À croire que sous l'ère de la République un brin de nostalgie des temps impériaux flotte... car...
Nous étions bien nombreux pour essayer de dénouer les mystères de la famille Romanov, entre 1613 et 1918, sachant que "le tsarisme est une monarchie absolue tempérée par l'assassinat". Cette expression fit tressaillir l'assemblée laissant à penser aux conséquences tumultueuses que nous allions découvrir.
Nous avons tous été tenus en haleine tout au long du développement des vies successives de divers monarques, rendant plus accessibles encore les récits, par les retrouvailles avec une vieille connaissance, en la personne de Raspoutine, (bien connu grâce au cinéma) des souvenirs ravivés pour certains, qui sont allés en Russie sur les traces des derniers Romanov.
Pour la majorité d'entre-nous ceux-ci ne nous étaient pas inconnus. Nicolas II, Alexandra, leurs 4 filles et Alexis le fils tant attendu, mais hémophile, qui furent fusillés à la montée du bolchevisme, et devenus martyrs à notre époque.
Cependant encore de nos jours, des écrits circulent disant que l'Impératrice et les Duchesses auraient échappé à cet assassinat. Une parution toute récente relatée en cette séance, nous l'affirme.
Le mystère persiste-t-il vraiment ?
Des soi-disant survivantes ayant pullulées, avec des témoignages de reconnaissance permettent le doute, pour la plus connue Anastasia, décédée en 1984. Rappelez-vous film avec Ingrid Bergman de 1956.
Malgré l'édification d'un monument en 2011 à la mémoire des 5 enfants, à côté du Monastère de Ganina Yama et des tests ADN pratiqués sur les ossements retrouvés en 1991 et 2007 identifiant formellement tous les membres de la famille impériale, en 2012 la suspicion existe encore ! Notre conférencier nous a convaincus de la supercherie. "La tricherie" à ce niveau là, devient de l'Art !
Bien rôdés que nous sommes... On ne nous la fait pas !
Ninette
Qui était-il ? Quel mystère entretenait-il ? Que faisait-il ? Par ses actions surprenantes, nocturnes, bizarres, ses multiples comptes bancaires dans plusieurs villes françaises même à Budapest, cette fortune lui permettant des transformations immobilières dans le village....
Une sacrée arriviste du XVIIe siècle, Léonora Dosi.
Avec légèreté nous avons dégagé la table garnie, puis resserré les rangs autour d'elle pour fêter l'Epiphanie et faire revenir quelques têtes couronnées, sous la découverte des fèves. Coutume adoptée dans notre groupe avec le même succès, permettant à "nos Gens de Cour" de se retrouver pour converser à leur guise sur les potins et rumeurs de couloirs...
Misia ? Qui connaît cette femme? Ce nom vous dit-il quelque chose ?
Nous avons ouvert "le salon" comme autrefois et vous êtes venus nombreux pour écouter la vie de La Fontaine, cet homme qui nous a laissé tant de textes enchanteurs, et nous permet de retomber dans notre prime jeunesse lors de l'évocation de ces fameuses fables apprises sur les bancs de l'école.

Si nous avions écouté par le passé des exposés sur le destin de femmes célèbres, de caractère que ce soit dans le domaine artistique, littéraire, de la mode ou politique, par exemple, Sarah Bernhardt, George Sand, Coco Chanel, Marie-Antoinette ou Mata Hari, Joséphine ne correspond pas à ces profils, "seulement" femme de Napoléon, mais "sa bonne étoile" durant ses diverses campagnes.
En cette période tourmentée du début de l'été où le machisme français se révèle au grand jour, nous avons évoqué une femme libérée du 19e siècle, une femme peu ordinaire, écrivain, journaliste, engagée politiquement, républicaine soutenant les Révolutions de 1830 et 1848... J'ai nommé