Qu'est-ce que la prosopagnosie ?
- La peur de la pauvreté
- La peur de tout
- La peur de se tromper
Réponse lundi prochain
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Qu'est-ce que la prosopagnosie ?
Réponse lundi prochain
L'auteur nous emporte dans un style décontracté sur les traces de Che Guevara qui traversa à moto l'Amérique du Sud, accompagné d'un ami Alberto Granado, périple qui dura 5 mois et précéda de 8 ans sa participation à la prise de pouvoir de Fidel Castro à Cuba.
Le lecteur est ainsi entraîné de Buenos Aires à Caracas dans une aventure qui lui permet de comprendre dans la mesure du possible, l'état d'esprit du "Che" figure emblématique du milieu du XXeme siècle.
Jean-Paul
Écrire sur la canicule
Cela devient ridicule.
On reçoit des informations
À profusion sur l'évolution
Suivent des conseils donnés
En fonction des possibilités.
Depuis plusieurs jours
Le phénomène persiste
Avec l'été tour à tour
Bien sûr il résiste.
C'est le temps des vacances à s'offrir
Pour essayer de moins souffrir
Mais pour qu'elle destination ?
La chaleur envahit toute la France
Ses proches pays voisins aussi !
Chacun fait tout pour l'endurance
Des humains, par cet évènement saisis.
Piscines, rivières, lacs, mers sont appréciés
Alors que la nature, cultures sont épuisées.
Parfois le ciel envoie des pluies exagérées
Ce qui créer des écoulements démesurés.
Comment ne pas regretter
Les saisons d'antan et leurs particularités,
Leurs changements en douceur
L'évolution pour la nature, un bonheur
Le bien-être végétal
Nécessaire pour la vie animale,
Pour les humains, sa beauté en général
Qu'ils ne se lassaient d'admirer
Actuellement on recherche de l'aide, des actions
Ventilateurs, brumisateurs, climatisation
Repérer où trouver de la fraîcheur
Au super-marché à toute heure
Parcs et jardins ouverts, se dit
Jusqu'à la tombée de la nuit !
Mais quand on a pas ces possibilités
Alors un peu de subtilité...
Restent l'éventail, la douche, les glaces,
Les boissons fraîches et j'en passe !
Garder le moral, écouter la météo..Sic !
Qui sera moins catastrophique
Forcément deviendra sympathique.
Alors que cet écrit dormait
Cette nuit, l'orage tonnait
Une pluie abondante s'est versée
Enfin pelouse, plantes se sont redressées
Souhaitons que ces nuages bienfaiteurs
Apportent à toutes les régions du bonheur.
-°-°-°-°-°-°-°-°-
Les jours passant disons
C'est la désolation
Sécheresse, chaleur évidemment
Déclenchent dans un ultime élan
Des feux qui se multiplient
Attaquent forêts, coteaux de verdure et puis
Détruisent des maisons
De quoi perdre la raison,
Jusqu'aux champs de blé
Par la moissonneuse, brûlés !
Comment, même non concernés
Par tant d'horreur, ne pas être consternés.
C'est l'été, se changer les idées
Même en vacances on ne peut oublier
Les tragédies, comme on le dit " C'est la vie" !
Ninette
Quelques mots en vigueur au 1er janvier 2024 - OS9
Jeanet
Thème : Une histoire qui utilise les couleurs. (Atelier du 10 mars 2025, animé par Marie Dp)
La couleur du retour
Denis est de retour au pays. On le reconnaît à sa chevelure d'un roux flamboyant.
Cela faisait dix ans qu'il avait quitté la maison familiale. Le jour de son départ, son père avait piqué une colère mémorable. Il s'était fâché très fort. Il était devenu rouge écarlate… au bord de l'apoplexie. Ces deux là ne se sont jamais bien entendus.
Sa mère, blanche comme un linge, a beaucoup pleuré. Elle tortillait son tablier bleu entre ses doigts noueux.
Denis s'est éloigné avec son sac à dos orange fluo, histoire d'être visible. En chemin il a rencontré le facteur, fringant dans son uniforme indigo.
-"Alors, Denis, on prend la route ?"
-"Oui, je vais me mettre au vert de l'autre côté de l'Atlantique. Je ne suis pas superstitieux : j'aime le vert-de-gris couleur du dollar !"
Ces dix années ont ressemblé à l'éternité pour sa mère.
Quand son père est décédé il y a deux ans Denis n'est pas venu aux obsèques. Même mort il redoutait un tête-à-tête avec ce père si dur comme l'acier. Mais, il s'était promis de revenir …. pour sa mère. Il reviendra chercher la sérénité. Aujourd'hui, il est là.
Il descend le petit chemin creux couvert d'une boue grisâtre… toujours aussi tortueux.
Il respire l'odeur du colza jaune d'or éclatant qui semble s'étaler sur un ciel d'azur. On dirait un tableau de Van Gogh.
Il se sent revivre.
Soudain, au détour du dernier petit virage, derrière le toit rouge du presbytère, Denis aperçoit une petite silhouette noire. Il accélère le pas. Cette silhouette prend forme. Elle porte un joli châle violet. C'est sa mère !
Et, serrer cette petite femme fluette dans ses bras musclés et bronzés, c'est un bonheur indicible. Tous les deux pleurent, mais pour une fois, ce sont des larmes de joie.
