Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Expo : L'art d'aimer au Moyen Âge "le Roman de la rose"

    paris,expositionJusqu'au 17 février 2013 la Bibliothèque de l'Arsenal dans le cadre de l'exposition ; L'art d'aimer au Moyen Âge ; "Le Roman de la rose" nous permet de mieux connaître ce monument de la tittérature médiévale, dont la paternité est attribuée à Guillaume de Lorris (1230) et Jean de Meun (1270-80).

    Les amateurs de manuscrits sont à la fête, les enluminures, mises en valeur, les personnages bien replacés dans le contexte de l'histoire.

    Un exposition à déguster d'autant plus que l'entrée est libre.

    Jean-Paul

  • La Galigaï

    paris,histoire,conférenceUne sacrée arriviste du XVIIe siècle, Léonora Dosi.

    Italienne issue d'un milieu ouvrier, jeune fille, maligne, elle fut introduite dans la famille Médicis par son père bien placé, pour tenir compagnie à Marie un peu plus jeune, et languissante.

    Elle sut lui plaire, la distraire, la guider et sera toute sa vie auprès d'elle, aiguisée par l'ambition, d'abord en Italie, puis en France.

    Alors que Marie de Médicis devint l'épouse de Henri IV, Léonora pour accéder à la Cour de France, donc être auprès de la nouvelle Reine, dut acheter un nom, celui d'une famille célèbre : "Galigaï". Arrangement de l'époque bien commode pour arriver à ses fins; voici donc les deux femmes à nouveau réunies.

    La Galigaï auprès d'une Reine influençable, peu énergique, se déploiera en conseils, envoûtera celle-ci jusqu'à la Régence.

    Si le nom "Galigaï" nous était presque inconnu, d'autres chantèrent à nos oreilles éveillant des souvenirs tels : Henri III, Henri IV, Margot, François 1er, Louis XIII, Concini...

     Justement Concino Concini époux de Léonora se trouve également à la Cour Royale de France. L'époque était trouble, fin des guerres de religions. Des clans se formèrent, ce qui créa des tensions, des rivalités entre les groupes de nationalité italienne et française, des complots, des assassinats, les bonnes places étant convoitées !

    (Rappelez-vous... La Saint- Barthélemy… le Duc de Guise... Pas très joli tout cela).

    C'est ainsi que ce couple ayant connu l'apothéose auprès de la royauté durant dix-sept ans, connu aussi une fin terrible à Paris. Concini pris dans un guet-apens fut égorgé et lapidé par le peuple, la Galigaï, fut jugée, décapitée, brûlée soupçonnée de sorcellerie.

    Marie de Médicis n'intervint pas auprès de cette compagne troublante, elle-même dans l'impossibilité d'agir, car emprisonnée par son fils à Blois ! Drôle d'époque !

    Après cet éventail déployé beaucoup plus largement que ce résumé, un peu d'air était nécessaire...

    paris,histoire,conférenceAvec légèreté nous avons dégagé la table garnie, puis resserré les rangs autour d'elle pour fêter l'Epiphanie et faire revenir quelques têtes couronnées, sous la découverte des fèves. Coutume adoptée dans notre groupe avec le même succès, permettant à "nos Gens de Cour" de se retrouver pour converser à leur guise sur les potins et rumeurs de couloirs...

    Des rois et des reines élus sans violence, mais dans une douceur sucrée ! Aucune dent n'a succombé. (Juste un pincement au cœur devant les disparitions de Henri IV et François 1er...)

    Ninette

  • Expo "Les couleurs du ciel"

    paris,expositionCeux qui aiment les peintures religieuses en auront pour leur argent en se rendant jusqu'au 24 février 2013 au Musée Carnavalet, voir l'exposition "Les couleurs du ciel".

    Ils pourront ainsi admirer de près des peintures de Nicolas Poussin, des frères Le Nain de Philippe de Champaigne et de bien d'autres artistes du XVII eme siècle.

    Certains sujets sont surprenants, tels "Samson trouvant du miel dans la gueule du lion" (il fallait y penser) et le "Martyre de St-Jean l'Evangéliste" qui voit l'huile bouillante dans laquelle celui-ci devait être plongé, se transformer miraculeusement en rosée céleste. Les églises parisiennes dont proviennent, ou provenaient, ces chefs d'oeuvre renferment bien des trésors souvent ignorés.

    Jean-Paul

  • Expo "Les enfants du Paradis"

    paris,expositionVoici jusqu'au 27 janvier la Cinémathèque française 51 rue de Bercy 12e qui décide de consacrer une exposition sur un des films français les plus connus dans le monde "Les enfants du Paradis".

