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En Bretagne, les goélands Animaux très courants, Sont sauvages parait-il ! Pas toujours, semble-t-il Car ils sont malins Viennent chercher du pain Qu’incidemment on leur lance, Approchent si l’on recommence ! Leur chant est différent Des oiseaux de notre ville Qui rappelle étonnement Ceux de Trouville. Pas de cris perçants Mais une sorte de miaulement !
Lors de notre dernier matin, Que vois-je arriver soudain Sur la table de la terrasse, Mon visiteur de chaque jour Il le sent... C’est le dernier tour. Me jette un regard tenace "Tu vois, j’ai pris place" Ce que je comprends. Alors, je lui parle doucement C’est qu’il est gros, impressionnant Mais si beau, si blanc ! M’écoutant, il tourne sa petite tête À gauche, à droite De son jaune bec, claque” Mat, Mat” S’approche encore de ses grosses pattes Alors ben sûr avec hâte Je vais tout bonnement Chercher du pain Qu’il avale gloutonnement C’est qu’il a grand faim !
Comme c’est la fin du séjour On charge la voiture pour le retour Alors l’oiseau s’éloigne sur le toit. Nous observe ; je suis triste ma foi De quitter ce fidèle ami Mais comme pour me dire merci, Ou pour me consoler, S’envole et une plume laisse tomber ! Je me précipite pour la ramasser. C’est ce qu’il avait de mieux Il l’a donné en signe d’adieu !
Au revoir bel oiseau, tu n’avais pas peur Moi, si, mais voilà que je pleure, Pas banal cet attachement Pour un simple goéland Me dis-je raisonnablement. Mais bien évidemment Durant le voyage J’ai longuement caressé le plumage. Il m’a ensorcelé, même à Paris Voilà que je pense encore à lui !
.... c’est-à-dire de la foire aux vins de Luri , dont nous avions rendu compte l’an dernier aux nombreux et fidèles lecteurs de la gazette de l’Arvem , lors de sa 29e édition
Profitant à nouveau de l’hospitalité de nos amis Martine et Maurice du cap Corse, nous avons participé à la 30°, début Juillet 2019... Mais, changement de décor : l’événement s’est déplacé sur le port de Santa Severa.
La dimension de la foire a changé aussi, avec des Masterclass (cours de cuisine gastronomique), un grand dîner gastronomique à quatre mains, concocté par le chef franco coréen Pierre Sang Boyer (que nous avons connu dans ses restaurants du 11e à Paris) et le chef Corse Romain Aîcardi de Cuttoli, assistés de six autres chefs !
Cette 30e édition a donc marqué un nouveau départ, une relance avec ce nouvel emplacement au bord de l’eau, sur l’esplanade du port de Santa Severa,.
Avec 50 vignerons venus de toute la Corse, et une quarantaine de stands réservés aux producteurs, créateurs et artistes : une quarantaine de bijoutiers, fromagers, charcutiers, éditeurs.
Dans ce beau décor et par un temps magnifique, cette 30e foire des vins de Corse (le plus petit vignoble à l’échelle nationale) a connu un beau succès, bien mérité.
Nous ne sommes pas repartis les mains vides : nous avons ramené sur le continent deux caisses du célèbre vin blanc Nicrosi du cap Corse et quelques bouteilles du délicieux muscat du cap Corse.
... ou en français : de Chypre… l’ile d’ Aphrodite (nous sommes passés près du célèbre rocher qu’il aurait vu sortir de l’écume), île où nous venons de passer quelques jours.
On dit qu’il y fait en moyenne 326 jours de soleil par an. Nous avons bénéficié de sept jours complets, avec une nuit de pluie qui a permis aux fleurs locales de s’exprimer plus que jamais : bougainvillées, roses, daturas, cannas, jasmin, lauriers-roses et beaucoup d’autre. Et aussi aux agrumes : Oranges, clémentines, citrons, pamplemousses de se ressourcer en pleine saison.
