Un homme entre deux âges est un "mûr mi-doyen".
Ninette
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Un homme entre deux âges est un "mûr mi-doyen".
Ninette
Pour ceux qui estiment important et même essentiel le rôle de la littérature dans la vie d'une Nation, pas une minute à perdre, jusqu'au 9 juillet vous pouvez vous rendre à l'exposition "Achives de la vie littéraire sous l'Occupation" à l'Hôtel de Ville (exposition bien entendu gratuite)
Plus de 800 pièces d'archives (lettres , manuscrits, photographies, livres, brochures, tracts...) illustrent la difficile situation des intellectuels qui furent aux avant-postes de la Résistance comme de la Collaboration.
Une exposition très riche qui demande même plusieurs visites si on souhaite tout visionner.
Jean-Paul
1 c’est 2
2 c’est 4
3 c’est 5
4 c’est 6
5 c’est 4
10 c’est 3
Pourquoi ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°151
Mon développement peut vous sembler illogique puisque chez moi : l’accouchement arrive avant la grossesse, l’adolescence avant l’enfance, la course avant la marche, l’écriture avant la lecture, les devoirs avant les leçons, et même la mort avant la vie. Mais ma constitution est logique et la précède même.
Qui suis-je ?
Cette soirée originale débuta par la visite guidée des coulisses de ce théâtre.
Plusieurs loges, où les artistes se préparent, qui entourent "le foyer" sorte de salon où les comédiens se retrouvent en diverses occasions.
Le coin des "habilleuses" qui entretiennent les costumes et perruques après chaque représentation, un petit atelier, puis la scène où "le chef de plateau" dispose meubles et objets et sera présent tout au long du spectacle, suivra "la conduite" tout comme les habilleuses l'ingénieur du son et l'éclairagiste.
En ce qui concerne ces deux techniques, l'informatique est entrée dans l'organisation et la diffusion offrant davantage de possibilités qu'autrefois. Sons et lumières sont programmés sur l'ordinateur suivant une répartition scrupuleuse. Une simple touche appuyée au bon moment donne l'effet souhaité.
Ceci demande aux manipulateurs beaucoup de concentration et d'attention, car pour tout écart ou erreur susceptible d'arriver sur scène, le technicien doit avoir le réflexe d'intervenir en accompagnement.
Avant le spectacle nous avons bénéficié d'un dîner sympathique au bar des artistes.
Placés aux 1er et 2eme rangs nous avons assisté à la représentation"Comédies tragiques" composée de nombreuses scènes sur divers sujets caricaturés de la société. Une multitude de rôles (donc textes à avaler), nombreux changements de costumes, un gros travail pour 4 comédiens.
En fin de séance certains ont pu échanger leurs impressions avec tous les participants, et ainsi clore la soirée.
La majorité d'entre nous a découvert ce théâtre tout proche de notre quartier.
Ninette
Chaque année, l'horloge est réglée en posant une pièce d'un penny sur le mécanisme. En effet, au sommet de la pendule se trouve une petite pile d’anciennes pièces de monnaies anglaises. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
Le principe est simple, pour la faire retarder, on ajoute une pièce et on fait l’inverse pour la faire avancer.
UNE JOURNEE HÉROIQUE
Bah ! Un vide-greniers c'est un vide-greniers ! Mais se ressemblent-ils tous ? Il semble que non !
Avec l'œil sur la météo depuis plusieurs jours, l'inquiétude montait. Plus on approchait du samedi, plus mon inquiétude grandissait... "Le pire n'est pas obligatoire" dit toujours mon mari... Donc laissons la crainte de côté et embarquons-nous dans l'aventure bien connue d'une journée particulière.
La mise en place se fait sans problème, et la matinée débute raisonnablement, jusqu'au moment où le ciel s'assombrit, bien menaçant.
Les bâches ne sont pas loin ! Mais le temps de les récupérer, voilà le vent brusquement qui se lève et des gouttes l'accompagnent. Vite chacun se précipite pour déployer les protections sur son étal.
Ah ! Je l'avais assez appréhendé ! Mon tourment se justifiait. Une bâche de 5m/4m semble facile à l'emploi ; oui, mais quand les bourrasques s'engouffrent et soulèvent cette "enveloppe" que l'on essaie toute seule désespérément de maintenir, de coincer d'un bord, et que de l'autre d'un coup se soulève, parcourir le long stand voire l'enjamber pour lutter contre l'attaquant, alors que la pluie s'active au-dessus et passe en dessous. C'est un exploit que de vouloir tout recouvrir sans dommages.