    Son réalisateur Marcel Carné réussit à surmonter les pires difficultés dues à la guerre et l'Occupation de la France et à présenter son chef d'oeuvre dès le mois de Mars 1945.

    Un véritable exploit qui mérite toute notre admiration. À la sortie de l'exposition, le film "Les enfants du Paradis" n'aura (presque) plus de secrets pour vous.

    Jean-Paul

  • Film "Renoir"

    Un très beau film de Gilles Bourdos, qui nous raconte les dernières années de l’artiste, atteint de polyarthrite, et qui peint encore et encore, malgré ses doigts meurtris, qui peint Andrée, modèle érotique, splendide et qui veut tout.

    On voit peu Renoir travailler, on voit surtout ses pinceaux qui posent de petites touches sur la toile déjà remplie de son modèle. Autour de lui, dans sa propriété du midi, des femmes de tous âges se dévouent le jour pour permettre à l’artiste de poursuivre son œuvre et, la nuit, elles assistent l’homme qui hurle de douleur et dont les cris terrorisent un gamin (Claude le 3ème fils du peintre).

    Beaucoup d’émotion dans une des dernières scènes du film où le vieux peintre pas très sentimental, se lève très péniblement de son fauteuil pour étreindre son fils Jean qui repart à la guerre.

    Oui ce film nous narre également le cheminement de Jean, poussé par Andrée, vers sa carrière de cinéaste.

    Michel Bouquet, tranquille et superbe, campe un Renoir au bout de sa vie et de ses forces.

    Les images de ce film sont traitées comme des tableaux de Renoir, avec des couleurs chaudes, des tons roux, des rideaux transparents, des paysages évoquant sans aucun doute les toiles de l’artiste. Un régal pour les admirateurs de ce peintre…

    Colette C

  • Faire ripaille

    Faire ripaille.jpgDeux hypothèses sont à l'origine de cette expression.

    La première viendrait de l'ancien français 'riper' qui voulait dire 'gratter'.

    Faire ripaille s'utilisait alors pour les soldats qui allaient manger et s'approvisionner chez l'habitant, et l'image est probablement celle des repas où les plats étaient raclés (grattés) jusqu'à ne rien laisser du contenu.

    La deuxième viendrait du Château de Ripaille car depuis Voltaire ce château serait devenu synonyme de bonne chère, grâce à un poème, dans lequel le philosophe a loué le duc et futur pape Amédée VIII d’avoir mené à Ripaille une vie de plaisirs, sinon de débauche…

    Jeanet

  • Expo "Des aigles et des hommes"

    Des-aigles-et-des-hommes-sur-les-traces-de-la-grande-armee.jpgVous avez l'occasion de pénétrer dans le Pavillon du Roi du Château de Vincennes afin de profiter de l'exposition "Des aigles et des hommes". Sur les traces de la Grande Armée" ; cela jusqu'au 24 février 2013 du mardi au samedi de 10h à 17h et le dimanche de 10h à 18h. L'entrée est libre.

    De nombreux uniformes et tableaux sont présentés ainsi que nombre de documents. Parmi ceux-ci on peut relever la fameuse proclamation de l'Empereur à ses soldats après la bataille d'Austerlitz du 12 frimaire an 14.

    Une exposition à recommander aux admirateurs de Napoléon, le génie militaire.

    Jean-Paul

  • Expo "Le carnaval à Paris"

    paris,exposition

    Voulez-vous savoir ce qu'étaient un "débardeur", et "un flambard" pour les Parisiens du 19eme siècle ? Vite rendez vous dans la Maison de Balzac, au décor renouvelé et plus aéré, pour découvrir les nombreuses illustrations recréant l'atmosphère parfois délirante et toujours festive du "Carnaval à Paris" exposition programmée jusqu'au 17 février 2013. Entrée libre.

    Jean-Paul

  • Lire "L'oubli est la ruse du diable"

    paris,livre"Ne meurent et ne vont en enfer que ceux dont on ne se souvient plus. L'oubli est la ruse du diable".

    Max Gallo dans ce livre : "L'oubli est la ruse du diable" se souvient de ses parents, des amis de son père, tous communistes engagés, et surtout de sa fille qui se suicida se croyant, à tort ou à raison, abandonnée par son père, du moins le pense-t-il !

    Ce livre se dévore comme un roman et soumet le lecteur à une interrogation sur ses rapports avec ses proches.

    Jean-Paul