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ARVEM ASSOCIATION - Page 360

  • Expo "Sports affichez-vous !"

    affiche-musée-sport.jpgSaviez-vous qu' Edouard Vuillard et Henri de Toulouse-Lautrec ont illustré des affiches sportives ?

    Si vous voulez le vérifier, allez au Musée du sport  où jusqu'au 6 novembre on peut visionner l'exposition "Sports affichez-vous" !

    Côtoyant une exposition permanente d'objets sportifs très évocateurs (une Draisienne de 1820, un grand Bi de 1870 et bien d'autres) vous vous retrouvez transportés dans la première moitié du XXe siècle au milieu d'affiches sportives de cette époque.

    Une exposition et un musée qui méritent d'être connus.

    Jean-Paul

  • Eglise St Sulpice : les coulisses d'une restauration au Musée Carnavalet

    paris,expositionJusqu'au 3 Juillet le Musée Carnavalet présente pour ceux qui aiment cet édifice "Eglise St Sulpice : les coulisses d'une restauration".

    Depuis 1999 un échafaudage nous cachait la tour Nord haute de 70m. Les travaux commencèrent le 17 juillet 2006 et s'achevèrent le 16 janvier 2O11.

    L'exposition est très fournie et se révèle passionnante pour les amoureux de l'architecture. Elle vaut le déplacement ne serait-ce que pour la vue panoramique à 360° que l'on découvre des 70 m de cette tour, Paris est splendide. L'exposition est gratuite.

    Jean-Paul

  • George Sand

    paris,conférenceEn cette période tourmentée du début de l'été où le machisme français se révèle au grand jour, nous avons évoqué une femme libérée du 19e siècle, une femme peu ordinaire, écrivain, journaliste, engagée politiquement, républicaine soutenant les Révolutions de 1830 et 1848... J'ai nommé George Sand !

    Bien que l'Impératrice Eugénie ait sollicité pour elle un siège à l'Académie Française, elle fut simplement reconnue des Romantiques "Reine sans couronne" (belles paroles). Cependant durant le siège de Paris (1870), son nom fut donné à un ballon dirigeable qui assurait le courrier avec la province.

    Elle fut élevée par sa grand'mère aristocrate pour qui elle avait beaucoup d'admiration, et connut la pension religieuse anglaise, ce qui explique en partie sa personnalité.

    Voulant se distinguer elle changea son prénom d'Aurore en George (pour son côté anglais), portait pantalon, fumait, entre autre...

    Elle eut un mari, de nombreux amants dont Musset et Chopin, fréquentait le milieu intellectuel se liant d'amitié avec Balzac, Flaubert, Liszt, Delacroix, à Paris.

    Elle vivait également beaucoup en sa grande propriété de Nohant en Berry, observant la vie paysanne et l'idéalisant. On la découvre dans ses oeuvres "La Mare au diable", "François Le Champi", "Les Maîtres sonneurs".

    Elle eut 2 enfants :

    - Maurice (Bouli) son aîné et préféré, celui-ci bien que marié ne la quitta guère, d'ailleurs sa belle-fille aimait beaucoup George,

    - Solange au caractère affirmé dont la vie mouvementée fit que mère et fille eurent des relations difficiles

    Des tourments, des chagrins, des succès jonchèrent la vie de cette grande dame.

    Nous pourrons retrouver quelques de ses souvenirs personnels lors de notre prochaine visite au Musée Romantique, dans cet hôtel particulier, où elle était reçue les vendredis.

    En ce qui nous concerne, n'étant que simples roturiers, nous ne serons reçus que le samedi pour pratiquement terminer cette saison de rencontres.

    Ninette

  • Lire "Ninon de Lenclos"

    Ninon-de-Lenclos.jpgVoici retracé le destin unique d'une personnalité du XVIIe siècle hors du commun qui séduisait hommes (pas des moindres : Richelieu, le Grand Condé, Molière...) et femmes (Christine de Suède, Madame de Maintenon).

    Un livre passionnant "Ninon de Lenclos" par Claude et Daniell Dufresne, éditons Télémaque, qui se lit d'un trait.

    Jean-Paul

  • Expo "Jardins romantiques français 1770-1840"

    paris,expositionLe Musée Renan-Scheffer Vie Romantique propose jusqu'au 17 juillet une exposition "Jardins romantiques français 1770-1840" qui nous permet de visionner l'évolution des jardins du siècle des Lumières à l'époque romantique.

    On ne peut notamment que regretter la disparition du jardin Beaumarchais situé près de le Bastille et se féliciter du soin apporté par l'impératrice Joséphine, à la floraison de ses milliers de rosiers et autres plantes fleuries qu'elle se procurait dans divers pays, qui venaient agrémenter ses séjours à la Malmaison.

    Les croquis de Redouté "Le Raphaël des fleurs" nous séduisent toujours autant 2 siècles plus tard.

    Agréable exposition.

    Jean-Paul