En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Jusqu'au 2 mars 2014 le Musée Cognacq-Jay 8 rue Elvézir (4eme) nous présente "Le siècle d'or de l'éventail".
Vous serez surpris par la beauté de ces éventails et l'ingéniosité de leurs concepteurs qui l'agrémentaient de divers accessoires (loupes, miroirs...)
De plus vous pourrez grimper aux étages supérieurs, des Boucher, Greuze, Fragonard, Quentin de la Tour, et bien d'autres peintres vous y attendent ainsi que des objets d'orfèvrerie et des pièces de mobiliers exceptionnelles.
Jean-Paul
Après "La saga des reines" Jean des Cars ne pouvait que nous écrire "La saga des favorites".
Il en profite pour nous faire revisiter une bonne partie de l'Histoire de France sous l'Ancien Régime de la célèbre Agnès Sorel à la plus méconnue Zoé du Cayla. S'y adjoint un détour dans quelques royautés entourant la France sur les pas de Lola Montez de Wallis Simpson, ainsi que de quelques autres favorites moins célèbres.
Jean-Paul
La vie d'un trader surdoué, qui n'a peur de rien et devient l'un des hommes les plus riches de New York. Une vie de débauche, entraînée par la consommation de drogues, il court à sa déchéance et sa chute est spectaculaire.
Film mené par Léonardo Di Caprio magistral, mais en VO, un langage vulgaire répétitif, scènes violentes et scabreuses n'apportent pas un plus au monde difficile qu'est celui de la finance.
À voir par curiosité pour découvrir un certain milieu, sans penser que cela puisse réellement exister !
Ninette
Je suis allé visiter lundi 30 décembre l’exposition « Indochine des territoires des et des hommes : 1856–1956 »
Elle a lieu au musée de l' Armée à Paris aux Invalides jusqu'au 26 janvier.
Elle retrace remarquablement en mêlant costumes, estampes, documents écrits et audiovisuels, la colonisation française en Extrême-Orient et la guerre qui y mit un terme. Donc, en gros, depuis Napoléon III puis Jules Ferry jusqu'à Pierre Mendès France.
J'en suis sorti – et je suis sûr que je ne suis pas le seul – plein de tristesse et de regrets devant les erreurs à répétition de nos hommes politiques et de nos généraux. Bien sûr il y a eu quelques gouverneurs remarquables, mais ce fut quand même tout au long une série d'occasions manquées.
Il y manque un bilan économique et social de ce siècle de colonisation française. C'est dommage.
Lorsque nous sommes passés au Vietnam il y a quelques années, en parlant avec des locaux, nous n'avons pas trouvé trace d'acrimonie contre la présence française. Par contre les Américains…
Autant en emporte le vent.
À propos, c'est le 1er janvier, et je vous souhaite une excellente année 2014.
Jacques B
C'est à Louise Hervieu, en 1938, que l'on doit l'attribution par les pouvoirs publics d'un carnet de santé gratuit pour chaque nouveau-né.
Le 1er juin 1939, un arrêté ministériel institue le carnet de santé à l'usage des citoyens français.
Jeanet
Derrière cette définition - "C'est un canard" - se cache un morceau de bœuf. Lequel ?
Réponse lundi prochain
Réponse "À vous de jouer n°282"
Que fait-on en Russie au moment des 12 coups de minuit ?
Pierre-André Hélène est un amoureux de la "Belle Époque".
Dans le magnifique décor des salons "Art Nouveau" de chez Maxim's jusqu'au 30 mars 2014 il nous présente à l'aide de photographies circonstanciées le vie de "Colette".
Tous les jours (sauf le lundi et le mardi) il nous convie à une visite guidée passionnante à 15h15 et 16h 30. Allez-y vous ne serez pas déçus.
Jean-Paul
Jusqu'au 16 mars 2014 sur le thème "Les peintres témoins de leur temps" la Pinacothèque de Paris présente l'exposition "Goya et son temps". On y voit dans un grand nombre de gravures Goya porter un œil critique sur les pratiques religieuses en Espagne, s'intéresser à la vie quotidienne et nous dessiner les heures sombres de la guerre d'Indépendance.
Le peintre de la Cour d'Espagne n'est pas, non plus, oublié. À part dans ses derniers portraits Goya s'insurge contre son temps dégageant une grande violence hélas, bien réelle dans cette époque troublée.
Jean-Paul
Si vous n'avez pas encore lu "1918 la terrible victoire" (note du 13-12-2013) vous ne pouvez , si vous voulez suivre la chronologie des faits historiques, que vous plonger dans "1914 Le destin du monde".
Cette année-là l'avenir de la France et de l'Europe s'est scellé.
Comme toujours Max Gallo sait nous rendre compréhensibles les tueries du XXeme siècle en établissant le déroulement chaotique des évènements qui ont conduit "de la paix des premiers mois de 1914 à l'incendie qui embrase l'Europe à compter de juin et brûle les blés mûrs du mois d'août".
Jean-Paul
