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  • Lire "Sarko m'a tuer"

    parisVous voulez "être au parfum" sur les "affaires" ayant émaillé ces dernières années et avoir de nombreux éléments sur celles qui se profilent à l'horizon ? N'hésitez pas, lisez " Sarko m'a tuer" de Gérard Davet et Fabrice Lhomme.

    Vous lirez ces 27 récits avec un intérêt croissant et cela vous permettra d'éviter d'être surpris dans le futur, par certaines attitudes ou certaines procédures.

    Jean-Paul

  • Brie de Meaux : couper la pointe ou non ?

    parisLa tradition nous interdit formellement de couper le nez, ou la pointe du fromage de Brie. Pour deux raisons :

    - La première est de ne pas laisser la croûte à l'un de ses voisins?

    - La seconde est qu'au XIXème siècle, le prétendant qui était présenté aux parents de la fille, partageait le repas de ses futurs beaux parents briards, et il répondait au feu de questions du chef de famille prenant tout le repas. Au moment du fromage, ce dernier coupait le nez du Brie si le prétendant n'était pas accepté.

    Jeanet

    Source : la confrérie du Brie de Meaux

  • Film "Un heureux évènement"

    cinema,parisCe film est vraiment bon. Beaucoup de sensibilité, de bonnes observations sur la difficulté de devenir mère. Louise Bourgoin joue à merveille ainsi que les autres acteurs qui l'entourent.

    Personnellement, à la naissance de ma fille, il y a presque 19 ans, j'ai éprouvé les mêmes sensations et je suis passé par des états d'âme très proches (voire identiques parfois) à ceux de cette jeune femme.

    Je trouve que ce film doit être vu par toute personne qui (comme moi ou comme l'héroïne du film) ne sait pas très bien au juste ce qu'est la maternité et qui n'a jamais eu l'occasion d'être entretenue longuement sur le sujet.

    Avoir envie d'un enfant dans sa chair (instinct) est une chose, une autre est d'assumer ensuite les contraintes au quotidien et les divers problèmes que l'on rencontre et auxquels personne ne nous a préparé. Bien sûr, toutes les femmes ne vivent pas la naissance de leur 1er enfant comme cela, mais il y en a plus qu'on le croit et ce film rétablit la vérité sur ce que ressentent certaines femmes nouvelles maman. J'ai ressenti beaucoup d'émotion en le voyant et cela m'a rappelé, vraiment, moi il y a 19 ans.

    Pour autant, la façon de traiter le sujet est positive, et ne décourage pas non plus de faire des enfants, c'est juste une façon d'attirer l'attention sur ce qui peut arriver et comment trouver des solutions pour passer un cap difficile.

    Florence V.

  • 3 - Du pont Alexandre III au pont d'Iéna

    Suite de la note du 8 octobre

    parisIl nous reste à descendre l'avenue de la Bourdonnais pour nous arrêter devant un immeuble et la plaque mémorative concernant la décapitation sur place de Bailly premier maire de Paris. (Plutôt curieux ... La guillotine n'était-elle pas sur un endroit spacieux ? Alors pourquoi ici ?)

    Pour avoir, en juillet 1791 fait tirer sur les extrémistes révolutionnaires qui demandaient la destitution du Roi. La guillotine a donc été déplacée, du Champ de Mars "afin que le sang de l'assassin ne soit pas mélangé à celui du peuple !"

    parisC'est au pied de la tour Eiffel que nous nous quittons, car le ciel s'est fortement assombri, chacun choisissant son retour, bus, RER, métro. Un petit groupe prit celui-ci, avec une seule idée, celle de pouvoir voyager assis ! Montre en mains... Si... 4 heures de promenade ! ... Quelle chance, justement des sièges s'offrent à nous ! (Après un grand soupir de satisfaction, nous avons encore la force de papoter...)

    Notre Journée Patrimoine n'était pas celle de tout le monde... Mais nous avons eu aussi "nos ors", "nos sculptures", nos "bâtiments", "nos héros", "nos commentaires anecdotiques" des découvertes et le droit de s'approcher... Tout cela en dilettante !

    Ninette

    Photos © JMarie-Andrée © Jeanet

  • 2 - Du pont Alexandre III au pont d'Iéna (Suite)

    Suite de la note du 7 octobre

    Faisons le tour de la galerie pour nous rapprocher de l'Empereur. Surprise ! Il est immense, alors que tout à l'heure elle nous paraissait toute petite cette statue !

    parisLe ciel ayant fini de transpirer, nous pouvons nous diriger vers l'Ecole Militaire. Tranquillement, nous traversons le très beau "jardin de l'intendant", vaste et fleuri situé derrière les Invalides.

