La chanson dit : "Alouette je te plumerai, la tête", j'ai cru comprendre "Ninette je te plumerai la tête". Et pourquoi faire?
Doutant de sa capacité, non, la plume de mon serre-tête n'écrira pas ! Aurait-elle le style suffisant pour ne pas me faire résumer, comme une oie blanche, cette journée magnifique, passée dans les traces d'Alexandre Dumas ?
Même avec le stylo, je laisserai donc cette tâche à plus calé. Un nègre ? Un esclave ? Non au passionné qui bouclera ainsi le sujet.
Lors de la discussion précédente, si vous n'avez pas tout saisi, ou si vous avez oublié quelques détails, sur le Général et Alexandre Père, là, vous avez été servis en informations répétées. Mais de quoi parler d'autre dans ces lieux, que de ces deux destins bien remplis ?
En ce qui me concerne, pour ne pas manquer à mon devoir de "scribouillarde" je vous ferai part de banalités et balivernes sur cette balade en Picardie agréablement guidée sous un beau soleil, puis le pique-nique dans cet endroit paisible au vert, enfin la beauté du site de Port Marly.
Vos photos appuieront mes dires !
Cette journée vécue comme un avant goût de vacances, me rappelle la fin des années scolaires avec le bilan du conseil des maîtres ! Que ce serait-il dit ?
Arrivés vers 9h au lieu-dit rendez-vous à l'office du tourisme direction le Musée d'Alexandre Dumas où nous attendent dans les salles d'un hôtel particulier, des souvenirs émouvants notamment les lettres manuscrites des parents (le Général Dumas et sa femme Marie-Louise Labouret) et de l'immense écrivain (une page du Comte de Monte-Cristo de sa superbe écriture, est particulièrement évocatrice).
L'estomac lesté, de nouveau le car, après une promenade dans le Parc de Marly, il ne nous restait plus qu'à pénétrer dans le domaine du château de Monte-Cristo, où de 1847 à 1851 il recevait ses amis et leur préparait parfois de succulents plats de sa composition.
Le titre de l'exposition "