Le territoire de l'île est divisé en trois souverainetés : celle de la république de Chypre, la seule internationalement reconnue, qui pratiquement ne contrôle que 61% du territoire la partie Nord, occupé par l’armée turque depuis 1974, autoproclamée république turque de Chypre du Nord enfin, (sacrés Anglais !) celle du Royaume-Uni (3 %) dans des enclaves britannique militaires au sud de l’île.
Et au milieu de ce joli monde, la ligne verte, dite ligne Attila, occupée par les casques bleus de l’ONU.
Située dans la partie la plus orientale de la Méditerranée, Chypre est peuplé d’environ 1 150 000 habitants majoritairement chypriotes grecs, soit 75 % de la population dans le sud, contre environ 300 000 chypriotes turcs dans le nord. Sa superficie est de 9251 km². Par son positionnement géographique. Elle est depuis des siècles la liaison entre l’Europe d’une part, l’Anatolie, les côtes du Moyen-Orient et de l’Égypte d’autre part. Pour le géographe Georges Duby, c’est un poste avancé, relais, lieu de rencontre, lieu d’échange. C’est à ces fonctions que l’ île doit sa prospérité, l’éclat de ses civilisations, constamment enrichies par d’autres cultures. Mais aussi ses misères : terres convoitées, sans cesse envahie, pillée, partagée.
Le nom de l’île est indissociable des gisements de cuivre natif exploités dès l’Antiquité.
Alors, qu’avons-nous vu et admiré ?
Le premier jour, la presqu’île de Karpas au nord, où nous nous sommes baladés le long de dunes et de plages de sable quasiment désertes jusqu’au monastère Apostolos Andreas, dont les icônes méritent la visite et qui est un lieu de pèlerinage très fréquenté sous la houlette de Saint-André, patron des marins. Et là, un comité d’accueil composé d’ânes sauvages, en réalité très pacifiques, et d’une meute de chats (souverains partout dans l’île), qui tous attendant des touristes de la provende, soit notamment des carottes, soit des croquettes, vendus par quelques commerçants astucieux. Spectacle inattendu, original et très sympathique et prétexte à d’innombrables photos !
Le jour suivant fut consacré à Saint Barnabé, apôtre qui avec Paul, prêchait la nouvelle religion, 50 ans après J.-C. Puis visite de Famagouste ville portuaire située à l’est. La vieille ville est entourée de superbes remparts vénitiens, avec la célèbre tour d’Othello. Puis passage à l’ancienne cathédrale Saint-Nicolas devenue mosquée.
Ce fut ensuite Nicosie, qui est la dernière capitale divisée en Europe. Nous avons notamment visité la mosquée Selimiye-Sainte-Sophie et deux les anciens caravansérails du XVIIe siècle.
La visite du fort de Saint Hilarion fut un des clous de notre séjour : magnifique et formidable forteresse byzantine à flanc de montagne sur trois niveaux, remaniée et agrandie par la dynastie des Lusignan. Cela nous donna l’occasion de nous pencher un peu plus sur l’histoire de cette illustre famille, de petite noblesse poitevine, dont les membres furent successivement, pendant plusieurs siècles ,rois de Jérusalem, rois de Chypre et rois d’Arménie. Souvenez-vous du poème de Gérard de Nerval(El Desdichado) dans lequel ce nom est cité : "suis-je amour ou Vénus, Lusignan ou Byron … "
En descendant de la montagne nous avons ensuite découvert l’admirable monastère de Bellapais, véritable chef-d’œuvre de l’art gothique, avant de terminer la journée par la visite du très intéressant musée des Épaves Maritimes dans le vieux port de Kyrenia, ce qui nous permit d’admirer la plus ancienne épave maritime du monde.
