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Film "Les femmes du 6ème étage"

Femmes_du_6_etage.jpgToute une génération a connu ces chambres exiguës, sans confort, sous les toits... Mais pas seulement occupées par des gens de service, également par des familles avec enfants ! Quelques souvenirs me sont réapparus... (la crise du logement ne date pas d'aujourd'hui).

Ce film ne s'attarde pas sur cette précarité, mais sur l'humanité d'un homme aisé, si bien interprété par Luchini, qui nous enchante dans sa lutte contre la mentalité méprisante des "nantis" envers la société laborieuse.

Ces femmes espagnoles dynamiques, si sympathiques, face à un patron qui découvre la joie de vivrre, donnent un film touchant, à voir pour passer un bon moment.

Ninette

Commentaires

  • Dans cet excellent film il faut avoir entendu les réflexions
    méprisantes de ces "dames" quand le personnage principal,joué par Luchini souligne le courage de ces "bonnes" passant la serpillière chez leurs patronnes.
    Sa réponse est courte mais bonne.

  • Nous ne sommes pas habitués à voir Luchini dans ce genre de rôle.Il découvre avec étonnement un autre monde ,chaleureux,simple dans sa relation à l'autre, s'entraidant dans la bonne humeur .Son univers à lui est bien triste ,heureusement il en tirera une leçon . .Oui,c'est vraiment un plaisir de voir ce film,

  • Un film qui se passe dans les années 60, original et délicat, bien pensé et observé. De l'humour et des réflexions très justes, réalistes ainsi qu'une certaine poésie parsèment ce film qui vous met de bonne humeur et vous remplit de joie. Une Sandrine Kiberlain très convaincante en bourgeoise de province ayant réussi à Paris par un beau mariage, un excellent Fabrice Lucchini qui n'en fait pas trop et dont les expressions du visage sont très nuancées au cours de l'histoire. De beaux décors dans un appartement raffiné et des tenues vestimentaires assorties. Vraiment, les riches aux œillères bien serrées en prennent plein leur grade et on a presque envie d'être pauvre tant la chaleur humaine qui s'en dégage fait oublier certains désagréments. Je ne sais pas si les rapports avec le personnel de maison ont évolué de nos jours dans les foyers bourgeois (je suppose que oui), mais je pense qu'à cette époque, cela se passait ainsi.

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