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Carnets de voyage

  • Un peu d'évasion

    Partie quelques petits jours avant les vacances de printemps, pour changer d'horizon, retrouver l'évasion pour les yeux, les oreilles, respirer un air plus léger.

    Comme chaque année revoir Trouville, le charme de ses jolies maisons, le décor immense de sa plage et son quai, cette artère si particulière le long de la rivière La Touques où les oiseaux se réfugient.

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  • 2) Souvenirs  des vacances ( suite)

    Suite de "C'est la rentrée, mais souvenirs ! ...."

    Le choix du séjour

    La mer toute proche au ras du camping, apprécier cette plage immense qui offre des avantages malgré son sable brûlant qui nécessite de se chausser. Après un début mouvementé là on se vide la tête, en cherchant au loin, un bateau, un voilier et la baignade évidemment agréable,  car il fait très chaud et sans parasol on ne reste pas longtemps !  On rentre retrouver le logis, douche, et éventail, (Heureusement qu'ils sont là )

    O/O/O/O/O

    Dernier souci, les moustiques ces sacrées bestioles invisibles plus petits que des moucherons s'attaquent aux estivants. Ils passent à travers les moustiquaires, bonjour les boutons irritants ! Le seule pensée positive, ce ne sont pas des "tigres"

    O/O/O/O/O

    Ah ! les belles vacances !  on étouffe, on se gratte, mais on garde le moral, on voulait le sud, la Méditerranée, même si les cigales se font rares,  sous un ciel bleu, le chant des oiseaux, les lauriers en fleurs nous accompagnent.

    O/O/O/O/O

    Sans vous lasser

    On a essayé le changement par quelques activités sportives, un peu d'animations en soirées, des professionnels sympas, un bon restaurant découvert lors d'une marche  quotidienne à la recherche de la presse...

    Il faut prendre les choses du bon côté, sachant que la France souffre  de la chaleur, subit des orages violents catastrophiques pour les habitants !

    Même si le séjour n'a pas été aussi idyllique qu'imaginé, le temps a passé vite. Donc refaire les valises, taxi, train, retrouver son chez soi.

    O/O/O/O/O

    Contente finalement, les plantes bien rangées dans des bassines d'eau sont plus fleuries que jamais. Elles avaient deviné le besoin de réconfort par un accueil chaleureux, afin de reprendre sans regrets cette fois le rythme habituel, et une pensée pour les Arvemois !

     Et vous ? Comment se sont passées vos vacances ? Qui va oser nous les raconter ?

    Ninette

  • 1) C'est la rentrée, mais souvenirs ! ....Vive les vacances !....

    Chacun sait combien on les attend avec impatience, envie, espoir, dépaysement, activités différentes, repos, loin des soucis, l'idéal sous toutes ses formes.

    Chacun vit ses vacances différemment, bien souvent, ayant reçu nombreux souhaits sincères de bon séjour.

    Sans raconter les nôtres qui n'ont pas un intérêt spécifique, parfois j'ai envie de vider la coupe qui faillit déborder...Les vacances sont appréciées par le fait qu'elles ont été prévues loin de chez soi, horizon différent, la chance d'avoir pu s'évader mais....

    Cependant cela n'a pas été formidable et je ne résiste pas à vous embarquer et vous conter les petits soucis " troublions" du séjour.

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  • La pêche à pied

    Choisir le Cotentin pour  ses vacances
    Avec l’envie sur ses plages immenses
    De pêcher coques et palourdes,
    En faire bombance, sans doute,
    Emportant des griffes de jardin
    Pour dégoter mon futur festin.
     
    Quelle ne fut pas ma déception
    D’apprendre son interdiction
    Durant la pleine saison, pollution,
    Et ne voir personne gratter
    En septembre ceci devait changer.
     
    Un matin la mer se retirant
    Je vois, tout en marchant
    Enfin un homme s’affairer
    Debout en train de bêcher
    Ah! Pour creuser, il n’hésite pas !
    Je ne me souvenais pas
    Que les coquillages étaient si enfouis !
    Je ne suis pas venue vers lui.
     