Mais ce premier épisode pluvieux est de courte durée. Alors vite il faut ôter cette couverture trempée, la secouer, essayer de la replier toujours avec seulement deux mains. De plus au sol, quelques belles flaques narguent et attirent comme un aimant le moindre objet qui s'envole.
Après cette agitation, le calme revenu, on retrouve un peu de tranquillité. Heureusement les chineurs sont là, et font oublier le souci passager !
Que nenni ! Le vent reprend de la vigueur, un regard furtif vers le ciel, va-t-il pousser les nuages bien sombres ? Eh bien oui ! Et même il les ramène : rebelote, ils nous arrosent encore.
Evidemment à nouveau précipitation sur les bâches déjà mouillées à redéployer avec les mêmes problèmes de maintien. Le va et vient recommence, quand soudain un souffle puissant brusquement soulève le plastique qui s'élève, se gonfle, monte très haut telle une voile de bateau ! Quel tableau !
Immédiatement je suis "le marin" sous son ciré trempé, qui se bat contre les éléments, attrape tant bien que mal cette haute masse légère qui claque, éclabousse le visage de ses "embruns", mais Dieu merci, sans avoir le mal de mer, malgré le tournis à courir entre le stand et "l'arrière boutique" afin de camoufler tous les emballages, là où le vent fait également des ravages à la protection précaire qui "prend le large" et se baigne délicieusement des les flaques ! Un truc de fou !
Si en mer le sel peut brûler, moi la moutarde me monte au nez... Comme précédemment, après un vif combat, la tempête se calme, les esprits aussi.
On pourrait en rire ? Non, car le manège recommencera plusieurs fois épuisant les plus accros du déballage, certains quittant les lieux plus rapidement que prévu.
Cependant, entre ces phases, les badauds toujours présents se laissent tenter, conversent avec l'exposante ce qui remonte le moral et permet de décompresser, garder le sourire commercial, malgré l'allure de chien mouillé !
Cette fois plus tôt que d'ordinaire, humide de la tête aux pieds, il faut essuyer, trier les cartons récupérables, ranger les invendus avant de stocker jusqu'à la prochaine occasion.
J'ai toujours vanté le bon côté des divers aspects de cette manifestation, mais cette 10e édition "ventée" vécue comme la plus terrible restera profondément en ma mémoire. Et toujours rentrée fourbue, avec le lendemain difficile. mais aussi quelque chose à raconter !
Et vous qui avez participé, qu'avez-vous éprouvé ?
Ninette
Lundi 4 juillet à 14h30 le Centre d'animation Maurice Ravel, restaurant "La Résidence" 6 avenue Maurice Ravel à Paris 12è, propose un thé dansant : valse, tango, paso, java .... mais aussi twist, rock, salsa, disco....
Vous êtes intéressés ! Réservation recommandée auprès de Jacques, de la part de l'association ARVEM, au 01 44 75 60 14 ou 01 44 75 60 03.
Jeanet
Mon développement peut vous sembler illogique puisque chez moi : l’accouchement arrive avant la grossesse, l’adolescence avant l’enfance, la course avant la marche, l’écriture avant la lecture, les devoirs avant les leçons, et même la mort avant la vie. Mais ma constitution est logique et la précède même.
Qui suis-je ?
Réponse jeudi prochain
À vous de jouer n°150
Découvrez le point commun de ces trois mots : Colon, sucre, livre.
Le Sucre était la devise de l'équator jusqu'en 2000
Le Colon est la monnaie du Costa Rica et du Salvador.
La livre est celle du Royaume-Uni.
La première messe de minuit retransmise à la télévision française depuis la Cathédrale Notre-Dame de Paris eut lieu le 24 décembre 1948.
Jeanet
Si vous voulez voir un film superbe, admirablement joué qui soulèvera en vous bien des questions et ne peut vous laisser indifférent, allez voir sans tarder "Omar m'a tuer".
Même si vous penchiez plutôt pour la culpabilité d'Omar Raddad (suite à la lecture de certains livres à l'époque) vous ne pouvez ensuite que vous précipiter sur les articles traitant de cette affaire, vous permettant de confirmer ou d'infirmer votre opinion.
Jean-Paul