Ah! Trouville Si propre la ville ! Pas de saleté Pas un papier Pas de mégots Pas de vélos Pas de patinettes C’est chouette, Sur les trottoirs Pas de foire ! Ici on respire De vieux souvenirs... Rien ne change, Et le dimanche Les terrasses font le plein Ainsi que les planches Offrent aux chiens et gamins Un terrain de jeux Parmi des plus vieux, Des promeneurs qui tranquillement Arpentent, appréciant Le calme, et la vue, Cette immense étendue De sable caressé Par cette mer bleutée En ce jour ensoleillé. Une paix retrouvée. Ici la vie n’a pas changé On y retrouve tranquillité Même la sérénité Des grandes villes oubliées. Si les parkings sont bondés En semaine, ils sont désertés La plage est libérée Des envahisseurs momentanés.
À peine le jour levé, Sur le sable mouillé, Alors que la mer s’éloigne, Les mouettes se soignent Font quelques emplettes Sur la dernière vaguelette Se laissent bercer, Comment ne pas contempler ! Puis rassasiées, s’envolent vite. Un oiseau blanc, ouais ! Me rend visite, Passant si près Que je pourrais l’attraper ! Est-ce le même individu Qu’hier ainsi est venu Plusieurs fois, me regarder ? Croyant qu’il allait s’arrêter Sur la balustrade, là, à côté ? Comment ne pas rêver !
Un matin, la mer devint grise On nous annonce forte brise. L’écume au large, Le vent fouette le visage. Les goélands se taisent Attendent que le souffle s’apaise Aussi, le retour des chaluts Pour reprendre leur chahut ! Quelques jours pour se ressourcer Le quotidien à oublier Et mettre de côté Les rumeurs, toute l’actualité, Pas de contestations Plus de manifestations ! Juste la nature à observer, Des sourires à croiser Des gens venus de partout Se libérer, aussi, c’est tout. Des” Hommes” apaisés Semblent dire “ vive la liberté” C’est le fort ressenti Avant de regagner Paris.
Dans la Vienne -86310- région Poitou Charentes – à 15km de Montmorillon.
À Saint-Savin il faut lever les yeux vers le ciel ou plutôt vers la haute voûte de la nef. Surnommée "la Sixtine de l’époque romane" par André Malraux, l’abbaye recèle en effet des fresques d’une valeur universelle, inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1983. La découverte de ce cycle de peintures bibliques, miraculeusement préservées, est vraiment spectaculaire
Nous l’avions visitée au milieu des échafaudages il y a une cinquantaine d’année, alors que des travaux de restauration étaient en cours.
Cette église abbatiale allie harmonie et sobriété et frappe par l’ampleur de ses dimensions : longueur totale 76 m et hauteur de la flèche 77 m. La légende dit que ce furent deux frères : Savin et Cyprien, condamnés à mort au cinquième siècle pour refus de l’idolâtrie, qui sont à l’origine de la construction de l’abbaye à l’époque carolingienne. Laquelle subit ensuite beaucoup de destructions au cours des siècles suivants : pillages des Normands, guerre de Cent ans, guerres de religions notamment.
C’est Prosper Mérimée, jeune inspecteur des monuments historiques qui classe l’église en 1836 et entreprend de sauver les fresques, un combat d’une vie contre l’habitude d’alors de restaurer en repeignant. La dernière campagne de restauration, achevée en 2008, a vu l’élimination complète des repeints anciens et des autres ajouts qui défiguraient les murs, la voûte et les colonnes.
Le résultat est extraordinaire : une douce lumière dorée emplit la nef. Mises en valeur par l’admirable pureté de l’architecture, les peintures de la voûte se déroulent à plus de 16m de hauteur sur une superficie de 412 m². On est frappé par les différentes tonalités ocre des colonnes supportant la voûte. Dans le bas-côté droit on voit les fresques de sa partie gauche où l’on reconnaît notamment les scènes suivantes :
création de la femme – Eve et le serpent – meurtre d’Abel et malédiction de Caïn. La célébrissime arche de Noé pendant le déluge - Dieu bénit la famille de Noé sortant de l’arche … De l’autre côté, ce polisson de Noé est encore à l’honneur : Noé s’enivre en dansant– Noé maudit Chanaan- construction de la tour de Babel..