    Mais tout près les oiseaux j’ai observé
    Qui ce matin par milliers
    Envahissent la plage ensoleillée
    Certains s’étant approchés
    Restent complètement figés.
    Je me suis alors demandé :
    Attendent-ils que le pêcheur
    Enfin quitte les lieux  ?
    Alors les oiseaux judicieux
    Pourraient récupérer
    Ce qui s’était caché
    Pas dans le trou, à côté.
     
    Mon chemin j’ai continué
    Et j’ai appris que des vers c’était
    Ce que cet homme cherchait.
    Le but : avoir un bon appât
    Peut-être pourquoi pas
    Taquiner le goujon
    Ou pour ses poules et dindons ?
    Des coquilles vides en quantité
    Sur la plage, jonchent abandonnées
    Parfois des pleines, fermées
    Mais trop petites pour être ramassées.
     
    Je n’ai pas eu mon plaisir finalement
    Qu’un léger regret raisonnablement.
    Me reste une fascination débordante
    Envers cette baie si changeante
    Par les différentes couleurs
    De cette mer, suivant ses humeurs.
    Quand aux coquillages, je me dis
    Momentanément je leur ai sauvé la vie
    Jusqu’à ce que les mouettes
    Fassent les pique-assiettes !

    Ninette

  • Échappée déconfinée

    Depuis plusieurs années
    Pour moi, Trouville c’est au printemps
    Je ne connaissais pas l’été
    Ce lieu d’un autre temps.
    Après le confinement
    Revoir l’espace, quel bonheur
    Mais également quel changement
    Constaté à cette heure.
     
    La plage dès le matin
    C’est le domaine des chiens.
    La base nautique s’est réveillée
    Tournent les “optimists”
    Plus loin les voiliers colorés
    Prennent la mer pour une piste
    Bien qu’elle soit agitée.
     
    La plage se garnit de monde
    Surtout le côté surveillé,
    Des cabines de toiles rondes
    Aux couleurs vives, rayées
    Dont les jupes s’envolent
    Sont alignées parmi des parasols
    Plantés à espaces réguliers,
    Comme cela est recommandé
    Probablement cette année,
    La plage est plus civilisée.
     
    Si vaste que personne n’est gêné
    Chacun peut s’activer,
    Jouer, se promener à volonté
    Vraiment en toute liberté.
    Peu de bruits sont perçus
    Sauf celui du reflux.
    C’est le début de la saison
    Mais déjà le goût de l’évasion
    A eu raison des citadins
    Nombreux venus respirer l’air marin.
    Pour vivre un tel dépaysement
    Une semaine c’est court ?
    Non, c’est suffisant !
    Mais à quand le prochain retour ?
     
    Ninette

  • Pays Baltes

    Voyage d'une dizaine de jours avec le groupe ARA-SGN de15  personnes .Voyagiste : Voyageurs du Monde

    Nous étions donc 15, qui souhaitaient faire depuis longtemps ce voyage mythique des trois pays  baltes : la route de l’Ambre, les Grands Ducs, les Chevaliers Teutoniques, la Hanse… Et puis, brusquement, une fenêtre de tir s’est dégagée. Et nous nous sommes retrouvés à 15, des purs SGN et des pièces rapportées, qui n’ont pas tardé à mutualiser leurs sympathies, pour la plus grande réussite de ce beau voyage.

    15, plus Philippe, notre accompagnateur  et Ivas, notre chauffeur, qui nous ont permis de revivre un millénaire d’histoire, depuis la Lituanie, jusqu’à l’Estonie, en passant par la Lettonie.

    Quels ont été les points forts de ce périple, nos coups de cœur, sans bien sûr nous livrer à un compte rendu exhaustif :

    LITUANIE (2,9 M. habitants - 65300  Km2 : belle leçon d’humilité pour nous : au Moyen Âge, le Grand Duché s’étendait de la Baltique à la Mer Noire !)

    Les 3 B lituaniens : Basket - Bible - Bière !!! nous dit Philippe.

    paris,baltes1ère journée : Visite de la vieille ville de Vilnius, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, en partant de la porte de l’Aurore, minuscule église baroque nichée à l’étage de la porte la plus importante de la ville et la plus vénérée. Nous admirons ensuite le château  Supérieur  des 14° et 15° siècles, la tour Ouest du fort de Gidiminas, puis son château Inférieur des 13° et 16° siècles, situé en bas de la colline.

