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Nos visites guidées - Page 2

  • Expo "Bellini"

    paris,bellini,expoQuel plaisir d’aller au musée Jacquemart André avec ARVEM  un dimanche de pentecôte !

    Pendant une demi heure, avant l’entrée du public, nous avons eu le musée rien que pour nous. La visite était accompagnée par une conférencière ayant fait son Master sur la peinture vénitienne à l’époque de Bellini. Quel régal !

    L’exposition a pour titre "Giovanni Bellini – Influences croisées". En effet Bellini (1435-1516), qui a eu une très longue carrière, a influencé et a été influencé par un grand nombre de peintres. Giovanni Bellni est le fils illégitime de Jacopo Bellini qui est peintre et a un atelier florissant à Venise. Il se forme dans cet atelier avec son frère Gentile Bellini.

    À cette époque, Venise était encore très influencée par le style byzantin. Bellini a appris la technique des icônes dans l’atelier de son père.

    Bellini va être également influencé par Andréa Montegna, venu de Padoue, qui est devenu son beau frère. Montegna fut sans doute influencé par le sculpteur Donatello qui resta une dizaine d’années à Padoue.

    La rencontre avec Antonello de Messine, qui passe à Venise vers 1475, marque un tournant pour Giovanni.. Antonello de Messine a été en Italie l’un des premiers à abandonner la peinture à la détrempe pour la peinture à l’huile, technique largement utilisée par les Nordiques et notamment Van Eyck. Outre les techniques de peinture, Bellini retient d’Antonello et des flamands la leçon du portrait.

    Après la mort de son père, le départ de Montegna pour Mantoue et le départ de son frère Gentile, Bellini récupère l’atelier de son père.

    C’est dans cet atelier qu’il accueille de jeunes artistes dont les plus illustres furent Giorgione et Titien. Si les élèves furent influencés par l’art de leur maître, Bellini saura également apprendre auprès d’eux.

    EvelyneS

     

  • Expo "Néo-Romantique : Un moment oublié de l'art moderne 1926-1972"

    e 18 mars, nous avons visité cette exposition  avec l'Arvem au Musée Marmottan - Monet.

    Moment oublié de l’Art moderne, semble-t-il ? Je n’en doute pas… Difficile de le définir exactement dans le temps, (pour certains, cela serait 1920-1936, d’autre 1937-1972, et pour l’expo 1926-1972 !) ni même ce qu’elle représente… Après plusieurs recherches plutôt infructueuses, j’espérais recevoir plus d’informations auprès d’un guide, Nul n’en fut le cas. Il me semble qu’elle manquait d'enthousiasme, et certainement de passion dans ce rôle de guide. Avec de surcroit un matériel "légèrement défaillant", sauf sa montre que son œil surveillait, régulièrement. J’ai eu l’occasion de rencontrer, d’autre guide, qui ont su transmettre leur passion, heureusement !

    Mais je pars du principe, qu’en "Art", rien n’est complètement négatif…. Alors je cherche…. 

    Enfin, quelques petites choses attirent ma curiosité. 

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  • Expo "L'art déco France-Amérique du Nord"

    Avec Arvem visite de l'exposition l'Art déco France - Amérique du Nord à la cité de l'architecture et du patrimoine

    Les liens France Amérique, ne datent pas d’aujourd’hui… Lafayette … et encore plus loin, certainement. Qu’importe ! En traversant l’Atlantique à vol d’oiseau il y a toujours 5800 km…. 

    Mais tout s’échange et évolue selon les saisons, ou plus exactement l’époque.

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  • Expo "Black Indians"

    Tout le monde connait les Peaux Rouges (Red Indians). Au musée du quai Branly, l’exposition portait sur les Black Indians. Exposition de costumes très riches en couleurs lors des carnavals des afroaméricains de la Nouvelle Orléans.

    Selon la tradition, ces costumes ont été créés par les Africains-Américains au cours du 19ème siècle afin d’honorer la mémoire des communautés amérindiennes qui les ont côtoyés et aidés durant la période de l’esclavage.

