Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • À vous de jouer ? (134)

    Quel roi fonda l'hôpital des Quinze-Vingts ?

    • Saint-Louis
    • Louis XIV
    • Louis-Philippe

    Réponse jeudi prochain 

    À vous de jouer n°133

    Quel nom portait, à la fin du XIXè siècle, la ligne de chemin de fer qui reliait Paris à marseille, en passant par Lyon ?

    • la ligne impériale
  • Les Gaulois

    Les Eduens étaient le plus puissant des peuples de la Gaule avec les Arvennes. Ils avaient comme capitale Bibracte (sur le Mont Beuvray dans la Nièvre près de Château-Chinon). François Mitterrand voulait s'y faire enterrer.

    Jean-Paul

  • De la porte de Reuilly à la Porte de Charenton

    paris 12,parisEst ce un hasard, mais le rendez-vous prévu ce jour sous la pendule Daumesnil permit qu'il n'y ait aucun retardataire. Ça s'arrose par quelques gouttes, sortirons nous les parapluies ?  Eh bien non  !

    Nous nous dirigeons vers l'église du Saint Esprit datant de 1930, construite en brique de Bourgogne et  nous attardons sur les détails de la fresque de cette époque. paris 12,parisContinuons rue Cannebière sur les pas de Marie Dubas en fredonnant en choeur "De l'autre coté de la rue" tout en prenant le risque de faire pleuvoir, qu'importe. Autrefois les chanteurs de rues étaient ils meilleurs ?

    Rue de Madagascar, nous évoquons l'empoisonneuse, la tumultueuse Violette Nozière. Passons par la rue Edouard Robert où un ballon dirigeable explosa suite à une imprudence. Arrivés Porte Dorée nous apercevons le musée de l'immigration, à l'origine musée des colonies construit sous Gaston Doumergue pour l'exposition de 1931. Un peu  plus loin il y eut jusqu'en 1970 une manufacture de tabac.

    Puis, imaginons tout près le cabaret de "La Grande Pinte", mais ne nous y arrêtons pas. Pressons le pas, la visite au Saint Esprit ne nous a pas protégés des giboulées.  Vite, tous aux abris ; nous nous réfugions donc dans un temple de la consommation puis nous nous séparons plus rapidement que prévu.

    Annick D.

  • Dimanche 20 février

    Carnavet.jpgExposition Vuitton
    Invitation au voyage… L'approche de l'évasion nous a été donnée par la visite à Carnavalet de la belle exposition Vuitton. Entraînés par un guide formidable, qui nous a quasiment embarqués vers une autre époque, dans les malles diverses, superbes d'aspects extérieurs, ingénieuses de par leurs contenus ou leur commodité recherchée, nous avons pu enfin constater l'évolution des bagages en général suivant leurs formes et les techniques de fabrication.

    Nous étions tenus en haleine grâce aux récits historiques si vivants, sur les modèles spéciaux commandés par des célébrités exigeantes en fonction de leurs professions ou déplacements particuliers soit, en bateau, train, automobile, puis en avion.

    Le déjeuner
    Mais les voyages…. ça creuse ! C'est connu ! Et comme tout se gagne… D'un bon pas, le groupe s'est dirigé vers le restaurant, place de la Bastille.

    Une salle mise à disposition, nous attendait. Dans la bonne humeur, chacun passa commande puis, sans "qu'un ange passe" les verres se levèrent, les fourchettes s'agitèrent, de table en table, éclats de voix, de rires, ambiance légère… Mais ne pas oublier qu'une promenade suivait et que des amis nous rejoignaient !

    Après-midi Promenade
    Enfin prêts à remonter le Faubourg Saint-Antoine, avec de nombreux arrêts pour évoquer le passé. Un détour à la maison de Verlaine, puis faisons bloc, pour écouter l'histoire des momies de la Bastille… des fontaines d'époque Louis XV, de la statue de Ledru-Rollin (que Jean voyait de sa fenêtre quand il était jeune… Et que nous avons cherchée grâce à son croquis préparé).

    IMG_3416.jpgIMG_3428.jpg

     

     

     

     


    Fontaine d'époque Louis XV/Fondation Eugène Napoléon 

    Au square Trousseau était bâti un hospice pour enfants trouvés, puis sont évoqués la mort de Baudin, la révolte chez Réveillon, l'histoire du cochon de St-Antoine, la fondation Eugène Napoléon, l'interrogation sur les immeubles industriels, puis la place de la Nation et sa superbe statue de Dalou.