À cette occasion, nous avons été informés des techniques de la peinture murale : a fresco (fresques) ou a secco (peintures)
Nous avions découvert ce sanctuaire il y a une trentaine d’années, à l’occasion d’une balade dans la vallée des Merveilles.
Il s’agit d’une petite chapelle, perdue dans les montagnes du Mercantour, près de la frontière avec l’Italie. Nous avions été émerveillés par la beauté de ses fresques et épouvantés par l’état d’abandon de ces chefs-d’œuvre.
Profitant d’un séjour sur la Côte d’Azur en ce magnifique mois de septembre, nous y sommes revenus et… émerveillés par la réhabilitation du sanctuaire et de ses fresques. Conjointement, la ville de la Brigue et la grande ville de Nice se sont associées pour nous permettre de continuer à admirer ces chefs-d’œuvre d’il y a plusieurs siècles.
La chapelle est bâtie dans une gorge sauvage, au-dessus de 7 sources intermittentes , d’où son nom. Elle abrite donc des fresques exceptionnelles , désormais bien conservées après restauration. Celles du chœur, les plus anciennes, dues à Jean Balaison, représentent la Vierge et les évangélistes. Les autres peintures de 1492 (découverte de l’Amérique…) sont de Jean Canavesio et retracent les événements importants de l’Évangile, traités avec vigueur et un surréalisme parfois saisissant. On remarque surtout le Judas Pendu, d’un réalisme effrayant.
Le site est accessible en belle saison. Si vous en avez l’occasion, il vaut le voyage.
Luri au nord du Cap Corse est un ensemble de 18 hameaux situés dans la vallée éponyme. Les 7 et 8 juillet dernier on y a célébré la 29e édition de la fête du vin et en même temps les 25 ans de l’AOP Muscat du cap Corse.
Ce fut un grand succès, à la fois sur le plan de la gastronomie, de l’œnologie et de la convivialité en suivant les ateliers dégustation : gastronomie – œnologie – pâtisserie (Master class en franglais…)
Pour la gastronomie un grand chef étoilé Joël Garault, qui a dirigé de grandes tables à Monaco, est sorti de sa retraite pour cuisiner des huîtres de Diana puis de l’agneau de lait avec… du Muscat du Cap ! Le chef, avec des épinards, de l’ail frais, du fenouil, du cédrat confit, de l’oignon, a conquis les papilles d’un public ravi .
Sur le plan œnologie la "Tasting team" (association de sommeliers Corse et de Paris Île-de-France) nous a initiés à la dégustation des crus en sollicitant les muqueuses. "Sentir, agiter le produit en bouche lui donnera un effet aérien" explique Sophie Mirande, maître sommelier de France, en soulignant que 500 arômes classés en 7 familles ont été définis pour les vins !!! (on se souvient de la célèbre cuvée de Beaujolais au goût de banane !)
Le palmarès du concours régional des vins 2018 a permis de récompenser divers vignerons de l’île de Beauté et nous a confirmé dans l’excellence de ce vignoble. Nous en avons profité pour ramener sur le continent trois caisses de notre vin blanc, préféré : le clos Nicrosi du cap Corse, que nous sommes allés chercher à la propriété.
Nikaïa la belle a dans son domaine plusieurs jardins magnifiques auxquels nous rendons régulièrement visite par devoir et par plaisir.
En cette mi juillet, notre choix s’est porté sur le jardin des moines de Cimiez, créé en 1546 par les Franciscains de l’ Observance et resté quasiment à l’identique depuis. À proximité des Arènes, il rappelle par son style le jardin à l’italienne. Cet ancien potager et verger des moines a gardé son tracé d’origine avec son puits central et ses pergolas anciennes entièrement recouvertes de rosiers grimpants.
