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  • Expo "Le Douanier Rousseau"

    Grande et belle exposition sur Le Douanier Rousseau et ce jusqu'au 17 juillet au Musée d'Orsay.

    Son ambition est de revisiter l’œuvre d'un artiste jugé inclassable mais dont le travail s'inscrit dans son époque.

    Ainsi sur fond parisien fin XIXeme "Moi-même, portrait paysage" où "La Muse inspirant le poète" (Marie Laurencin et Guillaume Apollinaire). Les Surréalistes ne cachaient pas, Breton en tête, leur admiration pour Le Douanier dont "La charmeuse de serpent" et "La Guerre" appelée aussi "La chevauchée de la discorde" subjuguent les visiteurs.

    Une exposition à ne pas manquer.

    Jean-Paul

  • Atelier d'écriture "Inventions inventées"

    Les inventions complètement inventées par Pierre Dominique Burgaud.
    Extrait :
    "Les points des coccinelles ont été inventés pour que l'on puisse savoir leur âge, mais il est quasiment impossible de savoir leur prénom"
    "Les draps ont été inventées pour que les fantômes ne sortent pas tout nus le soir"

    Inventions inventées de Laurence
    "L'ordinateur a été inventé pour que l'on puisse avoir un endroit pour coller les post-it"
    "Les animaux ont été inventés pour la La Fontaine puisse écrire des poèmes"

    Inventions inventées de Yves-Marc
    "Une prothèse de patte arrière pour cochon parce qu'on le mange petit à petit. Hé oui, c'est bon le jambon"
    "L'échelle miniature avec un barreau pour limace afin quelle puisse manger les fraises"

    Inventions inventées de Annick
    "La table a été inventée pour ne pas manger sur le pouce"
    "Le vent a été inventé pour insuffler de nouvelles idées"

    Inventions inventées de Marie
    "Le caramel mou a été inventé par l'Ordre des dentistes anonymes"
    "Le string a été inventé par un styliste qui avait un énorme stock d'élastiques invendus"
    "La "danse des canards" a été inventée pour prouver que le ridicule ne tue pas"

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    Vous avez des idées d'inventions inventées, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires.

    Jeanet

  • Expo "Un Musée révolutionnaire"

    paris,expositionJusqu'au 4 juillet Le Louvre présente Le Musée révolutionnaire : celui des Monuments français d'Alexandre Lenoir qui élut domicile de 1795 à 1816 dans le couvent des Petits Augustins (actuellement école des Beaux-Arts).

    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il avait belle allure profitant des statues et gisants sauvés des pillages d'octobre 1793 perpétués dans la basilique St-Denis.

    Cette visite s'impose ne serait-ce que pour rendre hommage à Alexandre Lenoir à qui nous devons de retrouver au Louvre et à St-Denis tant de chefs d’œuvre.

    Vous pouvez avec le même billet voir ou revoir l'exposition consacrée à Hubert Robert et s'il vous reste des forces, et du temps, vous mêler à la foule qui se précipite pour admirer La Joconde.

    Vous serez moins pressuré en visionnant Hubert Robert et surtout Alexandre Lenoir et c'est bien mieux, car vous pourrez ainsi scruter tout à loisir, les gisants et les statues polychromes comme l'admirable Notre Dame de la Carole.

    Jean-Paul

  • Expo "Antoinette Sasse : rebelle, résistante, et mécène"

    paris,expositionNous n'étions pas nombreux en ce jeudi après-midi à nous intéresser à la vie d'Antoinette Sasse (née Kohn puis nommée Sachs par mariage, d'origine juive elle francisa son nom après l'Occupation).

    Jusqu'au 29 janvier 2017 le Musée Jean Moulin présente dans le Jardin Atlantique couvrant la gare Montparnasse la vie exceptionnelle de cette femme rebelle éprise d'absolu et de liberté, résistante (au printemps 1942 elle décode les télégrammes reçus de Londres par Jean Moulin ) et mécène (elle lègue toute sa fortune et ses collections à la Ville de Paris pour réaliser ce Musée dédié au chef du CNR).

    En complément de cette exposition vous ne manquerez pas de profiter des animations qui agrémentent les collections permanentes. Ainsi les dessins de Romanin (nom d'artiste de Jean Moulin) et le discours de Malraux lors de son entrée au Panthéon, valent d'être vus et entendu au milieu des journaux et documents de cette époque qu'il ne faut jamais oublier.

    Jean-Paul

  • Lire "Ce que je ne pouvais pas dire"

    Ce que je ne pouvais pas dire_Debré.JPGJean-Louis Debré a passé neuf années à la tête du Conseil Constitutionnel. Il était durant cette longue période tenu par son devoir de réserve.

    Ayant quitté cette institution, il retrouve sa liberté de ton et ne s'en prive pas. Il nous communique dans cet ouvrage qui prend la forme d'un journal, tenu régulièrement durant ces neuf années, s es souvenirs et ses commentaires sur les agissements et les comportements des hommes politiques qu'il a côtoyés.

    Ce livre-témoignage est à recommander à tout citoyen avant les échéances électorales qui se profilent à l'horizon.

    Jean-Paul

  • Discussion "Victor Hugo" suite

    Suite de la conférence du mois de mars 2016

    Le 14 mai, Jean-Paul organise une seconde discussion sur Victor Hugo.

    Il nous présente tout d’abord quelques documents joliment illustrés, soit des photos ou des textes bien connus de tous, sans que pour autant les auditeurs en connaissent l’origine (textes mis en musique par Brassens, notamment).

    Il rappelle tout d’abord l’enfance de Victor (né en 1802 à Besançon), élevé par un père militaire, le futur général d’Empire Léopold Hugo ainsi que par une mère, pour le moins originale, Sophie Trébuchet.

    Il nous raconte les divers événements qui ont marqué son enfance, voyages en Italie et en Espagne, puis divorce des parents en 1811.

    Victor suit alors sa mère à Paris. Lire la suite ICI

    Au cours d’une conférence de près de trois heures, Jean-Paul a su mettre en exergue tous les événements qui ont marqué la vie de Victor Hugo ainsi que la vie du siècle. Sans doute Hugo avait-il raison de dire en parlant de sa naissance : "Ce siècle avait deux ans".

    En résumé, rappelons-nous sa belle formule "S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là" dernière strophe du magnifique poème "Ultima verba", extrait du recueil "Les Châtiments". Je suis sans doute trop longue mais Jean-Paul a vraiment su capter mon attention du début à la fin et je souhaitais retransmettre un maximum des choses apprises ou remémorées depuis ma prime jeunesse.

    L’on a envie d’entendre Jean-Paul sur la commune de Paris, comme il nous l’a promis !

    Odilep