a permis de découvrir ce magnifique hôtel particulier avec salon néo-renaissance et jardin d’hiver…

    Ensuite, en gravissant les étages Karine, notre conférencière, nous a raconté cet artiste du XIXe siècle dont je n’avais jamais entendu parler. Des portraits à foison, des paysages de son Alsace natale et quelques études nous rappelant qu’il avait été "prix de Rome".

    Une visite très intéressante dans un lieu privilégié et la découverte de cet artiste.

    Colette C

  • Visite "L'hôtel de Lauzun'

    Après la discussion ayant trait au duc de Lauzun, j'avais un rêve, visiter l'Hôtel de Lauzun dont il fut l'éphémère propriétaire de 1682 à 1685.

    Grâce à Arvem voici un vœu exaucé. Cela valait la peine de gagner le quai d'Anjou dans l'Ile St-Louis. Profitant d'une remarquable restauration, l'heureux touriste peut admirer de magnifiques appartements qui par leurs superbes décors du XVIIeme siècle, rivalisent en réduction, avec Versailles et Vaux le Vicomte.

    L'Hôtel de Lauzun Trésor de l'Ile St-Louis.jpgSi vous quittez à regret ce lieu si évocateur du Grand Siècle, un livre vous est proposé superbement illustré vous proposant l'histoire de l'Hôtel et une visite commentée vous entrainant dans les salles visitées, puis dans les étages fermés au public.

    Une découverte que nous n'oublierons pas.

    Si le cœur vous en dit le livre "L'Hôtel de Lauzun Trésor de l'Ile St-Louis" de Raymond Boulhares et Marc Soleranski est édité chez ARTELIA.

    Jean-Paul

  • Expo "Jade, des empereurs à l'Art déco"

    paris,expositionLe samedi 10 décembre sous la conduite de Karine, ARVEM se rendit au Musée Guimet où jusqu'au 16 janvier il nous invite à travers l'exposition "Jade, des empereurs à l'Art déco" à nous plonger dans une épopée historique et esthétique qui nous mena depuis le Néolithique, puis les lointains Empereurs collectionneurs, jusqu'à l'Art Déco qui vit chez nous dans les années 1920 le goût du jade s'emparer d'un grand nom de la joaillerie occidentale "Cartier".

    Une exposition dépaysante qui nous fit explorer l'âme chinoise et comprendre la fascination exercée depuis des siècles par cette civilisation éloignée dont l'une des expressions majeures, fut le jade.

    Jean-Paul