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Nos visites guidées

  • 2) Expo "Paul Poiret. La mode en fête"

    paris,poiret,modeNous avions rendez-vous ce samedi 8 novembre à 11heures  devant le musée des Arts décoratifs pour l'expo "Paul Poiret. La mode en fête".

    La conférencière nous attendait pour commencer  la visite. Spécialisée dans la mode et le textile Elle nous a transmis avec passion l'histoire de Paul Poiret.  

    La majorité des vêtements exposés viennent de la collection personnelle  de Madame Poiret.    paris,poiret,mode

    .Je n'ai pas vu l'heure passée et la conférencière non plus.

    J'ai passé une agréable matinée.

    Andréelk

  • 1) Expo "Paul Poiret"

    Au musée des Arts décoratifs, où nous nous sommes donné rendez-vous, la pluie ne nous a pas arrêtés, car nous serons vite à l’abri. 

    paris,expo,poiret

    Les créations exposées de ce couturier nous permettent de mieux le connaitre. Au début du 20eme siècle, il révolutionne la haute couture. Il devance Coco Chanel en supprimant le corset, ce qui permet plus d’aisance pour porter ses modèles à taille haute, laisser la liberté du corps, mettre ses courbes en valeur. Ses robes aux différentes longueurs sont souples, colorées, superposition de matières comme la soie, le velours. Applications  de fourrure au col et à mi manches .Ses modèles sont inspirés de différentes cultures, broderies appliquées sur un velours bordeaux ou sur un rouge profond indéfinissable. Le boutonnage accentue la fantaisie par ses dégradés en taille et aux tons variés. Quelques modèles osent la jupe culotte.

    Notre guide nous explique les techniques de tissage, mélange des différentes matières, lissage, sens du velours. On s’imagine dans l’atelier.

    Certains modèles de couturiers plus contemporains complètent cette expo déjà très riche. J’ai fait quelques retours en arrière pour revoir les détails de plus près, ça valait la peine.

    Annick D.

  • Musée Bourdelle

    Ne connaissant ni l’endroit, ni le musée où il se trouvait l’expo, d’autant plus que la ligne 6, était fermée, Yves et moi, nous décidions de partir de "bonne heure" pour  repérer le musée, de déjeuner à proximité (près de Montparnasse) cela ne devait pas être difficile et, de nous retrouver à 13h45 avec le groupe. En avant c’est parti, en bus.

    Arrivé sur place, nous apercevons de la rue, une statue équestre, superbe ! Appareil photo en main, nous approchons, et nous franchissons les portes du musée. Nous voilà au sas de sécurité, accueilli par "Bonjour, Vous pouvez entrer, visiter les ateliers et les jardins après les arcades" .

    Je réponds simplement "Oh merci beaucoup", et m’adressant à Yves "C’est bien, nous déjeunerons dehors et ensuite nous reviendrons rejoindre le groupe" .

    La jeune femme de l’accueil, souriante nous informe qu’il existe un petit restaurant au 1er étage. Oh génial !  et regardant ma montre, j’éclate de rire, qui surprend la jeune femme (et je  lui explique que je n’aimais pas être en retard !) Il était 10 h 10 ! 

    Donc pour notre visite guidée à 14 h nous avions vraiment de l’avance…. 

    Pas un chat nulle part, idéal pour nos prises de vues non ? Les jardins ? Espace de sculptures de part et d’autre derrière des arbustes, ou fleurs qui en cette saison sont plutôt dévêtues. Et puis à l’opposé de la 1ère  statue équestre sans cavalier, une autre avec son cavalier représente le Générale Alvearparis,bourdelle, qui apporta l’indépendance à l’Argentine. La statue fut hélitreuillée, là au fonds du jardin ! (confidence de l’un des agents du musée à Yves, qui lui posa la question avant de monter déjeuner).

    Le guide nous le connaissions… suite à de précédentes visites… mais il est nécessaire de "rafraichir la mémoire" des règles du "canon", du "faune"…. L’art de l’enseignement n’est-ce pas la répétition ? Mais aucune lassitude à l’écouter. 

    Et surtout ces quelques "secrets"… 

    paris,bourdelleLa sculpture Héraclès archer….. Celle qui permit à Bourdelle de se faire reconnaitre parmi lparis,bourdellees "Grands" Pour cette œuvre, Bourdelle demanda à un ami, militaire et sportif, le commandant André Doyen-Parigot, de poser pour lui. Son visage apparaît sur la 5ème étude. L’officier ne voulant pas être reconnu, ni par ses amis ni ses officiers, Bourdelle modifia la tête de son modèle, et lui donner les traits d’un jeune grec…,  (déjà un droit à l’image ? !).