    Sur notre parcours nous nous arrêtons à l'église du XIXeme siècle Saint-François- Xavier, où repose une sainte momifiée. Par contre, hélas, l'accès au tableau d'origine de Tintoret, est impossible, alors Jean-Paul a tout prévu, et nous remet une photocopie de la Cène réalisée par ce peintre.

    Devant l'Ecole Militaire un peu d'historique sur la construction, puis le sort de Dreyfus est évoqué, le jour où il a été dégradé.

    À l'époque une foule importante assistait à cet évènement, jusqu'à trouver perchés dans les arbres les plus curieux ! Mais nous avons le document en mains pour mieux apprécier !

    parisAprès cette évocation, nous continuons un peu plus au ralenti notre promenade vers le Champ de Mars, où, là, un bizarre monument se dresse. Le père du Ministre actuel François Baroin, Grand Maître de Grand Orient, fit édifier en 1989 un mémorial sur les droits de l'Homme, pour le bicentenaire de la Révolution.
    (Alors là, nous sommes pensifs, mais curieux devant les symboles, les personnages dispersés, essayant de trouver leur signification et profitant des bancs accueillants, pour une réflexion plus approfondie, mais sans contemplation, car le monument n'est pas particulièrement attirant...)

    Suite demain >>>

    Photos ©  Jeanet

  • 1 - Du pont Alexandre III au pont d'Iéna

    Pour notre première promenade d'automne, nous n'étions pas les seuls. Journée du Patrimoine oblige ! Mais notre but étant de découvrir des lieux insolites, nous permit d'éviter la foule, et les queues interminables que l'on connaît !

    Au rendez-vous sur le pont Alexandre III nous accueillons quelques nouveaux adhérents, par une après-midi quelque peu ensoleillée parfaite pour une balade découverte qui nécessite des arrêts fréquents.

    parisMais commençons par ce pont, superbe comme chacun le sait, qui enjambe la Seine d'une seule volée. Détaillé à souhait avec ses 4 renommées toutes dorées, aux extrémités, surmontant des textes gravés, ses balustres blancs et or, ses statues de chérubins, les armoiries Franco-Russe et ses candélabres, lui donnent un aspect très romantique.

    Quelques gouttes de pluie s'annoncent ? Qu'importe ! Tout près les Invalides, nous allons y faire un tour, voir en passant les canons et saluer la statue de Napoléon, qui eut un curieux destin. De la place Vendôme (1833-1863) elle fut descendue et immergée des décennies dans la Seine (chute du second Empire) pour revenir en 1911 auprès de ses compagnons dans cet hospice !

    parisDans la cour nous recherchons la signature de Louvois, Ministre de la guerre, responsable de cet édifice. (Et nous avons trouvé la petite sculpture perchée dans une lucarne).

    De la galerie on découvre la pierre tombale originelle du tombeau de l'Empereur rapportée de Sainte-Hélène.

    Au 1er étage recherchons à nouveau des graffitis de pensionnaires de l'époque Louis XIV... Plutôt rare ...

    (Bien que nous soyons dimanche, le guide nous fait travailler. Devinez ceci, à quoi cela vous fait-il penser ? cherchez cela... Bravo ! Chacun s'exécute, c'est avec plaisir de voir comment, lunettes chaussées, vous enjambez les barrières pour voir de plus près ce qui est méconnu. La curiosité est le sang de la vivacité !)

    Suite demain >>>>

    Photos © Marie-Andrée  © Jeanet

  • Lire "L'Impératrice Joséphine"

    livreSans Joséphine Napoléon serait-il tout à fait Napoléon ? Indubitablement plus que Marie-Louise elle fait partie de la légende du Premier Empire dont elle fut l'Impératrice couronnée et immortalisée par David le 2 décembre 1804.

    Dans son "Impératrice Joséphine" Françoise Wagener nous la révèle dans toute son humanité. Ce livre reçut le Grand Prix de la Fondation Napoléon.

    Jean-Paul

  • Sourions

    Une dame fait des reproches à son boulanger :
    - Je suis désolée de vous le dire, mais votre pain est rassis !
    - Un peu de respect, Madame, je faisais du pain avant que vous ne soyez née !
    - Justement, ce que je vous reproche, c'est de ne le vendre que maintenant !

    Jeanet