Te voilà joli mois de Mai
Avec ton beau muguet
Un petit bouquet
Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
En ce jour du 1er mai
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Te voilà joli mois de Mai
Avec ton beau muguet
Un petit bouquet
Quelques brins de douceur
Quelques brins de bonheur
En ce jour du 1er mai
Jusqu'au 23 août la Bibliothèque nationale de France, site François Mitterrand nous convie à nous étonner devant le destin fabuleux de cette chanteuse des rues devenue une véritable idole populaire.
Sur le parcours proposé le visiteur assiste à l'évolution de cette femme du peuple qui grâce à sa voix exceptionnelle deviendra une véritable légende.
On peut passer plusieurs heures dans cette exposition ( déjà 50 titres de chansons vous sont proposés dans l'audioguide compris dans la visite) qui rassemble une infinité de souvenirs (lettres, photos...) autour de la mythique robe noire.
Un karaoké vous permet même, si vous vous en sentez capable, de "chanter Piaf".
Une exposition qui ne peut que vous laisser un grand souvenir.
Jean-Paul
Entre deux mots, ici "escapade - lumière".
Ces 2 mots sont comme une parenthèse du texte à construire. Chaque phrase reprend à la ligne suivante le mot qui le termine.
L'Escapade pour toi le lapin
Toi le lapin c'est tous les jours
Les jours pour toi sont une suite
Suite d'abondance, suite de disette
Disette tu n'en connais pas trop
Pas trop de gourmandise dans les jardins
Les jardins des hommes où pousse la tendre salade
Tendre salade que tu oublias le danger
le danger du coup de fusil
Le fusil du fermier qui te mitonnerait bien
Bien mitonné en civet
Civet de lièvre ce serait mieux
Mieux pour toi qu'il vise donc ton cousin
Ton cousin si haut sur pattes
Pattes de lapin en porte bonheur
Bonheur que chacun recherche
Recherche cherche fortune
Fortune d'une rencontre, un jour
Un jour comme un autre
Autre chose, autre temps
Temps d'un espace libre
Libre de tout libre de rien
Rien que de la lumière.
France C.
C'est à un voyage hors du temps que nous convie le Musée du régiment des Cosaques, lové dans un hôtel particulier à Courbevoie.
Une belle inconnue en médaillon sur la façade immaculée nous invite à franchir le seuil. Cet endroit était le mess des officiers et sert encore aujourd'hui de lieu d'accueil pour les militaires.
Il règne une odeur de renfermé, "comme un secret"
Catherine II, Impératrice de Russie a créé le Régiment des Cosaques de la garde en 1775.
Le musée date de 1929 et a réouvert depuis environ 5 ans.
Notre guide russe nous fait entrer dans la pièce principale. Lire la suite ICI
Jacqueline F
Comment appelle-t-on un créateur de grilles de mots croisés ?
Réponse lundi prochain
Trouvez le nom d'un personnage militaire à l'aide de l'indication suivante : Après avoir combattu en Uruguay et vaincu les Autrichiens, cet étranger fut élu député en France.
En cette fin du mois de février 2015, le soleil était revenu sur la Riviera française pour notre plus grand bonheur.
En effet, si le célèbre Carnaval de Nice n’avait pu démarrer mi-février en raison des intempéries, il s’est achevé, avec nous, triomphalement, à la fin du mois.
La bataille de fleurs traditionnelle a bien eu lieu le samedi après-midi avec un défilé de chars colorés et magnifiquement décorés, venant de tous les coins de la planète.
Devant des tribunes et des promenoirs bondés, sur fond de musiques du monde, méli-mélo de troupes, fanfares, ensembles mixant tous les styles, tous les rythmes.
Nous avons notamment vu les Italiens aux longs chapeaux, des Boliviens rivalisant de couleurs avec leurs plumes ondoyantes, des danseurs sud-américains frétillants en tutu blanc et bleu. Pendant ce temps les Tahitiens se déhanchent sous le raphia bruissant de leurs jupes tandis qu’un groupe africain couvert de peintures et de fourrures nous présente des danses tribales endiablées. Une Guggenmusik (Orphéon) suisse timbrée de sons expressifs pulvérise nos tympans. Et des acrobates déguisés en pianos, virevoltent dans tous les sens
Le roi et la reine, chacun dans leur char, reçoivent les hommages de leurs sujets, qui s’arrachent les fleurs qui leurs sont jetés, mimosas et œillets en tête.
Puis le souverain a fait ensuite, en soirée, du Corso illuminé, une des plus belles rondes nocturnes de son règne. Qui aurait été tonitruant s’il n’y avait pas eu au début la pluie maudite.
"Ce carnaval n’a jamais commencé et maintenant qu’il commence vraiment, il est déjà fini…" Commentait tristement une responsable de nos amies.
Et le roi, après un dernier tour de piste, au cœur d’une place Masséna en joie a terminé son règne sur le bûcher, suivi d’un beau feu d’artifice.
