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ARVEM ASSOCIATION - Page 273

  • Marie-Claire auteur, compositeur, interprète

    Marie-Claire, adhérente Arvem, interprète ses poèmes, chansons et chroniques (interactives avec le public) tous les mardis chez Adel, 10 rue de la Grange aux Belles, à Paris 10è (métro République ou Jacques Bonsergent) de 18h30 à 20h.

    Elle jouera également, le Samedi 23 novembre à la Médiathèque d'Arcueil, 1 rue Louis Frebaut (M° Laplace) de 16h à 18h et le 21 décembre, 21 heures à la Goutte Rouge, 19 rue Polonceau à Paris 18è (métro Barbès-Rochechouart) avec d'autres poètes et musiciens.

    Jeanet

     

  • Expo "Jordaens"

    Désirant visiter l'exposition du Grand Palais "Braque", mais constatant qu'une attente d'une heure se profilait, j'ai préféré traverser l'avenue et me diriger vers le Musée du Petit Palais où l'on rentrait, sans coup férir, dans l'exposition présentée jusqu'au 19 janvier 2014 "Jordaens (1593-1678) la gloire d'Anvers".

    Je ne regrette absolument pas. Cette exposition est superbe. Du trio de tête de la peinture flamande du XVIIeme siècle Rubens, Van Dyck, Jordaens, ce dernier mérite d'être mieux connu en France, cette exposition y participe avec bonheur.

    Les tableaux sont superbes leur présentation bien étudiée. Des initiatives sont à noter comme la réalisation d'un atelier de peinture et pour clôturer un cabinet de "curiosités".

    Cette exposition est un enchantement.

    Jean-Paul


  • Lire "La liste de mes envies de Grégoire Delacourt"

    paris,livreJ’en avais entendu parler mais j’avais dit plus tard peut-être…

    Ce roman, paru tout récemment en livre de poche, je l’ai dévoré.

    L’histoire de cette mercière, de son quotidien, de son physique ingrat, de son couple, puis de sa vie qui bascule (mais pas comme on pourrait s’y attendre…) C’est doux, c’est tendre, c’est triste voire terriblement triste…

    Mais "le bonheur, c’est de continuer à désirer ce qu’on possède" a dit quelqu’un…

    Ce livre m’a donné envie de lire aussi le premier roman de cet auteur, l’Ecrivain de la famille. Si vous l’avez lu, donnez-moi votre avis…

    Colette C

  • À vous de jouer ? (274)

    En 1922, Édith Piaf :

    • devient chanteuse des rues
    • devient célèbre
    • a une petite fille

    Réponse lundi prochain


    Réponse  "À vous de jouer n°273"

    Que signifie ce panneau ?

    paris

     

     

     




     

    • Vous n'êtes pas obligés d'emprunter la bande ou piste cyclable

     

    Ci-dessous le panneau signifiant votre obligation d'emprunter la bande ou piste cyclable

    paris,à vous de jouer

  • La Château d'Asnières

    Aviez-vous connaissance de ce château ?

    Après enquête, apparemment peu de gens connaissent son existence. Cependant qui pourrait croire que cet édifice du XVIIIe siècle fut dépouillé, tellement il a belle allure, à première vue !

    Mais revenons aux sources. Le Marquis Marie René de Voyer d'Argenson âgé de 28 ans, fils du ministre de la guerre de Louis XV, se destine à une carrière militaire : excellent cavalier, connaisseur en chevaux, lettré, amateur d'art, il introduit en France des races chevalines anglaises, et organise des haras.

    En 1750 jouissant de la faveur du roi il est nommé gouverneur de Vincennes, directeur des haras royaux.

    Pressé par la nécessité d'installer un "dépôt de chevaux" non loin de Versailles, il lui faut un vaste terrain, une belle demeure, des écuries...

    De 1750 à 1752 il acquiert plusieurs propriétés dont "la seigneurie d'Asnières" et 23 autres ainsi de nombreux hectares sont regroupés. Il fait construire un bâtiment dans le style rocaille (mélange de fleurs, fruits, mythologie) par Jacques Hardouin Mansart de Sagonne (petit fils de Jules Hardouin Mansart).

    paris,asnièresSur la belle façade refaite entièrement, on découvre à l'entrée 2 personnages : Apollon et Vénus, des mascarons au-dessus des fenêtres de forme arrondie pour celles du rez-de-chaussée et droite pour l'étage, une toiture en terrasse inhabituelle.

    La porte était ouverte, nous entrons, lire la suite

    (Plus de photos, cliquez sur l'image)

  • Programme de Novembre 2013

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble,Tarot et belote
    Lundis 4, 18, 25 novembre de 18h30 à 21h30
    Samedi 9 novembre de 10h30 à 12h30

    Jeudi 7  novembre à 18h
    Expo "Les sœurs de Napoléon au Musée Marmottan

    Samedi 9 novembre à 14h15
    Discussion de Jean-Paul : Madame Campan

    Mercredi 14 novembre à 18h30
    Billard américain

    Samedi 23 novembre à 18h30
    Soirée beaujolais

    Samedi 30 novembre
    XVIIIème en fête : 15 h Film Barry Lyndon, 19h30 Concert "Duo clariana", 21h Deux pièces de Marivaux "Le legs" et "les acteurs de bonne foi"

  • Théâtre "Un homme à la mer"

    paris,théâtreUn homme à la mer" de Chigo de Chiara par la compagnie Aurore.

    Cette sortie au théâtre organisée par l'Arvem a permis une double découverte.

    Celle du Centre Culturel Auguste Dobel, bien équipé, même si la Compagnie Théâtrale Aurore souhaite trouver une salle de spectacles plus adéquate, notamment quant au nombre de places. Et celle d'un auteur italien, polyvalent, qui a consacré sa vie au théâtre : traducteur de textes anciens, essayiste, metteur en scène, scénariste.

    Le propos est très actuel, et sans doute a présidé au choix de cette compagnie de la RATP : le licenciement d'un cadre d'entreprise qui le laisse désemparé, tournant en rond chez lui, et s'inventant comme cela s'est produit ; parfois avec des conséquences dramatiques, un nouvel emploi... tout fictif pour rassurer sa femme.

    La mise en scène faisant intervenir le vécu chaotique et pluriel du personnage devant sa psychiatre est très efficace. Les obsessions diverses : désir, haine, désespoir prennent corps, commentées placidement par le docteur Kappa (Brigitte Plançon).

    Saluons son jeu maitrisé, correspondant au rôle, et faisant éclater par contraste, souvent humoristiquement, l'exubérance du "chômeur" admirablement interprété par Hugo Clément.

    Contrairement à certaines citations de critiques, je ne trouve aucune démesure, au sens d'extravagance, à ce personnage, si proche en fait de bien des sacrifiés du système, jusque dans le haut de l'échelle.

    Il se bat, et pour s'en tirer, il imagine. Il va même jusqu'à se trouver lui-même une autre formation, étrange, qui le délivrera de son ancienne aliénation ; si pour finir il se laisse reprendre par celle-ci, et renonce à ce projet grandiose et un peu fou, il en construit méthodiquement les prémices.

    Hélas, la mort qui faisait partie de l'utopie deviendra celle de la réalité à laquelle il l'a sacrifiée...

    Terrible ironie du sort qui colore tragiquement cette comédie et nous fait rétrospectivement mesurer la gravité de situations semblables.

    Marie-Claire C