Le 16 octobre 1875, l'Obéissante voiture automobile à vapeur construite par Amédée Bollée, arrive du Mans à Paris après un voyage de 18 heures et… 75 contraventions pour excès de vitesse.
Jeanet
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Le 16 octobre 1875, l'Obéissante voiture automobile à vapeur construite par Amédée Bollée, arrive du Mans à Paris après un voyage de 18 heures et… 75 contraventions pour excès de vitesse.
Jeanet
Dans la galerie les Bibliothèques 22 rue Malher IVeme métro St Paul.
Les amoureux de la "petite reine" peuvent suivre son évolution, de la draisienne (1817) au vélib de l'an 2000 en passant par le grand Bi et le tandem du Front Populaire de 1936.
Un belle et bonne exposition très pédagogique sur les "Voyages à vélo", jusqu'au 14 août .
Jean-Paul
Photos © Jeanet
Nous attendions cette journée depuis février… et puis en ce samedi 2 juillet ce fut une vraie fête, de bout en bout, à laquelle participait le soleil.
D’abord, une visite guidée de la Cathédrale St Etienne puis de la cité épiscopale et de son beau jardin voisin (salut à Jacques Bénigne Bossuet !)
Puis un exposé technique sur la fabrication du célèbre fromage Brie de Meaux AOC – le roi des fromages a-t-on dit – suivi d’une dégustation dudit très appréciée, arrosée d’un excellent Givry.
Ensuite une visite passionnante des coulisses du spectacle : décors, costumes, machineries etc. nous permit de mieux comprendre comment fonctionne cette énorme machine de 500 participants bénévoles.
Il était temps de se restaurer, pour un dîner festif au restaurant voisin "le Lauréat" où nous avons découvert une curieuse manière d’accommoder le Brie : en cocotte, façon cancoillotte, mais avec une goutte de champagne !
Ce fut enfin le spectacle "les flèches du temps" avec l’histoire de Meaux comme fil directeur.
Il était alors 22h30 et le bleu du ciel d’été commençait à s’effacer.
Disons-le tout net : ce fut grandiose à tous égards.
Dans la forme : acteurs y compris les chevaux, et leurs costumes d’époque, musique, texte, son, éclairage ; pas une fausse note.
Et dans le fond : avec cette montée dans l’histoire de Meaux, depuis l’époque romaine jusqu’à la libération de 1944 (une traction avant aux armes des FFI roulait dans la cour d’honneur !)
Avec comme point d’orgue la rédaction de l’article premier de la déclaration universelle des droits de l’homme "les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit".
Spectacle riche, coloré, chaleureux : merci à cette ville de Meaux et à cette magnifique équipe, manifestement toutes deux très motivées depuis … 30 ans !
Merci aussi à Jeannette, notre inspiratrice, à Jean-Paul, chroniqueur de la fuite de Louis XVI à Varennes par la route que nous empruntâmes, avec notre toujours excellent chauffeur Dominique.
Jacques et Nicole
(Photos © Jacques B © Martine C © Jeanet)
Qui a doublé Larry Hagman (J.R.Ewing) dans la série "Dallas" et Robert Wagner dans "l'amour du risque" ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°153
Comment appelle-t-on la seconde poche de l'estomac des ruminants ?
Le premier office de tourisme de France fut créé en 1875 à Gérardmer dans les Vosges et se nommait "le comité des promenades".
Jeanet
Pour la dernière balade en juin, une trentaine d'adhérents d'Arvem se sont réunis Place Blanche pour un grand tour dans le 9e arrondissement, afin d'évoquer la Nouvelle Athènes, qui vit dans la première moitié du XIXe siècle, se réunir des talents aussi divers que Victor Hugo, George Sand, Chopin, Berlioz, Delacroix et bien d'autres...
Tournant le dos à Montmartre, descendons la rue de Bruxelles où au n° 21 en 1902 Zola mourut asphyxié (accident ou assassinat ?).
Plus loin, rue de Clichy, arrêt devant le Théâtre de l'Oeuvre (où fut créé "l'Annonce faite à Marie"). Son entrée bien discrète nous étonna.
Au n° 39 l'anarchiste Ravachol perpétra un attentat au 2e étage et au n° 21 Victor Hugo habita avec Juliette Drouet de 1873 à 1878.
Puis rue de la Tour des Dames découvrons les jolis hôtels particuliers avec jardins de la Nouvelle Athènes, là où les stars de l'époque résidaient.
Continuons notre parcours, les plus assidus écoutent quelques commentaires supplémentaires, car il faut attendre quelques âmes égarées... (prises d'envie à fouiller dans les poubelles d'une école de mode… donc en retard et qui suivIrent la route toute droite puisqu'étant le plus court chemin ! )
À nouveau regroupés, passons au square d'Orléans hanté par le souvenir de George Sand et Chopin, puis contournons l'église Notre Dame de Lorette (Ah ! Les Lorettes), la Place Saint-Georges et l'Hôtel de la Païva (célèbre demi-mondaine : qui paye y va).
Un arrêt rue Notre Dame de Lorette devant l'atelier de Delacroix (avant de déménager place Furstemberg, les fresques de St Sulpice nécessitant un séjour plus proche de son travail). Tant qu'il logeait à cet endroit, il pouvait se rendre le vendredi, aux réunions organisées par Ary Scheffer dans son hôtel, actuellement, Musée de la Vie Romantique, qui rassemble les souvenirs de George Sand.
C'est également le but de cette promenade commentée. Comme celle-ci s'est écoulée sur deux heures, et qu'il fait très chaud, certains préfèrent s'installer dans le jardin, sous les ombrages.
Les plus courageux visitent le musée, au décor identique à celui de la propriété de Nohant où de nombreux objets, bijoux, portraits, sculptures sont regardés avec attention, au point de découvrir un passe-temps favori de George Sand "les dendrites" et leur signature originale.
Mais qu'est-ce donc ? Vous demandez-vous. Eh bien ! Maintenant, vous connaissez le chemin, vous savez que la "citronnade maison" est fraîche, que le jardin fleuri est délicieux, vous pouvez aller voir directement au rez-de-chaussée ces spécificités ! Si l'été est passé, à l'automne même, vous pourrez prendre le thé dans ce havre de paix qui nous attire tous .
Ninette
Photos @ Jeanet @ Annie T
ARVEM a déjà donné ses impressions sur "La saga des Bettencourt".
Le livre "Un milliard de secrets" de Marie-France Etchegoin plus récent, prend comme fil conducteur les "écoutes" du majordome d'André Bettencourt. On s'intéresse plus aux agissements du photographe Jean-Marie Bannier, ce qui nous permet de pénétrer plus intimement dans ce "monde impitoyable" de la grande bourgeoisie.
Les milliards d'euros valsent devant le lecteur ébahi, comme flocons lors d'une tempête de neige.
Les 2 livres se complètent bien.
Jean-Paul
Comment appelle-t-on la seconde poche de l'estomac des ruminants ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°152
1 c’est 2
2 c’est 4
3 c’est 5
4 c’est 6
5 c’est 4
10 c’est 3
Pourquoi ?
Ce square situé au 8 rue Visconti, dans le 6è, est le plus petit espace vert de Paris. Il mesure 80m² et a été créé en 2000.
Jeanet