    La cathédrale de Vilnius, l’Eglise Ste Anne, le couvent des Bernardins, puis l’Université méritèrent notre attention, mais aussi, l’après midi, le musée du KGB, tristement célèbre, mais très bien reconstitué.

    paris,baltes2è journée : journée consacrée à Trakaî, une des  plus anciennes capitales du pays. D’abord le plus célèbre château du pays, qui se dresse sur une péninsule, au milieu du lac de Galve, époustouflante forteresse médiévale, ocre, qui abrite un très intéressant musée d’histoire.

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    Nicole et Jacques

  • Un dîner original

    Pendant notre séjour en Berry début août, nous avons fait un dîner berrichon surprenant, mais finalement excellent. Appâtés par une annonce parue dans le journal régional "la République du centre" nous nous sommes rendus un soir au restaurant la Luzeraise, aux environs de la petite ville de Chalais. Un chemin dans l’ombre nous conduisit au restaurant.

    Il faisait noir, pas de lumière, pas de voitures… nous avons quand même été jusqu’à la porte, et là, nous avons été accueillis par une vieille dame, s’appuyant sur une canne anglaise, qui nous a confirmé que nous étions arrivés à bon port. En effet, dans une salle déserte, une table de cinq nous attendait. Après quelques minutes, la vieille dame est arrivée avec la carte des plats et la carte des vins. Puis le chef, un grand gaillard moustachu,(la vieille dame était sa maman) nous a demandé si c’était bien nous qui avions commandé cinq portions de poulet aux écrevisses : en effet, c’est bien ce qui nous avait amené dans ce lieu perdu.

    La vieille dame, toujours claudicante, est ensuite arrivée avec une assiette de rillettes et des toasts. Excellents rillettes d’ailleurs, qui nous ont permis de goûter le vin blanc de Reuilly que nous avions commandé, excellent lui aussi. En entrée, il y avait le choix, sur la carte, entre du foie gras ou du sandre au beurre blanc. En réalité, il n’y avait plus de foie gras. Donc nous avons dégusté, de force, un néanmoins remarquable sandre, cuit à point, et un beurre blanc délicieux. Cela commençait finalement bien. Est arrivé ensuite le poulet aux écrevisses : honorable bestiole et chacun avec deux écrevisses dans une sauce à l’armoricaine : nous sommes régalés !

    Le plateau de fromages qui a suivi était très bien, avec notamment la vedette locale : le Pouligny St Pierre, célèbre chèvre berrichon.

    Est arrivée la surprise du chef, qui nous a proposé comme dessert une omelette norvégienne ! Ce que nous avons adopté d’enthousiasme et que nous avons beaucoup apprécié, en finissant une deuxième bouteille de Reuilly, d’un viticulteur dont nous avons retenu le nom : Claude Laffont.

    Nous sommes repartis dans la nuit, rassasiés et heureux ! Entre-temps, deux couples étaient arrivés, la salle était plus animée, heureusement pour nos hôtes. De retour à Paris, nous avons constaté que ce restaurant était couvert d’éloges sur Internet !

    Jacques et Nicole

  • Bons baisers de Saint Paul de Vence

    … célèbre village de la Côte d’Azur dans la deuxième moitié du XXe siècle, avec les artistes célèbres qui le fréquentent : Yves Montand et Simone Signoret, Jacques Prévert, Pablo Picasso et bien d’autres qui descendent à l’auberge de la Colombe d’or.

    La galerie d’Art Maegt fait alors la gloire du village avec sa collection de peintres et  de sculpteurs célèbres.

    Et maintenant, il y a la Chapelle des pénitents blancs, décorée, après remise en état par la municipalité après trois années  de restauration, par Jean-Michel Folon qui l’avait promis avant sa mort.

    st paul de vence

    C’est au sein de cette chapelle, datant du XVIIe siècle, que l’artiste imagine un vaste projet de décoration. Il y travaillera jusqu’à son décès en octobre 2005. Un travail nettement inspiré par l’esprit du lieu qu’il avait transcrit avec précision sur des dessins et aquarelles.

    Ce sont les liens d’amitié qui ont attaché Folon à Saint-Paul de Vence avec la famille Roux, propriétaire de la Colombe d’or, pour qui il peint l’enseigne du lieu avec ses amis artistes  dont son grand ami César.

