Savez-vous ce qui s'est passé le 17 avril 1967 au 52 de la rue de Charenton ?
Cherchez bien. Mais si vous savez. Allez encore un petit effort.
Vraiment vous donnez votre langue au chat ?
Voici la réponse :
Françoisemd
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Savez-vous ce qui s'est passé le 17 avril 1967 au 52 de la rue de Charenton ?
Cherchez bien. Mais si vous savez. Allez encore un petit effort.
Vraiment vous donnez votre langue au chat ?
Voici la réponse :
Françoisemd
Frédéric Ferney dans ce "Tu seras un raté, mon fils" nous raconte les relations entre Churchill et son père.
Lord Randolph, descendant de la prestigieuse lignée des Marlborough, mort le 24 janvier 1895 à 46 ans, Winston cherchera toute sa vie à l'épater et lui donner tort. Il y réussit au-delà de toute espérance.
Ce livre nous relate la lutte, par l'action, contre le "Chien Noir" "La Dépression" des Marlborough qui le hanta toute sa vie. Il nous livre un Winston Churchill à découvrir.
Jean-Paul
C’est à une véritable fête colorée que nous sommes conviés.
Un très grand nombre d’œuvres sont exposées : diversité des périodes et des thèmes dans une présentation thématique mais non chronologique. Beaucoup de toiles représentant sa femme, Marthe. Des scènes d’intérieur avec le thème de la toilette bien sûr, mais aussi des scènes d’extérieur. Des cadrages étranges, des autoportraits, et de très grands panneaux qui nous surprennent.
Une très belle exposition à ne pas manquer.
Colette C
Au soir de sa vie Letizia Ramolino Bonaparte reçoit deux journalistes dans son palais romain où elle vit en exil. Cette femme à l'incroyable destinée va remonter le fil de ses souvenirs.
Patrick de Carolis par ses échanges imaginaires entre la mère de Nabulio devenu Napoléon 1er et deux journalistes du "Magasin Universel" nous la rend très proche et nous permet une connaissance plus intime du Premier Empire.
Ce livre est une vraie leçon d'Histoire.
Jean-Paul
Malgré la fraicheur, nous sommes partis le nez au vent et l'appareil photo en main.
Bien que le ciel fut brumeux de beaux plongeons sur l'horizon du parc de Belleville pour le 1er groupe.
Pour le 2è groupe, les quais étaient dégagés mais la concentration fut nécessaire pour satisfaire l'objet de la balade "du haut vers le bas".
Dans le parc de la butte du chapeau rouge notre regard s'est promené du haut vers le bas à la recherche du chapeau rouge. Non trouvé à ce jour par le 3è groupe.
Nous, le 4è groupe, pour prendre de la hauteur, nous nous sommes dirigés vers le pont de la porte de Vincennes. Chemin faisant notre regard a été attiré par les bouches du Métro où les usagers s’engouffrent du haut vers le bas.
Comme d'habitude, nous nous sommes tous retrouvés à la cafeteria de Casino pour déjeuner et parler de notre matinée.
Les photographes d'Arvem
© Les photographes Arvem
Suite des photos ICI
Savez-vous ce qui s'est passé le 17 avril 1967 au 52 de la rue de Charenton ?
Cherchez bien. Mais si vous savez. Allez encore un petit effort.
Vraiment vous donnez votre langue au chat ?
Françoisemd
Réponse lundi prochain
Ils sont célèbres mais leurs noms et prénoms sont aussi des noms communs. Ex : Tissu en laine d'animal en chanson = Serge Lama.
Qui se cache derrière ce groupe de mots "La pièce du berger" ?
Le mérite de ce film qui aurait pu se passer d'effets spéciaux -la facilité du fantastique tout au long en diminuant la portée - est dans l'étude des dérèglements psychiques liés au métier d'acteur.
Dans ce milieu la difficulté à vivre brouille les critères du bon jeu et du médiocre. Tous et toutes sont de pauvres hères cherchant à combler un vide exorbitant. Et à dissimuler leur vulnérabilité, leur manque de confiance en soi derrière une crudité de langage et de manières virant parfois à l'obscénité.
Ce film séduisant ne serait-ce que par son excellente interprétation reste centré sur ces drames personnels et sur l'interrogation archaïque qu'ils suscitent - la citation d'Hamlet le confirme - quant au sens profond du théâtre pour qui le pratique, y met son va tout.
On peut y perdre son âme et on n'y trouve dans les meilleurs cas rien d'autre que le succès. Jamais ou exceptionnellement cette réponse métaphysique absolue dont nous sommes en quête et qui est le ressort de tout art. Entre tous, celui-ci, emboîtement de masques, peut rendre mortelle toute mise à nu.
Marie-Claire Calmus
Jusqu'au 24 mai 2015 le Petit Palais présente l'exposition "Les bas-fonds du baroque. La Rome du vice et de la vertu". Il s'en passait de belles dans l'envers du décor de la Rome fastueuse de la première moitié du XVIIeme siècle.
Ne vous attendez pas à rencontrer des peintures du Caravage mais celles d'artistes italiens, français (Claude Lorrain) espagnols (Ribera) flamands et hollandais, qui par leurs œuvres vous décriront et réinventeront l'univers des bas-fonds et de ses dérives. Ils rendent notamment le visiteur complice des beuveries et des tricheries liées aux jeux de cartes, et de bien d'autres turpitudes.
Une exposition pleine de surprises.
Jean-Paul