    Jean-YvesG

    paris,expo
    2023© by JeanYvesG

  • Expo "Charles Ray"

    Nous avons rendez-vous, avec Charles Ray, au musée Centre Pompidou, où une dizaine de ses œuvres sont exposées.  Une autre exposition, simultanée, à lieu à la Bourse du Commerce - Pinault Collection, avec une vingtaine d’autres sculptures. 

    Le lieu de la "réception" définit, tout de même un peu, le style de l’artiste : contemporain. Mais toujours curieuse, j’y vais. La guide, nous informe, que l’artiste était présent au vernissage, ce qui permit certaines explications bien particulières. 

    Dès l’entrée en salle, une voiture, complètement défoncée, réalisée en fibre de verre peinte de gris. C’est un modèle Pontiac accidentée (Unpainted Sculpture, 1997). D’après l’auteur cela correspond au "temps qui s’arrête". La voiture fut "découpée", pour être réalisée en fibre de verre, par "tranche" puis "remontée". 

    À proximité, un "Self portrait", grandeur nature, en fibre de verre peinte, vêtements, lunettes, cheveux synthétiques, en verre et métal. Je n’ai jamais vu un artiste, réaliser sa propre sculpture, certes… j’ai encore beaucoup de choses à voir ! Pas mal le monsieur, mais je lui préfère son chapeau, et surtout ses lunettes (rare sur le nez d’une sculpture) ! 

    Un peu plus loin, "Portrait of the artist’s Mother", une femme allongée, soutenant sa tête, semble se reposer. Elle est plus grande que nature. Ses yeux sont peints, ainsi que de grandes fleurs sur le corps. Surprise comme beaucoup d’entre nous… elle fut réalisée dans l'atelier de l'artiste, en papier "fait main". Matière à la fois malléable et résistante pour permettre un rendu du détail des œuvres. L’ensemble pèse 9 kg. Charles Ray précisa : "Je suis sculpteur de métier, mais la nuit je dessine des fleurs afin de laisser libre cours à mon amour de la couleur. Comme des fleurs sauvages dans un pré, ces dessins viennent d'eux-mêmes."

    Un mannequin, (Fall ’91, créée en 1992), agrandit à 30 %, d’une hauteur de 2,05 m, en fibre de verre peinte, cheveux synthétiques, vêtements et bijoux, en verre et métal, elle pèse 90 kg. Nous n’avons pas pu résister au plaisir de comparer l’une d’entre nous, à ses côtés… il n’y a que la jupe qui dépareille… et la taille ! Chacun sa préférence, pour son mannequin ! 

    Puis nous arrivons, devant "Shoe Tie, 2012" en Acier inoxydable. Il s’agit d’un homme, accroupit, il lace sa chaussure droite. Je ne vois pas la chaussure… ni même son pantalon ! J’ai oublié de vous préciser, qu’il a emprunté le costume d’Adam… Quant à Charles Ray il dira à propos de cette sculpture : "Un matin, sur le chemin, alors que je refaisais mes lacets dans l'obscurité, je me disais que si un fantôme devait lacer sa chaussure, il n'aurait pas besoin d'avoir une chaussure. Je ne crois pas aux fantômes, mais la logique de cette idée m'est restée. Finalement, j'ai perçu ce geste comme une sculpture." Témoignage, qui montre que la "parole" de l’artiste change tout ! 

    En suivant notre chemin on tombe face à face, avec toute une famille… composée de 2 adultes, une fillette et un garçon. Ils ont tous, sensiblement la même taille, agrandie pour les enfants et diminuée pour les parents, mais aux proportions correctes. 

    La nudité accentuée et la taille des personnages, me semble… juste un peu bizarre !

    À proximité, un tronc d’arbre couché (Hinoki, 2007), je ne crois, qu’il soit ici, pour permettre le repos, des visiteurs fatigués…  Charles Ray aurait repéré un chêne mort dans un champ de Californie, Il décida de le représenter, mais en cyprès japonais. "C'est une image, que vous regardez, ce n'est pas un arbre." Précisa-t-il, lors du vernissage... 

    Toujours est-il, qu’un tronc de cette taille, ne pouvait suivre le chemin habituel des œuvres pour parvenir dans la salle du Centre Pompidou. Qu’à cela ne tienne ! Le transport releva de l'exploit, la sculpture fut montée par une grue, nous précisa la guide. 