    Murs, plafonds, vitraux, sculptures : c’est un enchantement de couleurs pastel, avec les célèbres oiseaux de l’artiste. C’est un bain de fraîcheur et de beauté.

    st paul de vence

    Une mosaïque de 106 m² décore l’ensemble du chœur, selon la technique dite de "Ravenne": pour cela, les mosaïstes ont utilisé des tesselles d’émaux dont certaines sont dorées à l’or et à l’argent.

    Les vitraux sont purement inspirés de la vocation caritative de la Confrérie : secours des plus démunis par l’entraide et le don. Les peintures à l’huile s’inspirent des  pastels que Folon avait exécuté à l’aquarelle. Deux  magnifiques sculptures : "qui ?" en bronze patiné, fait office d’autel et "la source" en marbre rosé du Portugal fait office de bénitier au centre de la chapelle.

    Une splendeur, que ne manquez pas de visiter si vous êtes dans la région.

    Jacques et Nicole

  • Un été au” Ranolien”

    Nous sommes partis pour les Côtes d’Armor
    Avouant quitter Paris sans remords,
    Retrouver  la Côte de "Granit Rose"
    Merveille que la nature ose
    Par les formes de ces rochers étonnants
    Qui laissent les promeneurs pantelants.
    Quand on emprunte le "sentier des douaniers"
    Loin d’être plat, plutôt accidenté
    L’on découvre la côte découpée
    Que la mer transparente vient caresser.
    Ce chemin tout au long est entouré de verdure
    Fougères, liserons, soucis, bruyère qui durent
    Adoucissent le regard des marcheurs
    De tous âges partis plein d’ardeur
    Afin de trouver là-bas, tout au bout
    À Perros, la plage de "Trestraou" !
     

    paris,bretagne

    Une haie d’hortensias cache encore la vue
    De cet endroit tant attendu,
    Même des palmiers en bordure
    On se croirait sur la Côte d’Azur !
    Une immensité tout en contradiction
    Si l’on se permet la comparaison,
    Large baie de sable blanc et fin
    Alors que la mer, partie au loin
    Étonnamment est toujours aussi bleue
    Parfois foncée pour se différencier des cieux.
     
    Au large quelques bateaux, voiliers, canoës
    Semblent être des jouets animés
    Si petits sur cette étendue d’eau
    Partie, de si haut
    Pour s’éloigner, suivant la marée
    Ces allers et retours ponctués,
    Libérant un vaste espace humide
    Enthousiasmant des enfants peu timides
    Engagés à construire des châteaux,
    Avec courage creuser pour trouver de l’eau
    Chefs d’œuvre qui dureront quelques heures
    Le temps que la mer reprenne son labeur !
     
    Dans les terres se jouent d’autres évènements
    Si l’on observe le manège des goélands
    Qui solitaires ou à plusieurs, tournoient
    Autour des constructions, puis sur les toits
    Se reposent sans oublier d’émettre
    Des sons différents, à reconnaître
    "Bonjour, çà va bien ? " ou "J’ai faim"
    Appel auprès des copains ?
    Encore que se jetant sur les miettes
    N’acceptent pas le partage, coups de bec
    À celui qui ose s’approcher
    Avec le désir aussi de se restaurer !
     
    Le vacancier avide d’évasion
    Profite de cette nature à chaque occasion.
    Soudain il remarque une différence,
    Un après-midi la brume s’avance
    La mer est toute envahie,
    La lumière du jour s’assombrit
    Plus de distinction entre ciel et elle
    L’horizon est ouaté de gris, pas de bruit d’ailes,
    Sommes comme dans du coton enveloppés
    Heureusement, c’est la fin de la journée.
    Mais cette brume, ce n’est rien
    Elle annonce le soleil de demain !
    Présent chaque jour depuis notre arrivée
    Pourquoi voudrait-il déjà nous priver
    De son éclat, de sa luminosité
    Qui donnent au paysage encore plus de beauté ?
    Le soleil breton tout en douceur
    Offre de la couleur et réchauffe les cœurs !
    Voyez comme ici, les gens sont heureux
    Chagrins, soucis, oubliés pour eux
    Détente, calme, festivités, font le lien
    Sur ce site, nommé "Le Ranolien"
     
    Ninette