     

    paris,bourdelleEt puis, ce buste enfantin … qui fut le "fil déclencheur" de tout cela, ou tout simplement du Musée… Michel Cognacq, fils (enfant décédé jeune) de Gabriel Cognacq, ce dernier souhaite que Bourdelle réalise une sculpture de son fils Michel, d’après une photo, Bordelle ne travaille pas ainsi. Pourtant il réalise le buste, mais refuse de se faire payer pour "un travail pour un si jeune défunt".

     Lorsqu’en 1929, après le décès du sculpteur, Cléopâtre Bourdelle (locataire) ne peut pas garder les ateliers, c’est grâce à la générosité du mécène Gabriel Cognacq, (ni plus ni moins le neveu, et seul héritier des Cognacq-Jay… La Samaritaine !), que Cléopâtre, achète les ateliers du passage du Maine, (aujourd’hui rue Antoine Bourdelle) qui en 1949, deviennent le Musée Bourdelle. 

    Et encore, les 4 bas reliefs du Théâtre des Champs Élysées dont les traits ne sont autres que ceux d’Isadora Duncan… paris,bourdelle

    Quelques secrets, mais il en reste d’autres à y découvrir. 

    Après le départ du guide, nous nous retrouvons au 1er étage, pour prendre un thé, et trainer encore…. 

    Arrivée de bonne heure (?) mais qu’elle bonheur !!... pour juste quelque douces et bonnes heures là dans ce petit paradis du Musée Bourdelle.

    Arletteck

  • Musée Bourdelle

    cheval au jardin bourdelle (002).jpgDimanche 16 Octobre, nous avions rendez-vous à 13h50 devant le musée Bourdelle.

    Le conférencier nous attendait et  a commencé la visite par le très beau jardin.

    Il connaissait très bien l'histoire de Monsieur Antoine Bourdelle, de son vrai nom Émile-Antoine Bordelles.

    Nous avons eu une explication très détaillée de la fabrication des bronzes. gestes à l'appui.

    Je n'ai pas vu l'heure passée tellement c'était intéressant. j'ai passé une excellente après midi. 

    Merci à Arvem et au conférencier passionné de m'avoir fait découvrir ce musée.

    AndréeL

    Crédit photo : ©2025 by Andréelk

  • Expo "Jean-Baptiste Greuze"

    paris,greuze,expoVendredi soir nous avions rendez-vous (la pluie aussi)  à 18h au Petit Palais pour l'exposition Jean-Baptiste Greuse.

    La conférencière maitrisait bien son sujet. Elle était tellement impliquée dans ses explications que l'heure de la fermeture du musée est arrivée.

    Donc, impossible de refaire un tour dans le musée pour revoir ces magnifiques tableaux, dessins…….

    Merci à Arvem, j'ai passé une agréable soirée.

    AndréeL

  • Expo "Alfred Dreyfus. Vérité et justice"

    L’Affaire Dreyfus ou simplement "l’Affaire" ? 

    paris,dreyfusDans la cour du MahJ, il reçoit tous les visiteurs… Je le salue et rends "Hommage au Capitaine Dreyfus", statue ainsi nommée, par son sculpteur, Tim (pseudonyme de Louis Mitelberg).

    Nul ne l’aurait connu sans cette "Affaire", et sans tous les soulèvements, qu’elle suscitât. 

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  • exposition "Elles"

    Qui sont "Elles" ?

    Ce sont les élèves de Jean-Jacques Henner (1829-1905), peintre d’origine alsacienne.

    Cette exposition a lieu au musée Jean Jacques Henner. Ce joli musée est un hôtel particulier qui était la demeure et l’atelier du peintre Guillaume Dubufe qui l’avait acheté en 1878.

    La veuve du neveu de Jean Jacques Henner a racheté cette demeure en 1921 pour y présenter les œuvres du peintre. L’hôtel a connu de nombreuses transformations (surélévation de deux étages, ascenseur…)

    Jusqu’en 1897, les femmes n’ont pas accès à l’enseignement de l’école des Beaux-Arts. Seuls, des ateliers privés permettaient aux femmes d’apprendre la peinture. Jean Jacques Henner rejoindra l’Atelier des Dames en 1874, atelier fondé par son ami Carolus-Duran.

    Après la fermeture de cet atelier, Henner continuera à suivre certaines de ses élèves dans ses différents ateliers.

    À cette époque, il était très difficile pour les femmes de vivre de leur peinture et d’être reconnues. Certaines d’entre elles s’orientent vers l’illustration.

    paris,expositionL’exposition présente le travail d’une dizaine d’élèves. Les plus connues sont Louise Abbéma, Ottilie W.Roederstein, Madeleine Smith, Marie Petiet, Dorothy Tennant…

    Nous n’étions qu’un petit groupe d’ARVEM pour voir cette exposition mais nous avons pu profiter de la qualité et de la disponibilité du conférencier.

    À la sortie du musée, prévoyez une balade dans le quartier.

    EvelyneS