Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

théâtre

  • Théâtre "Une semaine pas plus !"

    Une-semaine-pas-plus.jpgLes fidèles abonnés au théâtre proposé par Arvem ont nouvellement découvert la salle Darius Milhaud . 

    Petit théâtre de poche d'une cinquantaine de places, il a fallu se serrer pour être assis, peut-être même, certains spectateurs ont proposé aimablement leurs genoux. Cette salle ressemble vraiment à un théâtre, l'atmosphère est chaleureuse, le public se sent proche des acteurs, Il est même tentant de s'imaginer dans le rôle des acteurs, ou bien de prendre leur place si les dialogues nous renvoient à du vécu, ou du vu, ou entendu.

    La pièce "Une semaine de plus", est plutôt drôle malgré la situation embarrassante pour Martin l'ami de Paul.

    Enfin, à retenir, une semaine de plus, mais pas plus!

    AnnickD

  • Théâtre "Mata Hari"

    paris,th^éatreMata Hari ou la justice des hommes

    Au Petit Montparnasse Paris 14 – Jusqu’au 5 novembre 2023

    La mise en scène est magique, les jeux de lumières fabuleuses, le jeu des acteurs éblouissant.

    Ariane Mourier en Mata Hari habite littéralement son personnage de danseuse, courtisane et "espionne ". Elle envoûte  la salle en danseuse orientale, enroulée de voiles, enrobée de lumières. 

    Le texte et les dialogues sont à la fois graves et drôles et analysent le pouvoir masculin avec grande finesse. Comme il traduit bien la liberté de la femme courtisane –Mata Hari en l’occurrence - qui sait tirer profit du pouvoir masculin lui-même [trop souvent] dominé par ses instincts de mâle ! Mata Hari en perdit la vie, car elle eut le malheur de vivre en temps de guerre.

    La prétendue justice des hommes a fait d’elle son bouc émissaire.

    La scène entre le militaire – l’Ordre - ("elle a frayé avec l’ennemi") et la religieuse – l’Humanité- " le péché de chair n’est pas un crime") est particulièrement savoureuse.

    Mesdames, soyez attentives à la tirade finale de Mata Hari. Elle résonnera en vos âmes comme elle a profondément résonné en la mienne.

    Messieurs, entendez bien comment certains s’adressent aux femmes.

    À ne pas manquer.

    MartineC

  • Pièce "Exit"

    Quand je rentre dans un théâtre, je revis du vécu. Darius MILHAUD, Compositeur Californien ? (j’ai une lettre de lui dédicacée) , un théâtre parisien a pris son nom. Pas très grand, mais avec une scène, rideau rouge et, côté cour de la salle, un coin régie isolé.

    Rideau levé, décor noir, seuls accessoires, un canapé blanc et table de bar entouré de 4 chaises de bistro blancs. Apparition d’un couple. Lui, assis sur le canapé, lisant un journal, elle, debout, attendant la lecture… Discutions entre eux, pas grand-chose à attendre, relatant leurs premières rencontres.. La femme, au visage très expressif, tous les deux désiraient un changement de leur relation… Le couple finit par se séparer. Un deuxième couple plus jeune entre en scène. Même configuration, désirant aussi un changement.  Le jeu est intense, de la finesse, et drôle…  La vie de tous les jours. Des petits déplacements dans le décor et une bonne mise en scène.

    On passe un très bon moment, ça donne envie d’assister à d’autre spectacles.

    Yvesck

    DSC_0224.jpg

    ©2023 by Yvesck

  • Théâtre "Gisèle Halimi, une liberté farouche

    paris,théâtreMise en scène de Léna Paugam avec Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette
    Jusqu’au 6 avril 2023 à la Scala 13, rue de Strasbourg Paris

    Ce spectacle inédit s’appuie sur le livre d’entretiens menés par la journaliste Annick Cojean, Une farouche liberté, et raconte soixante-dix ans de combats, d’engagement au service de la justice et de la cause des femmes menés par une femme d’exception, Gisèle Halimi.

    Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette interprètent tous les visages de la célèbre avocate éprise de liberté : la femme politique rebelle, la jeune fille, la mère, la grand-mère, l’amoureuse...

    Exceptionnel
    Une mise en scène minimaliste pour évoquer avec brio 70 ans de combat de la femme exceptionnelle qu'est Gisèle Halimi. Un enjeu difficile et très réussi grâce à cette mise en scène, les dialogues entre Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette. Un spectacle hautement intéressant et enrichissant sur la Liberté des femmes, des hommes, la Justice. Ariane et Philippine y croient, c'est l'évidence. Un grand applaudissement et un grand merci à ces 2 comédiennes. Je connaissais Ariane Ascaride à travers ses films, je suis enthousiasmée par la comédienne, la femme et les messages qu'elle transmet.

    Amis Avermois et tous, je vous encourage à aller voir cette pièce. Vous ne serez pas déçus.

    MartineC

  • Théâtre "Ils s'aiment"

    Après le confinement, on a retrouvé le THÉÂTRE !!! "Ils s’ AIMENT"..., avec la Compagnie Théâtrale Aurore de la R.A.T.P.

    Je n’avais pas voulu voir cette pièce avec Muriel Robin et Pierre Palmade.  J’ai découvert et bien aimé l’ensemble. Excellente interprétation, et belle mise en scène…  La salle était pleine, le texte est très drôle.

    Pour moi, c’était un bonheur de retrouver l’ambiance du théâtre. Il ne me manquait que le Brigadier…

    Yvesck

    paris,théâtre
    ©2022 by Yvesck 

     

  • Week end 18 et 19 juin

    ARVEM a fait fort ce week-end écoulé écoulé  (18 et 19 juin) en nous proposant des divertissements fort agréables.

    AMIENS

    D'abord, samedi matin, malgré l'heure tôtive de départ, nous étions toutes et tous ravis de retrouver notre "vieux complice" Dominique, redevenu autocariste pour l'occasion, qui nous a donc accompagnés à Amiens, où nous avons passé une chouette journée, malgré les fortes chaleurs : balade en barque au milieu des hortillonnages, ces jardins flottants ; puis visite de la magnifique cathédrale, commentée par des conférencières passionnées (2 groupes); et pour terminer cette matinée en beauté, un délicieux repas nous attendait au restaurant "Le 31", avec une équipe de serveuses et de serveurs au top ! L'après-midi, avec une température aux alentours de 36/37° s'est déroulée à bord du petit train touristique, qui effectue un tour de la ville  permettant de découvrir les principales curiosités. Puis ce fut le retour et grâce à la conduite très sage de Dominique nous avons rejoint la capitale sans encombre.  

    Théâtre La Bruyère "AIME COMME MARQUISE

    Ensuite dimanche, rendez-vous au théâtre La Bruyère, pour assister à la pièce "Aime comme Marquise" : originale car chacun(e) des comédien(ne)s jouent plusieurs personnages. Jeu remarquable des 2 actrices et des 2 acteurs; distrayante, évoquant le siècle de Louis XIV et les auteurs tels Molière, Corneille, Racine... Une vraie réussite ! "  

    AnnickB

  • Théâtre "Rhinocéros" d'Eugène Ionesco

    paris,théâtreRHINOCÉROS d'Eugène Ionesco  par la Compagnie Galimafré. Mis en scène et interprété par Sébastien Gérard.

    Théâtre Darius Milhaud (75019 Paris) 80 allée Darius Milhaud.

    Cette première version du texte d'Ionesco paru sous forme de nouvelle est mise en scène et interprétée par Sébastien Girard au théâtre Darius Milhaud jusqu'au 19 février. Reprise en mars et avril.