    Tout aussi surprenant… Les bateaux mis en bouteille, par des maquettistes, c’est courant. Mais un artiste mettre lui-même sa miniature, en bouteille ! cela n’est pas fréquent…. Seule information, la sculpture fut réalisée en fibre de verre, avant la bouteille. Mais là encore cela interpelle, par quelle "magie" technologique le personnage pénètre dans la bouteille ?  L’auteur n’a rien dévoilé à ce sujet, lors du vernissage, alors mystère !

    Charles Ray, change souvent de technique et de matériaux. Fibre de verre, aluminium peint, papier, cire perdue, acier inoxydable. ….  La guide y revient souvent, lors de la visite.  Après ce petit tour, dix œuvres, c’est rapide, malgré 1h30, du savoir de la guide qui sut retenir toute mon attention, pour un contemporain ! C’est certainement cela qui m’a le plus intéressé…. Je reconnais que ces statuts en acier inoxydable rendent un effet curieux, ce qui a attiré, et bien plu à mon œil profane. … 

    Arletteck

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    ©2022by ArletteCk

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  • Missions étrangères de Paris "Son jardin"

    Balade dans un petit jardin (privé !) de les Missions Étrangères, en plein centre de Paris….

    Bizarre, ce jardin, ne m’est pas inconnu. Déjà visité, lors d’une précédente exposition…

    Mais cette première visite n’avait pas attiré ma curiosité à ce point !

    En tant que "petit" jardin, à la française, il a tout de même une superficie de 1000 m2. Il fut dessiné en 1663 par un disciple de Le Notre, (le "jardinier" de Louis XIV !). Le plan n’a, pratiquement, jamais été modifier, même si quelques stèles ont été installées au fils des années.  

    Jardin privé, parce que, vue de la rue, rien ne laisse penser qu’il existe. De plus, le jardin n’est ouvert au public, que lors : des Journée Européenne du Patrimoine, et des Journée des Jardins.

    Jardin privé, aussi, parce qu’il appartient aux Missions Étrangères de Paris depuis 1684, et qu’il est caché derrière les logis des séminaires de celle-ci. Et de surcroit, pour y accéder il faut tout d’abord traverser le hall de ce bâtiment. 

    Mais avant même cela, il faut franchir le portail, ce qui ne peut se faire qu’en suivant un guide…. 

    Bref, on l’a bien compris : c’est privé !!! 

    À l’entrée du jardin, un cadran solaire, des fois, que le temps ait son importance ! 

    Il date de 1737, C’est une méridienne dont les traces sont orientées vers l’occident, gravées sur un muret en pierre. Le soleil, étant au rendez-vous, l’heure "définie" est 14 h 30.

    Une fois arrivé dans le jardin, un superbe concert de "Coucou-Cuicui", en sol majeur, nous accueille. Ignorante en la matière, je ne saurais dire qui mène l’orchestre ! Rien ne trouble celui-ci, bien que les bâtisses de la ville l’entourent. Et parmi celles-ci, mitoyenne, celle du 118 rue du Bac, dont les fenêtres ont un regard sur ce jardin. 

    Chateaubriand, y demeura en 1838 et y est mort en juillet 1848 et y trouva quelques inspirations… 

    "En traçant ces derniers mots, le 16 novembre 1841, ma fenêtre, qui donne à l’ouest sur les jardins des Missions étrangères, est ouverte : il est six heures du matin … " — Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe.

    À l’intérieur du jardin, un chemin déambule, devant différentes curiosités. Chacune commémore un évènement relatif aux missionnaires. 

    L’oratoire : Les aspirants aux Missions étrangères s'y réunissaient chaque soir pendant un mois et prier pour les missionnaires qui venaient de partir. À cette occasion un cierge sur lequel étaient inscrits les noms des partants, était allumé. Cette tradition remonte au naufrage du Mercedes en mer de Chine en 1860, où huit missionnaires trouvèrent la mort. De plus dans cet oratoire, autour de la statue de la Vierge, figurent les noms de divers missionnaires canonisés en particulier par Jean-Paul II. 

