La sophrologie ça n'est pas un gros mot.
La sophrologie ça n'est pas magique, ça n'est pas pratiqué par un gourou dans une quelconque secte.
C'est une science que notre conférencière passionnée vit au jour le jour et a voulu nous faire partager.
La sophrologie ça n'est pas un fourre-tout.
L'exposé nous permet d'en cerner les limites et de clarifier un peu les rôles du psychiatre, du psychanalyste, du psychologue.
J'ai retenu que patient du sophrologue thérapeute, je suis acteur de ma guérison.
Il me permet de me connaître, il ne m'influence pas.
En un mot, si je vais mal, j'ai découvert que je peux compter sur cet homme ou cette femme en empathie avec moi.
Philippe V
On entend de plus en plus parler de la sophrologie.... mais beaucoup d'entre nous voulaient en savoir un peu plus. C'est chose faite grâce à Christiane Guemy, sophrologue/thérapeute, qui nous en a présenté l'historique, les buts, les méthodes et surtout...les vertus. Elle a répondu à toutes nos questions avec gentillesse, patience et compétence.
Il faut croire que la séance fut une réussite puisque personne ne s'est endormi... (Certes nos chaises n'ont pas le confort d'un divan moelleux... mais c'est moins cher !!). Une expérience à renouveler dans d'autres domaines.
Jean O
Si nous avions écouté par le passé des exposés sur le destin de femmes célèbres, de caractère que ce soit dans le domaine artistique, littéraire, de la mode ou politique, par exemple, Sarah Bernhardt, George Sand, Coco Chanel, Marie-Antoinette ou Mata Hari, Joséphine ne correspond pas à ces profils, "seulement" femme de Napoléon, mais "sa bonne étoile" durant ses diverses campagnes.
En cette période tourmentée du début de l'été où le machisme français se révèle au grand jour, nous avons évoqué une femme libérée du 19e siècle, une femme peu ordinaire, écrivain, journaliste, engagée politiquement, républicaine soutenant les Révolutions de 1830 et 1848... J'ai nommé 

Tant de talent déployé dans cette jeune femme au caractère trempé, tant d'espoir et désespoir pour un unique amour, quelle déchéance pour cette artiste au coeur brisé, et cette abominable fin, délaissée jusqu'au dernier moment de sa vie. Tourmentée elle était, tourmentée demeura !
Nous étions une "belle bande Arvemoise" "Bonnes Oreilles" pour défier "Tape Dur" "Va de Bon Cœur"... les cartouchiens et "Belle Humeur" Mandrin.
Pour alléger l'exposé et illustrer ces deux vies, notre troubadour interpréta des chansons, souvent reprises en chœur par nos compagnons, la mémoire subitement rafraîchie... Réconfortée, après tant de souffrance, la bande Arvemoise n'avait aucune envie de s'exposer dans l'indiscipline.
Certainement nous avions tous le souvenir d'écolier(e) d'un monarque peu sympathique, sévère, sans panache, au portrait ingrat, un profil chapeauté de noir....

Quelques tours de passe-passe pour vous surprendre et vous distraire, avant la dégustation de pâtisseries italiennes accompagnées du chant des bulles de l'Asti !