Pour voir la vie en rose !
Marie Dp
Quelques mots en vigueur au 1er janvier 2024 - OS9
Jeanet
De Gustave Flaubert
Ce récit corrosif de la vie de province marque l’invention d’une nouvelle façon d’écrire et de représenter le monde, subversive sans en avoir l’air, qui fait d’Emma Bovary l’incarnation d’une protestation contre la banalité du réel. On est entraîné….
JacquesB
Thème : Insoutenable odeur de Vendée.
16 juin 2025 - Animateur Jean O
Oh , la vache !
Connaissez-vous la Vendée, ses plages et sa campagne ?
J'adore la côte et la dégustation des fruits de mer reste une activité qui éveille tous les sens. Avec Mick, nous avons loué un studio à Jard-sur-Mer. Nous nous sommes délestés de nos bagages et de nos souvenirs de bureau.
Ah, les bains de mer vivifiants !
Or, un matin le ciel est gris. Nous décidons de randonner, histoire de découvrir l'arrière-pays.
Nous voici harnachés. Le pique-nique est prêt. Bien sûr , il y a du jambon de Vendée, moelleux et odorant, du pain de campagne croustillant et une bouteille de rosé.
La campagne n'a rien de pittoresque. Le paysage est plutôt monotone et plat. Nous passons devant des bosquets, nous
longeons des prairies dans lesquelles des vaches paissent.
Sans nous consulter, nous déclarons que la faim nous tenaille. À l'ombre d'un chêne, à quelques mètres d'une grande ferme, nous nous installons.
Ah, la Nature, quelle merveille !
Tout est déballé.
Soudain, je m'étonne.
-"C'est quoi cette odeur. C'est horrible. Je n'ai jamais senti un truc aussi pestilentiel.".
Mick n'a rien remarqué.
-"Oui, comme d'habitude, toi, tu ne sens rien ! Moi, je ne reste pas là."
L'odeur devient de plus en plus prégnante.
Ça sent la bouse de vache, le purin, le fumier, bref c'est un vrai remugle.
Mick, qui se veut diplomate déclare :
-"C'est une question de direction du vent. On peut changer d'endroit. Le vent vient de l'ouest. installons-nous là-bas .
Nous remballons le pique-nique pour nous poser 200 mètres plus loin. -
"Ah, quelle horreur ! Ça recommence ! En pire".
Et là, Mick s'écrie :
-" L'odeur !!! Je vais vomir. D'où ça vient ?"
Nous inspectons les environs. Derrière la ferme, nous apercevons des talus enveloppés de plastique noir.
L'odeur vient de là.
Nous apprendrons plus tard qu'il s'agit d'herbe à fourrage qui est conservée ainsi pour servir de nourriture aux vaches pendant la période hivernale.
On appelle cette méthode : l'ensilage.
Nous sommes retournés vers la plage et malgré les nuages quelque peu menaçants nous avons, enfin, dégusté nos sandwichs.
L'air iodé de la mer a atténué le souvenir de la puanteur "bucolique !"
C'est vraiment une odeur très forte que j'associe à la campagne vendéenne.
Pour conjurer le sort, l'odeur de la brioche vendéenne m'a réconciliée avec la Vendée.
Marie DP
Première découverte
LA MAISON D'ANDRÉ DERAIN
Artiste peintre 1880-1954, un des principaux représentants du "Fauvisme" (nom donné par le critique d'art, Louis Vauxcelles début XXe, sur un groupe de peintres dont la primauté était la couleur). Ces peintres étaient entre-autres : Matisse, Derain, Vlaminck tous trois amis depuis 1901.
La petite propriété du XVIIIe où le peintre sculpteur a vécu et où l'on a pu se rendre compte, de son importance lors de la visite de son atelier comportant un tas de témoignages de toutes les passions d'un artiste débordant d'activités diverses, passant par le dessin dont les motifs sont reportés sur des carrelages, des vases, lampes en céramique, la peinture avec toutes ses palettes, des pots, pinceaux, chevalets et son fauteuil, des sculptures, un tas d'objets, bibelots, des petits tableaux exposés, mais comme en fouillis afin que nos yeux ne se reposent pas, jusqu'à apercevoir accroché son béret.... Tout au fond, surprenant, une grosse presse pour imprimer.
Sa vie nous a été contée découvrant par une projection de ses tableaux, toute son évolution, ses changements par la couleur employée "comme de la dynamite" comme par exemple; "La Seine au Pecq" très colorée de rouge pas réelle du tout, "Le portrait de Vlaminck" en 1905 dont les cheveux et la moustache sont rouges, " Les barques de Collioure" dont la mer est faite de petites touches bleues, tableau plus lumineux.etc...
Autour de 1907 l'Art Moderne se voit aussi par "Les routes de Troyes" toutes rouges, "Les rues de Londres" loin de la réalité, routes vertes, arbres tout rouges....
Le changement
Les choristes de la chorale "Le 12è en chansons" dont je fais partie, sont ravi(e)s de vous proposer une animation musicale suivie du reprise avec le public le samedi 28 juin à 11h au kiosque Courteline, 51 bd de Picpus.
Nous espérons vous voir nombreu(ses)x.
À samedi.
AnnickB