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paris - Page 7

  • Film "La zone d'intérêt"

    De Jonathan Glazer avec Christian Friedel, Sandra Hüller, Johan Karthaus

    Adaptation du roman de Martin Ami (*)

    Le quotidien serein d’une famille nazie, voisine du camp d’Auschwitz.

    Le générique annonce l’horreur : un titre en lettres blanches sur fond noir ; LA ZONE D’INTÉRÊT se dilue petit à petit pour laisser place à un écran noir durant quelques minutes. Brusquement, une musique macabre comme venue du fonds des ténèbres ; puis viennent des chants d’oiseaux sur un cadre idyllique présentant une famille typiquement aryenne pic-niquant tranquillement en bord de rivière. 

    En milieu de film l’écran devient entièrement rouge quelques minutes encore, comme pour laisser le temps de prise de conscience au spectateur.

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  • Film "La vie de ma mère"

    De Julien Carpentier avec Agnès Jaoui, William Lebdghil, Salif Cissé

    Pierre, 33 ans, fleuriste, voit sa vie basculer lorsque sa mère, Judith, fantasque et excessive, débarque dans sa vie après deux ans sans se voir. Pierre veut reprendre le cours normal de sa vie, mais rien ne se passe comme prévu. Leurs retrouvailles vont transformer Pierre et Judith à jamais.

    Des instants de vie entre station-service, bistrot, hôtel, karaoké et dune du Pilat qui ouvrent sur une nouvelle relation remplie d’amour entre la mère et son fils.

    L’écriture des dialogues, la qualité d’interprétation d’Agnès Jaoui et William Lebdghil génèrent beaucoup, beaucoup, beaucoup d’émotions sur une relation mère-fils ô combien difficile puisque la mère, bipoloraire, est internée…

    Ce film entre rires et larmes, premier long métrage de Julien Carpentier, metteur en scène très prometteur, mérite d’être vu.

    MartineC 

  • Discussion "Sarah Bernhardt"

    paris,sarah bernhardtNée "Rosine Bernard" automne 1844 (septembre ou octobre, la date est imprécise car les papiers officiels ont brûlés en 1871 sous la Commune)

    Sa mère Julie Bernard hollandaise  demie-mondaine, réfugiée à Paris avec sa fille. Sarah petite fille est envoyée en nourrice à Quimperlé, puis au couvent de Granchamps" à Versailles.  À ses 11 ans, naissance de sa sœur Régina.  Elle envisagea d'être religieuse.

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  • Programme avril 2024

    Tarot, Scrabble, Bridge

    • Lundi 8, 15 & 22 avril à 18h30
    • Samedi 13 avril à 10h30

    Lundi 15 avril à 18h15

    • Chaque participant anime une fois par mois l'atelier d’écriture.
    • Ce mois-ci l'atelier est animé par Jeano

    Mardi 16 avril à 18h

    • Billard américain

    Samedi 13 avril à 14h30

    • Discussion de Jean-Paul : L'Amiral Darlan

    Samedi 27 avril à 9h

    • Journée en Seine & Marne

    Lundi 29 avril à 18h30

    • Parlons films avec Martine "Sidonie au Japon"
  • Atelier écriture "Lipogramme"

    Thème : Faire un lipogramme en "i", (sans "i"),

    Je chante de bonheur, les vacances sont là. Le bateau est prêt à prendre la mer. Je pars abandonnant tout, seule sur ma frégate. Le retour ? Bof, cela se fera certes un jour, lorsque la tête chargée de bons moments sans regrets de les abonner à leur tous pour d’autres rêves et nouvelles aventures.

    Arletteck

  • Lire "Les yeux de Mona"

    Les eux de Mona.jpgDe Thomas Schlesser

     L'histoire développée dans ce livre est originale .

    Mona est une petite fille qui risque de perdre la vue. Chaque semaine, comme thérapie, pendant un an, soit 52 fois, elle va découvrir, avant qu'elle ne perde, peut-être, la vue aidée par son grand-père la beauté de 52 œuvres du Louvre, d'Orsay ou de Beaubourg.

    Cela permet au lecteur, aidé de l'auteur, de parcourir ces musées et de découvrir, ou redécouvrir à l'aide du regard de Mona des œuvres de la Renaissance à nos jours.

    L'ouvrage lu, le lecteur n'a qu'une envie se précipiter dans un de ces trois musées pour  s'imprégner de nouveau, grâce à ce nouvel éclairage de ces œuvres même s'il pensait les connaître.

     Jean-Paul

  • Film "Madame de Sévigné"

    De Isabelle Brocard avec Karin Viard, Ana Girardot, Cédric Kahn

    Milieu 17e siècle : la marquise de Sévigné veut faire de sa fille une femme brillante et indépendante, à son image. Mais plus elle tente une emprise sur le destin de la jeune femme, plus celle-ci se rebelle. Mère et fille expérimentent alors les tourments d’une relation fusionnelle et dévastatrice.  De ce ravage va naître une œuvre majeure de la littérature française.

    La mise en scène est classique : paysages campagnards, châteaux, costumes, perruques, bruits et sabots insistants, grattements de la plume sur le papier, crépitement du feu de cheminée et dialogues littéraires à souhait.

    Madame de Sévigné est montrée ici comme une héroïne de son temps, mais le scénario est dénoué de toute forme de jugement ou de lecture morale contemporaine.

    La mère prédatrice est sujet  maintes fois traité au cinéma.

    Or, à travers sa correspondance à sa fille, Mme de Sévigné a fait une chronique de la cour et des salons parisiens qui a traversé les siècles. J’attendais de ce film qu’il m’en apprenne davantage sur l’œuvre de Mme de Sévigné, plutôt que me montrer une mère prédatrice, une fille rebelle sur fond de beaux paysages et décors. 

    En cela, j’ai trouvé le film plat.

    MartineC