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ARVEM ASSOCIATION - Page 170

  • Où déposer ses radiographies ?

    Actuellement vous triez les ampoules, le papier, le verre, les vêtements, le plastique ...... mais savez-vous où déposer vos radiographies argentiques et/ou numériques, à Paris ?

    • Dans un point tri mais pas n'importe lequel.

    Il y en a deux, un dans le 13è et l'autre dans le 15è. Ils qui sont ouvert tous les jours de 9h00 à 18h30, fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre

    Point Tri Vincent Auriol (13e)
    Face au 132, boulevard Vincent Auriol
    (sous le métro aérien, au niveau de la station Nationale)
    Tel : 01 45 83 06 15

    Point Tri Pasteur (15e)
    Face au 13, boulevard Pasteur
    (sous le métro aérien, au niveau de la station Sèvres-Lecourbe)
    Tél : 01 45 66 72 41

    Vous pouvez également déposer vos clichés radiographiques (sans enveloppe ni papier) dans des points de collecte de la société Rhône-Alpes-argent. Les points de collecte pour le 12è sont :

    - le centre de santé Robert Pommier - 52 avenue Général Bizot

    - Le centre d'imagerie Diderot - 134 bd Diderot

    Jeanet

  • Bons baisers de l’hôtel de Salm…(1)

    parisOu plus précisément du musée national de l’ordre de la Légion d’honneur et des ordres de  Chevalerie (Créé en 1925 par souscription nationale et internationale dont une importante participation américaine).

    Par une belle après-midi de décembre 2016, nous avons visité, dans un cadre associatif, ce très intéressant musée sous la houlette d’une conférencière à la fois très érudite et pleine d’humour.

    Le musée présente ses collections permanentes dans  des espaces thématiques consacrés :

    • à l’histoire du palais et à la création du musée
    • aux ordres chevaleresques et religieux
    • aux ordres royaux français
    • à la Légion d’honneur, ordres impériaux et souvenirs du premier empire
    • aux ordres étrangers
    • enfin, aux ordres, décoration et médailles français de 1789 à nos jours

    C’est le seul musée au monde consacré à la Phaléristique, c’est-à-dire la science auxiliaire de l’histoire qui a pour objet l’étude des ordres, décorations et médailles.

    Comme le disait Montaigne il y a quelques siècles : "cela a été une belle invention reçue de la plupart des polices du monde d’établir certaines marques  vaines et sans prix pour honorer et récompensé la vertu. Nous avons pour notre part, et plusieurs de nos voisins, des ordres de chevalerie qui ne sont établis qu’à cette fin. C’est à la vérité une bonne et profitable coutume de trouver moyen de reconnaître la valeur d’hommes rares et  excellents et de les contenter et satisfaire par des paiements qui ne chargent aucunement le public qui ne coûtent rien aux Prince" (les titulaires de la Légion d’honneur reçoivent une pension annuelle de 8 euros…)

    Tout d’abord au premier niveau une salle consacrée aux grands Ordres de Chevalerie principalement à l’ordre de Malte ou plus exactement à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte (nous avons une pensée particulière pour les chrétiens d’Orient aujourd’hui persécutés : ils furent les premiers chrétiens…)

    Les types de ces grands ordres sont notamment : l’ordre du Temple, l’ordre du Saint  Sépulcre : les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem où ordre de Malte, l’ordre de Saint-Lazare de Jérusalem et quelques autres qui ont disparus.

    La salle suivante nous présente un immense tableau de Van Loo représentant le roi Henri III créant l’ordre du Saint Esprit. Puis un autre tableau consacré à l’ordre royal de Saint-Michel, sans oublier l’ordre de Saint-Louis.

    Nous découvrons ensuite l’histoire de la création de l’ordre de la Légion d’honneur(le Rouge) par Napoléon 1° en 1803. À l’origine, il récompensait les actes de bravoure (le rouge du sang versé) et des services éminents rendus à la nation. Depuis, il s’est-hélas diversifié vers d’autres publics : les artistes, les écrivains, les sportifs et notamment les footballeurs, les chanteurs etc. Nous pouvons voir les versions successives des médailles au fil du 19e puis du 20° siècle.

    parisNapoléon créa également de nombreuses décorations à travers son empire.

    À la suite, c’est une salle consacrée aux ordres étrangers : "honni soit qui mal y pense…". C’est bien sûr l’ordre anglais de la Jarretière qui nous est présenté, puis celui du Bain suivi par le légendaire collier de la Toison d’or et bien d’autres, aux noms parfois curieux et exotiques, comme l’ordre du chrysanthème japonais.

    Au premier étage, c’est l’époque contemporaine qui est illustrée et particulièrement la première guerre mondiale.