    La pièce qui dure une heure et quart  nous fait perdre  la notion du temps et des espaces-l'imaginaire se mêlant au réel, la portée universelle de la fiction à notre actualité. Le jeu de l'acteur est prodigieux: incarnant divers personnages et divers états, il multiplie les variations de rythme, de diction comme de déplacement,les changements de registre et d'intonations, comme ceux des jeux de physionomie ou de la gestuelle portés jusqu'au mime caricatural. Du coup le rire l'emporte sur la méditation morose que pourrait faire naître le parallèle qui s'impose entre le cauchemar vécu par  ce personnage  et la situation accablante que nous vivons.

    Un parallèle  sur plusieurs plans :  celui de l'épidémie non seulement du point de vue sanitaire, l'extension de la contagion pouvant se figurer par celle de la rhinocérite... mais du point de vue psycho-sociologique: ce dont on avait refusé l'idée, extravagante, au départ (pour nous port du masque, interdiction de toucher l'autre, de se tenir à moins d'un mètre de lui ou elle etc)...est devenu la norme: le voisin est perçu grisâtre, indésirable, et sa peau doit être singulièrement rugueuse pour que nous ne puissions plus nous y frotter !

    Un pas de plus et nous voila sur le plan socio-politique, évoqué avec le comédien à la sortie à propos de la pièce : celui des totalitarismes sous toutes formes-soft ou hard, bienvenue en cette folle conjoncture, est la fantastique métaphore.

    Marie-Claire CALMUS

  • Théâtre "À cause des garçons"

    Actuellement, sur la scène de "La Comédie Bastille", trois copines se retrouvent. Pourquoi ?

    "A cause des garçons"

    Valentine est bien là, en robe de mariée, c'est le grand jour, enfin c'est ce qu'elle croit. Sauf que l'heureux élu n'est pas arrivé. Attente, attente, pourquoi ce retard ? Valentine passe par tous les états, de l'enjouement  aux sanglots, se calme, attend, espère. Pourquoi m'a-t-il fait ça ? 

    Heureusement, il y a les copines, les bonnes copines. Elles sont là, on peut leur faire confiance.

    paris,théâtre

    © 2020 by Yvesck

    Il y a celle qui varie les plaisirs par de brèves rencontres, puis il y a celle que ça laisse indifférente. À elles deux c'est tout un programme.

    Afin de consoler Valentine, elles l'entraînent à danser dans une ambiance festive. Surtout, elles se défoulent en exprimant ce qu'elles en pensent des garçons. Leurs travers, leurs faiblesses, leurs failles. Tout ça  dans un humour léger, affectif, en pointant aussi leurs bons côtés.

    Le public rit beaucoup, surtout les femmes. Chacun ou chacune doit retrouver des situations vécues pour le meilleur ou pour le pire.

    Le clou du spectacle est, qu'il y a une robe de mariée à gagner pour qui laisse ses coordonnées.

    Si vous y allez, vous serez peut-être l'heureux ou l'heureuse élu, vous devrez assurer. 

    Sinon, vous aurez certainement passé une bonne soirée.

    AnnickD

  • Théâtre "Fausse note"

    C’est au théâtre de la Contrescarpe que j’ai découvert cette pièce… Le titre m’avait incitée à aller découvrir ce qui se cachait derrière…

    Le thème :

    1989. Philharmonique de Genève dans la loge du chef d’orchestre de renommée internationale, H. P. Miller.

    À la fin d’un de ses concerts, le Maître est importuné par un spectateur aussi admiratif qu’envahissant, Léon Dinkel, venu de Belgique pour l’applaudir.
    Cependant, plus l’entrevue se prolonge, plus le comportement du visiteur devient oppressant. Il connaît tout de la vie du maestro, dans les moindres détails.

    Comment est-ce possible ? Qui est-il vraiment ? Quelle est en fait la véritable raison de sa visite ?

    Le mystère s’épaissit jusqu’à ce que Dinkel dévoile …

    Un inoubliable moment de théâtre, un face-à-face puissant entre ces deux acteurs éblouissants et bouleversants… Vengeance, pardon, résilience… comment vivre après... ?

    Ne ratez pas un tel moment que la presse et les spectateurs acclament.

    Du jeudi au dimanche au théâtre de la Contrescarpe (22 € par billetReduc)

    Colette C