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  • Madame du Barry

    N'étant pas de haute lignée, et n'ayant pas épousé un nobliau, je n'ai pas mes entrées à la Cour de Versailles, aussi, je ne peux guère vous parler de Madame Du Barry.

    Mais les ragots vont bon train. Aussi, j'ai appris qu'elle se nomme Jeanne Bécu (avec un nom pareil) et de surcroît de basse souche, pensez donc ! Rien qui ne lui ouvre les portes royales !

    Cependant, en épousant (en noces arrangées) Guillaume Du Barry frère de Jean-Baptiste Du Barry et grâce aux relations de celui-ci, elle est présentée à la Cour du Roi Louis XV, afin surtout de le distraire, lui redonner goût à la vie au sortir d'une période noire, après avoir perdu Marie Leczinska, Madame de Pompadour, le Grand Dauphin entre-autres...

    paris,histoireMadame Du Barry, jeune, belle, naturelle et libertine, a tous les atouts pour plaire au Roi, moins à "Mesdames" ses quatre filles, encore moins à la jeune Marie-Antoinette, mais bénéficie de ses appartements au château.

    Après 6 ans auprès du Roi, à sa mort, la favorite doit quitter Versailles pour un couvent.

    La période révolutionnaire ne l'inquiète guère. Cependant malgré sa gentillesse et sa solidarité envers "les petites gens", son niveau de vie égal à celui d'une reine, la destine à une fin prévisible : procès, jugement, cachot, guillotine...

    Je ne vous en dirai pas davantage, sinon que Du Barry a donné son nom à un potage !

    Vous désirez connaître la recette ? Ah ! Fallait être là pour en découvrir les ingrédients ! (*)

    Vous ne saurez pas non plus où se situaient les grains de beauté de cette belle Dame, modèle des peintres célèbres, comme François Hubert Drouais, Elisabeth Vigée Lebrun. Mais je vous apprendrai qu'un léger "zozotement" lui donnait encore plus de charme, amusant particulièrement le monarque, (ainsi que 3 siècles plus tard notre assistance.)... Comme quoi un défaut peut être un plus !

    Finalement, encore une fois, nous avons découvert un destin formidable raconté avec toujours le même enthousiasme.

    La Pompadour... La Du Barry... Un rêve, ce reflet de féminité pour "Le Bien- Aimé" Roi Louis XV !

    Bizarrement, quand je les évoque, pourquoi m'apparaissent des tons pastel ? Sans doute, la douceur, le calme avant la tempête et le rouge de la Révolution !

    Ninette

    (*) Voir le forum Arvem

  • Soirée beaujolais

    À peine arrivé, première impression.....

    Si on va danser, ce sera collé (et non pas "qu'au lait", on n'est pas la pour ça)-serré. Avant de dîner, j'arrive à me "glisser" entre la chaise et la table, mais qu'en sera-t-il après ? Une fois casés... on bouge plus! Les tentatives de certaines voisines ne s'avérant pas très probantes : des verres renversés, des vestes tachées...

    Cela étant, le service est sympathique mais pas très organisé (pourquoi ne pas avoir mis dès le début du pain, 2 verres, une carafe d'eau ?) Mais la nourriture a bien plu, surtout le pot au feu qui a remporté un réel succès (bien que non proposé au dessert !)

    Les Arvemois-oises étaient contents de se retrouver (une cinquantaine) même si certaines regrettaient - injustement - le peu d'empressement des Arvemois à aller danser.

    Bravo aux organisateurs... bien sur à refaire, et pourquoi pas pour la bière de Noël, le chocolat chaud de l'hiver, le coca frais de l'été, et les rouleaux de printemps...

    Bon, arrête de boire... Jeannot !!!

  • Soirée beaujolais 2012

    Du beau, du bon, Dubonnet
    On se souvient de cette publicité ?
    Eh ! Bien, encore cette année
    Du bon, du beau, Beaujolais
    Nous nous sommes esclaffés
    Au "C'Sters Café".
    Nous étions regroupés,
    Une seconde fois,
    En ce lieu près du bois,
    Pour y déguster
    Sans hésitation
    Mais avec modération,
    Et en joyeux fêtards,
    Le nouveau nectar.

    Soirée toujours sympathique
    Pour le palais, et langues déliées,
    Voir fonctionner les zygomatiques
    Même les gambettes rouillées,
    Entraînées par la musique
    Des guitares gratouillées.
    Avant que tout ne lasse,
    Saisir le bon temps dès qu'il passe
    Savez-vous c'est très salutaire !
    "Quand je vois rougir ma trogne"
    Dit la chanson populaire,
    Permet d'affronter la grogne
    En ces temps jonchés d'épines,
    Rien de tel qu'une bonne chopine !

    Le monde entier l'a bien compris
    Puisque ce vin est exporté
    Dans de nombreux pays,
    Il y est fort apprécié, n'empêche
    Au goût de fruits rouges, s'est ajouté
    Cette année, celui de pêche !
    Thé, bière, vodka, mis à terre
    Le sang de la vigne est à l'honneur
    Devenu star planétaire
    Pour l'Homme de toutes couleurs.
    Ces millions de bouteilles abandonnées
    La terre, plus vite, va-t-elle tourner ?
    Des têtes peut-être un peu !
    Alors, buvons un verre, buvons-en deux
    Et soyons tous heureux !

    Ninette

  • Lire "Dans le lit de l'ennemi"

    paris,livreLe livre d'Hal Vaughan "Sleeping with the Enemy" est enfin traduit sous le titre de "Dans le lit de l'ennemi". S'appuyant sur des archives récemment déclassifiées, l'auteur lève les ultimes zones d'ombre en apportant les preuves de la collaboration de Chanel, recrutée officiellement comme agent par les services de renseignement de l'armée allemande dès 1940.

    Dommage que le style d'écriture ne soit pas aussi brillant que celui d'Edmonde Charles-Roux dans "L'Irrégulière ou mon itinéraire Chanel" que l'on peut désormais relire d'un autre oeil ayant eu connaissance des nouveaux rebondissements.

    Jean-Paul

  • Lire "Chaos brûlant"


    Dans ce livre "Chaos brûlant" Stéphane Zagdanski nous commente avec une joie cruelle par le truchement de quelques shizophrènes surdoués, l'un des évènements les plus invraisemblables de notre époque: l'affaire DSK du Sofitel de New-York.

    Cette lecture nous donne un nouvel éclairage assez décapant. C'est parfois assez délirant, mais toute cette histoire ne l'est-elle pas ?

    Jean-Paul

  • Théâtre "Mise à mots...."

    Mise à mots.JPG…. Et si le temps qui restait à vivre se comptait en nombre de mots prononcés… et que le compte à rebours était déjà en marche….

    Tel est le thème de cette comédie grinçante qui se joue à La Folie Théâtre.

    On sourit, on rit, on sursaute parfois aussi… les comédiens sont excellents même devant un public clairsemé. Une comédie qui sort de l’ordinaire et pour laquelle on ne boude pas son plaisir.

    Jusqu’au 9 décembre 2012 à la Folie Théâtre – 6, rue de la Folie Méricourt – 75011 Paris.

    Colette C