    Gaillardement le groupe a suivi, suscitant l'étonnement de jeunes souriants, pensant à une manif du 3è âge ou que les portes de la maison de retraite s'étant ouvertes, nous nous en étions échappés !

    Nous avons bien rigolé…. l'humour est toujours le bienvenu.

    Ninette

  • Cartouche et Mandrin

    paris,paris 12Nous étions une "belle bande Arvemoise" "Bonnes Oreilles" pour défier "Tape Dur" "Va de Bon Cœur"... les cartouchiens et "Belle Humeur" Mandrin.

    Notre ambition était des plus pacifiques. Les chefs opposants nous ont interpellés par leurs méfaits, entourés de compagnons de toutes origines, dévoués à la vie à la mort et tenus par un régime quasiment militaire.

    Cartouche officiait sur Paris, dans de nombreux "cabarets" (les pioles), hostelleries-restauration où le butin composé de tabatières (triffonnières), bourses, montres (tocantes) pommeaux d'épées, bijoux (brocantes).... était partagé.

    Mandrin, lui sillonnait la région alpine pour la contrebande d'indiennes, tissus légers brodés, tabac, sel, poudre à canon, armes). Il faisait commerce sur les marchés. Devant l'interdiction, il revendit sous la contrainte, directement aux représentants des fermiers généraux. Ceci le mena jusqu'en Bourgogne.

    Tous deux furent arrêtés en pleine jeunesse, subirent la question, condamnés à être roués vifs en public.

    Cartouche "jabotera" livra le nom de ses compagnons, qui ne respectaient pas le contrat, celui de venir le délivrer, ceci en place de Grève depuis l'après-midi durant toute la nuit jusqu'au lendemain après-midi.

    Les complices furent recherchés, arrêtés et pendant  tout ce temps, le public attendait patiemment sur place, la fin de l'épisode, celui où Cartouche eut les membres rompus, puis exposé sur la roue. Ce fut "La nuit blanche".

    Mandrin, lui ne livra personne, mais subit plus rapidement le même sort, à Valence.

    paris,paris 12Pour alléger l'exposé et illustrer ces deux vies, notre troubadour interpréta des chansons, souvent reprises en chœur par nos compagnons, la mémoire subitement rafraîchie... Réconfortée, après tant de souffrance, la bande Arvemoise n'avait aucune envie de s'exposer dans l'indiscipline.

    Pour nous soulager devant tant de barbarie, nous nous sommes contentés d'attaquer … les crêpes à badigeonner de confiture et de passer "au cabaret" "pitancher" cidre et jus de fruit.

    Le sourire retrouvé, nous dégustions aussi notre époque plus clémente !

    Puis la bande se disloqua. Certains retrouvèrent leur tanière, d'autres se regroupèrent autour des tables de jeux, pour clore cet après-midi en douceur.

    Ninette

  • À vous de jouer ? (133)

    Quel nom portait, à la fin du XIXè siècle, la ligne de chemin de fer qui reliait Paris à marseille, en passant par Lyon ?

    • la Voie du Sud
    • la ligne impériale
    • le Provence Express

    Réponse jeudi prochain 

    À vous de jouer n°132

    La rue Taine porte le nom d'un philosophe (1828-1893) à qui l'on doit cette pensée :

    • s'ennuyer est de savoir où l'on va et par où l'on passe
  • Film "Les femmes du 6ème étage"

    Femmes_du_6_etage.jpgToute une génération a connu ces chambres exiguës, sans confort, sous les toits... Mais pas seulement occupées par des gens de service, également par des familles avec enfants ! Quelques souvenirs me sont réapparus... (la crise du logement ne date pas d'aujourd'hui).

    Ce film ne s'attarde pas sur cette précarité, mais sur l'humanité d'un homme aisé, si bien interprété par Luchini, qui nous enchante dans sa lutte contre la mentalité méprisante des "nantis" envers la société laborieuse.

    Ces femmes espagnoles dynamiques, si sympathiques, face à un patron qui découvre la joie de vivrre, donnent un film touchant, à voir pour passer un bon moment.

    Ninette