Mais ce n’était pas tout ! Sur notre belle Riviera française, se situe la charmante ville de Menton, célèbre pour son climat exceptionnel et pour sa Fête du citron. Et nous avons participé à sa 82e édition, placée sous le signe de la Chine. "Les tribulations d’un citron en Chine" étaient le thème de cette année 2015. Nous en avons eu plein les yeux, par l’invasion de couleurs des gigantesques créatures aux robes démesurément grandes, de dragons scintillants en jaune et rouge et ballons de baudruche représentant les animaux du zodiaque : un crapaud à trois pattes, un cochon porte-bonheur, un panda géant…
Et par dizaines de milliers les citrons et les oranges drapant tout ce petit monde.
Nous étions parmi les 27 000 participants, émerveillés !
À l’an prochain !
Jacques et Nicole
Jusqu'au 21 juin la B N F - site François Mitterrand - présente "François 1er, pouvoir et image". Que sait-on vraiment de lui ? On s'interroge dans l'exposition sur "la naissance d'un roi" "la roi chevalier" "le roi très chrétien" "le roi des arts" et "le roi dans l'exercice du pouvoir".
Une multitude de manuscrits enluminés, de pièces (de testons !) de médailles, de portraits (même une anamorphose ! C'est tout dire !) et d'autres documents vous sont présentés. Point d'orgue : l'épée du roi à Pavie et son armure (il mesurait entre 1,98 m et 2m)
Une exposition royale. Un livret-jeux pour les 7-11 ans vous est proposé.
Jean-Paul
Avec un tel projet de visite nous ne pouvions qu'être "enjoués". Le Musée de la toile imprimée, ne pouvait que nous "impressionner" par la présentation de cette manufacture ancienne, qui créa des kilomètres de tissus colorés, en vogue depuis Louis XV jusqu'à l'Empire.
Des tissus aux traits précis, des dessins formés de lignes fines, produit extraordinaire du cuivre gravé.
En général, nous connaissions plus ou moins le nom d'Oberkampf, si ce n'est que par la station de métro sur une ligne populaire !...
Là, nous sommes entrés dans la vie de l'entrepreneur qui enchanta les plus illustres "lignées" de son époque, par ses étoffes de coton peintes (à l'origine, les Indiennes, dont l'importation et la production étaient interdites depuis Louis XIV). La prohibition fut levée sous Louis XV, c'est ainsi qu'Oberkampf graveur et coloriste à Mulhouse, est venu sur Paris dans le but de s'installer.
Grâce à ce génie qui bouscula la fabrication artisanale en une production industrielle, ses étoffes connurent la gloire tant pour l'ameublement (plutôt les scènes) que pour le vêtement (motifs floraux).
De la grossière planche de bois, puis la plaque de cuivre et le rouleau finement gravés, des motifs monochromes aux polychromes, des scènes champêtres, historiques, d'antiquité, ou relevant de l'actualité, des chinoiseries, des semis ou parterres de fleurs, tout ceci d'après les dessins du célèbre Jean-Baptiste Huet dont la production fut très abondante.
C'est l'espace de la campagne et l'eau pure de la Bièvre qui permirent l'implantation de l'immense entreprise pour laquelle Oberkampf consacra sa vie, méritant le titre de "Manufacture Royale" et lui-même recevant des mains de Napoléon, la légion d'honneur.
Nous ne voyons que des vestiges mis en valeur par une riche collection, dans ce beau Musée. De nombreuses toiles sont exposées offrant des sujets variés (cliquez sur l'image) en fonction des goûts des époques traversées, des tenues vestimentaires, avec la possibilité d'apprécier de très près la précision et la finesse des motifs des plus grands aux plus miniaturisés.
Nous étions bien encadrés par un guide pour nous faire revivre cette entreprise composée de nombreux bâtiments, étendue sur 14 hectares,qui employa plus de 1300 personnes durant des décennies.
Toutefois sans entendre le bruissement de la petite rivière, ni la rotation des cylindres, sans l'odeur de la teinture ni frôler le souffle de l'étuve, pas plus que de saisir le bavardage des "pinceauteuses", sans suivre le va et vient des ouvriers transportant les lourds métrages à battre, ni surprendre les directives échangées de vive voix afin de surmonter les bruits de cette "ruche"... Pourtant j'ai senti, écouté, perçu l'atmosphère, touché des yeux la souplesse des toiles, vibré devant le travail de ces artistes passionnés. Croyant les voir se faufiler... Je les ai cherchés, en vain...
Toile de Jouy tu as enchanté les plus jolies femmes, tu as transformé, allégé leurs toilettes, portée aux nues par les Dames de la Cour, tu as garni les "bonbonnières" ces petites chambres calfeutrées si charmantes, tu as révolutionné le monde du textile, tu as perduré par ta diversité, tu es même devenue papier peint ou décor de vaisselle et agrémenté divers objets. Tu passes de mode, et l'on te retrouve encore et encore. En ce printemps du XXIe siècle, tu vois nous n'avons pas hésité à venir saluer tes maîtres et t'admirer dans tes couleurs d'origine superbement conservées. Tu es, et resteras dans notre mémoire, car la découverte de ton important Musée nous a offert un moment très agréable.
Mais il est vrai que justement, nous marquons le bicentenaire de la disparition de ton créateur : Christophe-Philippe Oberkampf.
Ninette