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paris - Page 21

  • Film "Le bleu du caftan"

    De Maryam Touzani avec Lubna Azabal, Saleh Bakri, Ayoub Missioui

    paris,cinéma

    Halim est marié à Mina. Ils tiennent un magasin traditionnel de caftans dans la médina de Salé, au Maroc. Le couple vit avec le secret d’Halim, son homosexualité qu’il a appris à taire. La maladie de Mina et l’arrivée d’un jeune apprenti vont bouleverser cet équilibre. Unis dans leur amour, chacun va aider l’autre à affronter ses peurs.

    Un film qui nous parle de l’Amour authentique où le temps est suspendu : les détails, les regards sont d’une poésie, d’une douceur et d’une sensualité rarement vues au cinéma.

    Beauté, délicatesse, sensibilité et audace. Voilà les mots qui me viennent à la vue de ce film magnifique et profond.

    Du grand Art !

    MartineC

  • Lire "Février 33. L'hiver de la littérature"

    paris,lirePar Uwe Wittstock et Olivier Mannoni

    Adolf Hitler accède au pouvoir le 30 janvier 1933. Dès le 1er février les journalistes écrivains et intellectuels allemands s'interrogent.

    Vont-ils rester en Allemagne ou prendre la route de l'exil ? Sont-ils déjà sur une liste en temps que juif communiste, homosexuel ou intellectuel engagé ? Certains d'entre-eux nous sont bien connus (Bertold Brecht, Erich Maria Remarque...) d'autres moins. Tous sont pris dans leurs contraintes quotidiennes.

    Ce livre nous raconte comment la République de Weimar a basculé dans le si néfaste III eme Reich et nous incite à nous réjouir de vivre dans une démocratie apaisée.

     Jean-Paul

  • Programme mai 2023

    Tarot, Scrabble, Bridge

    • Lundi 15 & 22 mai à 18h15
    • Mardi 9 mai à 18h15
    • Samedi 20 mai à 10h30

    Samedi 6 mai à 14h30

    • Promenade avec Jean Paul : la balade des fermiers généraux

    Dimanche 7 mai à 14h30

    •  "Exit" au théâtre Darius Milhaud

    Lundi 15 mai à 18h

    Atelier d'écriture par MartineC

    Mardi 16 mai à 18h30

    • Billard américain

    Samedi 20 mai à 14h30

    • Discussion de Jean-Paul : Trois énigmes datant de Louis XIV

    Samedi 27 mai à 9h30

    • Expo "Giovanni Bellini" au Musée Jacquemart-André
  • Film "La vie pour de vrai"

    paris,cinémaUn film tendre, la naïveté tellement bien jouée par Dany Boon qui n'est pas convaincu par la "vie en vrai " qu'il découvre après avoir vécu  50 ans en retrait au club Med, et qui trouve le moyen de faire sourire et rire les spectateurs, hélas, par son comportement  d'inadapté.

    Si vous aimez ces 2 acteurs Dany Boon et Kad Mérad aux personnalités différentes démontrées, si vous voulez passer un agréable moment et vous évader, je vous conseille vivement de les rejoindre, vous oublierez votre "vraie vie"!

    Ninette

     

     

  • Mots se terminant par oxa

    Coxa (n.f.ou verbe)

    • (Entomologie) Segment proximal des pattes ambulatoires de certains arthropodes.
    •  verbe Afr. Appréhender, arrêter.

    Moxa (n.m.)

    • Bâtonnet brûlé au contact de la peau et faisant effet d'acupuncture.
    • (Médecine) Substance telle que la poudre de feuille séchée d’armoise, le coton ou l’étoupe, souvent…
    • (Médecine) (Par métonymie) Cautérisation lente utilisant du moxa.

    Doxa (n.f.)

    • Ensemble des croyances d'une communauté.
    • Ensemble, plus ou moins homogène, de préjugés populaires, de présuppositions généralement admises…
  • Film "La montagne"

    De Thomas Salvador avec Thomas Salvador, Louise Bourgoin, Martine Chevallier

    Pierre, ingénieur parisien, se rend dans les Alpes pour son travail. Irrésistiblement attiré par la montagne, il s’installe un bivouac en altitude et décide de ne plus redescendre. 

    L’idée de crapahuter et bivouaquer dans les somptueux paysages Alpins depuis mon fauteuil de cinéma me réjouissait à l’avance. 