Il est organisé en damiers sur une surface de 9950 m². Lorsqu’on y pénètre, une vaste esplanade s’offre au regard, partagée par une large allée. Elle est longée sur un côté par une tonnelle recouverte de rosiers grimpants. Des orangers, des citronniers, des mandariniers ponctuent une pelouse parfaitement ordonnée.
Des espèces méditerranéennes comme l’olivier et le cyprès côtoient de splendides magnolias. Des roses anciennes et des carrés d’autres fleurs embaument le jardin. Nous y avons pique-niqué (pan bagnat obligé !) et lié amitié avec une gracieuse tourterelle grise, venant quérir des miettes dans la main.
Au fond, on découvre un panorama très étendu sur les limites Est de la ville et la chaîne des collines niçoises : mont Gros, mont Vinaigrier, mont Boron, et au sud, la colline du Château, la mer et la vallée du Paillon.
Beauté, grâce, sérénité, silence, il fait bon y venir et revenir et s’y reposer sur les nombreux bancs offerts aux visiteurs.
…. où nous étions en ce début du mois d’août pour participer, pour la 26e fois, au festival international des jardins dont c’était la… 27e édition. Édition très réussie sur le thème des "jardins de la pensée".
Ce fut l’occasion, une fois encore de mesurer les progrès accomplis par ce festival depuis sa création en 1991 : il a largement étendu sa superficie et ses dépendances : restaurants, boutiques, parkings, et salle logistique notamment un système d’arrosage permanent de haut niveau.
Que l’on songe au verger de Platon, au jardin d’Épicure, ou jardin des lettrés de l’ancienne Chine, au jardin des mille et une nuit, mais aussi aux "promenade des philosophes" d’Heidelberg ou de Kyoto, aux connaissances botaniques dont Shakespeare a parsemé son œuvre, le jardin a eu, de toute éternité partie liée avec la littérature et la pensée, qui d’ailleurs a donné son nom à une fleur.
Le festival dure jusqu’au 4 novembre 2018 , et désormais, les jardins peuvent être visités le soir à la lueur de diodes électro luminescentes.
Voici quelques impressions après être passé parmi les 25 parterres illustrant la pensée : – ceci n’est pas un jardin… à la manière d’un tableau de René Magritte, – le livre de sable. C’est le nom d’un recueil de l’écrivain Jorge Luis Borges et nous entraîne dans une déambulation labyrinthique sans fin, – dans les bois, à nouveau de l’écrivain argentin sur le thème : "être perdu, c’est se retrouver", – le dédale de la pensée, voyage dans les méandres du cerveau, – le jardin des voyelles inspirées de l’Oulipo cher à Georges Perec, – l’attrape rêves, inspiré d’une légende populaire amérindienne et d’un objet mystique qui retire les mauvais rêves, - Les sept vallées : jardin en spirale qui déroule le récit d’un recueil de poèmes en langue persane "la conférence des oiseaux", – le jardin de Proust : le cours d’un dessein, – le temple de nos pensées, à la manière de La Fontaine de Trevi en Italie – et beaucoup d’autres remarques.
Si vous en avez l’occasion, ne manquez pas cette visite. D’autant que, sur le plan gastronomique, restaurant le Velum nous offre, chaque année, de délicieux repas inspirés.
À l’occasion d’une sortie en Vendée d’un groupe d’anciens du CEA, nous sommes retournés avec joie dans le Marais poitevin, où nous étions il y a bien longtemps.
Après un déjeuner à Damvix, nous avons embarqué dans une "plate" le bateau local, à Saint Sigismond. C’est ainsi que pendant quelques heures, nous avons navigué paisiblement, conduits par un excellent guide qui nous donna maintes informations sur la situation actuelle du Marais, lequel, après de nombreuses péripéties, a retrouvé le label "Parc naturel régional" depuis le 21 mai 2014.
Il nous rappelle tout d’abord que cette région... Lire la suite ICI