    Stèle coréenne. Située près de l’oratoire la stèle coréenne offerte par la cathédrale de Séoul à l’occasion de la canonisation des martyrs de Corée en 2003. La stèle porte les noms des martyrs, elle est soutenue par une tortue, qui symbolise la terre et la longévité, Elle est couronnée d’un chapeau avec deux dragons, symbolisant le ciel. La stèle représente l’union de la Terre et du Ciel dans l’Homme. 

    À proximité, une plaque informe, sa raison d’être. Elle est accompagnée d’une lanterne de pierre, et d’une inscription votive.

    La cloche chinoise : offerte en 1858 par le contre-amiral Charles Rigault de Genouilly au nom du corps français à Canton. Elle a été placée dans le jardin en 1873. Elle porte une inscription chinoise disant qu’elle était dédiée à Kouan-in, déesse bouddhique de la miséricorde en 1721. 

    À part ces stèles, 4 statuts en bronze, ont leur place dans le jardin, elles représentent, le Christ en Croix, le Sacré-Cœur, (dévotion à Jésus), Saint Pierre, et Saint-Joseph. 

    Ce jardin détient aussi un autre trésor… Il est planté de nombreuses essences rares, rapportées par les missionnaires en voyage au bout du monde. Sans oublier des abeilles qui y ont quelques royaumes… 

    Au XXe siècle, certaines plantes exotiques découvertes par le père Jean-Marie Delavay mort en Chine le 31 décembre 1895, botaniste de plantes en Chine, sont ajoutées au jardin. Ce missionnaire avait rassemblé une des collections botaniques les plus importantes de la fin du XIXe siècle, dans une région limitée du Yunnan.   

    Plusieurs autres missionnaires botanistes en Asie, offrent une variété de plantes, comme les rosiers Soulieana, Moyesii ou Roxburghii...et bien d’autres encore

    Cependant, mes connaissances, en botanique, tout comme le concert, "Coucou Cuicui" sont peu fertiles…. Alors je me fais la promesse d’y retourner lors des portes ouvertes….

    En attendant, je regarde, je respire, et j’écoute…

    Et puis, en quittant ce "petit" jardin, je jette un coup d’œil sur la méridienne. Son ombre est plus courte …. Oui, le temps passe trop vite. ! 

    Arletteck

    paris

    ©2021by ArletteCk

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  • Hôtel Turgot

    paris,hôtel turgotARVEM a eu la bonne idée de nous proposer la visite de l'Hôtel Turgot, magnifique hôtel particulier du 18ème siècle, où est installée la fondation CUSTODIA (bonne garde en latin) créée par un couple de néerlandais, passionnés d'art pour y réunir leur superbe collection : peintures, gravures, dessins, bibelots... et un mobilier somptueux, autant qu'original pour certaines pièces.

    Cette visite a été un véritable enchantement.... Un grand merci Jeannette. 

    AnnickB

     

  • Expo " Ilya Répine"

    Voyage au pays de Ilya Répine (1844-1930)

    Grand peintre russe, il est passé dans les oubliettes pendant un certain temps, puis il surgit… Toute première rétrospective française, au Petit Palais, ses toiles soulèvent légèrement son œuvre. Près de 100 tableaux, ont fait le voyage, entre Saint-Pétersbourg et Paris, pour permettre cette rencontre. Pourtant, il en restera (bien dommage) juste quelques-uns que notre mémoire qui sélectionne tout, automatiquement.

    Dans la première salle, tout de suite le regard est attiré, à ne plus voir autre chose que cette toile, gigantesque (presque 3m de long), scène où des hommes, tirent de toute leur force un bateau. Le tableau est nommé "Les Bateliers de la Volga". Une sensation sombre et dure de la souffrance de labeur, en contradiction avec la luminosité de la peinture. Puis c’est au tour de l’oreille d’être attirée par la voix de la guide, non, ce n’est pas une histoire qu’elle conte, c’est une vie qu’elle raconte…. L’auteur par sa peinture, témoin historique, de "sa" Russie…

    Dans sa jeunesse Ilya Répine travaille comme peintre d’icônes, dans un atelier itinérant, en fonction des commandes. Très vite cette tâche ne le satisfait plus.