    Sans que l’on sache vraiment pourquoi, le citadin plaque tout pour escalader en solitaire la montagne. Montagne dont nous n’avons que quelques belles images. 

    Au bout d’une heure d’achat du matériel, de pose de la tente, de prises de repas lyophilisés, de crapahutages, notre personnage plonge dans un monde étrange, mi liquide, mi féérique.

    A la fin, le voici qui ressort avec un bras luminescent (on est loin de la lecture du livre de Thomas Mann si bien commenté par JacquesB "La lumière de la haute montagne éclaire jusqu’au fond d’eux-mêmes" (cf blog Arvem). Le film dérape alors dans un fantastique douteux dont je n’ai pas trouvé la clé. De plus, se trame une histoire d’amour qui n’a rien à faire là.

    J’ignorais que le réalisateur, Thomas Salvador, est un scénariste versant dans le cinéma fantastique. Peu encline à ce genre et m’attendant à un film réaliste, je n’ai pas apprécié ce long métrage (2h).

    Si vous êtes comme moi, attirée par les beaux paysages de montagne, je conseille plutôt un bon documentaire sur le Massif du Mont Blanc.

    MartineC

  • Conférence "Gioviani Boldini "

    Gioviani Boldini naît à Ferrare (Italie) en 1842 et reçoit ses premières leçons de dessin de son père Benvenuta Calefi, artiste-peintre.

    À partir de 1858, il suit des cours de peinture et a l’occasion de connaître les grands artistes ferrarais du XVe siècle. 

    Puis il fréquente l’Académie des Beaux-Arts de Florence et rencontre Diego Martelli, critique d’art et surtout mécène et Macchiaïoli, représentant d’un mouvement naissant –approchant le mouvement impressionniste en France-.

    Entre 1866 et 1870 il parcourt l’Europe : Naples, Paris, Londres. Il rencontre Édouard Manet, Alfred Sisley et Edgar Degas. G. Boldini revient à Paris, y ouvre un atelier et commence à travailler pour de grands marchands d’art.

    Devenir très riche grâce à sa peinture était son ambition. Proche de Degas mais aussi de Proust entre autres, il évolue dans les milieux aristocratiques et bourgeois et connait de son vivant un succès fulgurant, devenant le portraitiste favori d’une clientèle riche et internationale. Dans ce Paris capitale de la mode, il représente princesses et riches héritières parées des plus belles robes. G. Boldini devient la coqueluche du Tout-Paris, ses œuvres des témoignages captivants et émouvants de ce Paris de la Belle Époque.

    Giovanni Boldini  meurt en 1931. 

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    De sa baguette magique, Tania m’a transportée dans les salons élégants de la haute bourgeoisie et l'aristocratie de La Belle Époque. Grâce à ses descriptions et commentaires captivants, j’ai découvert des peintures splendides du peintre italien tombé aujourd’hui dans l’oubli : Giovani BOLDINI. 

    Je me suis pavanée dans les salons de La Belle Époque, rencontrant Marcel Proust, le Comte Robert de Montesquiou, Giusepe Verdi, Coco Chanel, Paul Poiret, Sarah Bernhardt… autant d’écrivains, musiciens, stylistes, photographes, costumiers et demi-mondaines les plus en vogue. 

    paris,boldiniJe rêvai en croisant les regards profonds, intelligents et parfois hautains des grands hommes, la grâce et la sensualité de ces dames toutes de finesse - enrobées de soieries, taffetas, velours, tulles vaporeux, dentelles et autres broderies de tous coloris-, au si joli minois et décolletés suggestifs (eh oui ! l’intelligence toute masculine, le paraître tout féminin [dixit Tania]). 

    De 1880 à 1914, se faire portraiter par Boldini était de bon ton, parmi ces dames notamment qui rivalisaient pour obtenir au plus vite "son Boldini". Boldini, homme petit et disgracieux, crée glamour et modernité tant et si bien que le style des tenues féminines furent appelées "à la boldinienne". 

    Merci, Tania, de votre invitation en ce monde enchanteur. Le temps d’un après-midi, j’étais Princesse parmi Princes et Princesses. Et merci pour la découverte de ce peintre si original que je méconnaissais. Une belle découverte.

    Félicitations, Tania, pour votre talent de conteuse.

    MartineC