    Dès le début de son activité créatrice, il fait partie du mouvement des "Ambulants" (groupe d’artiste, dans les années 1860 qui au sein de l’Académie des Beaux-Arts de Saint Pétersbourg, cherche à mettre en avant la réalité de la vie du peuple).

    Répine, devient l’un des peintres importants du réalisme russe. Il passera quelques temps à Paris : Montmartre.

    Par la grandeur, de ses peintures (non seulement en taille !) Il devient notamment le peintre témoignant de la vie, et surtout de l’histoire de Russie. Les Cosaques Zaporogues écrivant une lettre au sultan ...... (1880-1891) dépasse les 3,50 mètres. Ce tableau retrace le fait historique, montrant des Cosaques Zaporogues rédigeant un courrier débordant de mépris et d'insultes, au sultan ottoman, lui refusant leur soutien.

    Le Visiteur inattendu représente la première réaction de la famille au retour d'exil d'un "narodnik" (groupe responsable de l’assassinat du Tsar Alexandre II). En 1884 Répine reçoit sa première "commande d'État" : il lui est proposé de peindre le tableau "Alexandre III recevant les doyens des cantons dans la cour du palais Petrovski à Moscou, grande peinture officielle (H. 3m, / 4,50). Le cadre, de ce tableau est orné des 25 blasons des subdivisions administratives de la Russie, ainsi que d’éléments décoratifs de ces régions.

    Répine fut aussi un grand portraitiste, près de 300 portraits, portent sa signature.

    Ses différents modèles : artistes, scientifiques, hommes politiques, femmes de la haute société… Il reçoit d’ailleurs de très nombreuses commandes. Marié et père, Il peint et repeint son épouse Verra, sa fille, son fils Iouri, qui sera peintre comme lui. Sans oublier les autoportraits, notamment avec Verra.  Ses amis, musiciens, acteurs, écrivains lui serviront aussi de modèle. Parmi eux, Léon Tolstoï, aussi bien un livre à la main, pieds nus, ou labourant, dont l’amitié ne fait que croitre, malgré leurs divergences, dans Tolstoï à travers les yeux d'Ilya Répine, plus d’une vingtaine de tableaux de Tolstoï, (plus croquis et dessins) sont de sa main. >

    Répine, illustrera un certain nombre de manuscrits de Tolstoï, mais pour d’autres auteurs aussi. 

    En 1899 Répine, et sa nouvelle compagne, Natalia Nordmann, s’installent à "Les Pénates", à Kuokkala, située dans le Grand-duché de Finlande, une partie de l'Empire russe, devenue indépendante en 1918, Répine est coupé de la Russie.

    Il finira ses jours en 1930, dans cette ville. En 1948, elle fut renommée Repino pour honorer le peintre Ilya Répine. Il ne reverra jamais sa Russie natale, malgré les sollicitations de l’URSS.

    Arletteck

    2021  12  EXPO  REPINE (1).jpg

    ©2021by Arletteck

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  • Palais Garnier

    J'ai été éblouie par la magnificence de l'Opéra Garnier. Un vrai bijou ! Et par Charles Garnier, architecte talentueux et précurseur qui avait "tout" pensé.

    Cependant, je sentis en notre guide beaucoup de mise en scène, prenant la pose de façon quelque peu arrogante. J'aurais volontiers accepté son attitude si les faits suivants n'étaient pas survenus :

    - Il nous posait sans cesse des questions et attendait trop longtemps les réponses, comme si c'était un jeu.
    - Il mettait trop l'accent sur l'architecture - qu'il ne fallait surtout pas éluder - et non l'histoire, la vie des artistes, des décorateurs etc...
    - car l'Opéra Garnier est une Société dans la Société : tous les corps de métier sont représentés et rattachés à l'Opéra et méritent qu'un guide en parle en quelques mots.
    - Puis la non-mention de la fameuse fresque de Chagall au plafond et son histoire est un manquement que j'ai du mal à admettre.

    Je me suis sentie frustrée par le manque d'informations et la perte de temps occupée par ses questions, quelques réflexions d'ordre personnel  (la désorganisation du Palais... les interdictions en tous genres) qui n'apportaient rien à mon attente et... cette discussion de près de 10 minutes avec un des employés m'a véritablement choquée.

    MartineC