    Une section est consacrée à l’Ordre national du Mérite(le Bleu) créé par le général De Gaulle en 1963, afin de mettre fin à la prolifération d’ordres français divers et variés, en les regroupant dans un ordre unique qui doublait la Légion d’honneur. (Malheureusement, cette ambition n’a pas été vraiment respectée : de nouveaux ordres ont vu le jour ou ont été ressuscités et le bleu est devenu généralement l’antichambre du rouge…)

    <>Une pensée émue pour l’Ordre de la  Libération, créé par le Général de Gaulle à Brazzaville en 1940, dont le millier de dignitaires a maintenant disparu. Gloire à eux !

    Rappelons l’ordre hiérarchique des ordres français : Légion d’honneur –  Croix de la  Libération (désormais pour mémoire) –  Médaille  Militaire –  Ordre du  Mérite.

    En conclusion  nous avons salué une excellente présentation des différents objets, peintures, meubles et décorations (des milliers) reflétant cette histoire séculaire, française, européenne et  ultra marine.

    Non seulement une signalétique tout à fait correcte mais aussi des bornes de consultation et des écrans interactifs. Et des banquettes et des fauteuils pour se reposer de temps en temps, ce qui est malheureusement trop peu fréquent dans beaucoup de musées français. N’hésitez pas à le visiter et revisiter : le métro Solferino est à 200 m et la visite est gratuite !

    Jacques des Marguettes

    (1) la famille de Salm est de vieille noblesse française (lotharingienne !) issue d’une petite principauté de l’Est. Elle existe toujours après 12 siècles !!!

  • Lire "Déshabillons l'Histoire de France"

    Ayant vécu son enfance et sa jeunesse au Clos-Lucé Gonzague Saint Bris se trouva tout jeune entraîné dans les soubresauts de l'Histoire particulièrement dans les évènements qui mirent en scène le sexe (François 1er qui fréquenta son lieu d'habitation était un maître dans ces "ébattements").

    Son livre nous entraîne de nos ancêtres les Gaulois à la "Grande Guerre" en passant par le Moyen-Âge, la Renaissance, le siècle du Roi Soleil, celui des Lumières sans oublier la Régence, la Révolution, l'Empire et la période Romantique menant à la Belle Époque.

    Un parcours de l'Histoire de France où le lecteur déambule avec ravissement.

    Jean-Paul

  • Expo "Quoi de neuf au Moyen Âge"

    Jusqu'au 6 août 2017 la Cité des Sciences et de l'Industrie du Parc de la Villette vous invite à vous interroger : Quoi de neuf au Moyen Âge ?

    Eh bien cette époque parfois si méprisée ("on n'est plus au Moyen-Âge"!) est d'une très grande richesse. De nombreux jeux inter-actifs vous le prouveront et la Reine Radegonde et Hildegarde de Bingen en personne vous le confirmeront. Les petits et les grands ne peuvent qu'être des visiteurs admiratifs de cette exposition qui les entraînent hors des sentiers battus.

    Jean-Paul

     

  • Programme mai 2017

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 15, 22 & 29 mai de 18h30 à 21h30
    Samedi 6 mai  à 10h30 & 17h15

    Échecs
    Lundi 15 mai de 18h30 à 21h30

    Bridge
    Lundi 22 mai de 18h30 à 21h30

    Samedi  6 mai à 14h30
    Discussion de Jean-Paul : Les Templiers

    Mercredi 10 mai à 18h30
    Billard américain

    Samedi 13 mai à 7h50
    Journée dans l'Eure en car : Gisors & Musée des légendes à l'Abbaye de Mortemer

    Lundi 15 mai à 19h
    Atelier d'écriture

    Samedi 20 mai à 14h30
    Promenade de Jean-Paul : Le Temple et les Grands Boulevards

    Mardi 23 mai à 18h30
    Atelier photos : Visionnage et commentaires de la balade photos "rue Mouffetard"

    Dimanche 28 mai à 16h45
    Renata à la Comédie Bastille

     

  • Coucou

    Comme ce mois-ci
    Je n'ai participé
    À aucune sortie
    Qui était proposée,
    Donc pas de texte à écrire !
    Serait-ce un manque ?
    Alors vite un délire
    Que mon imagination invente.

    Je pense à ceux qui se promènent
    Se cultivent avec Arvem
    Pendant que je tire ma flemme.
    Prendre la plume sans peine,
    Pour le simple plaisir
    De ce papier à noircir

    Drôle d'idée ! Vous pensez
    Sans aucun doute,
    Ne sachant pas s'occuper
    Son esprit se déroute.
    Mais, non ! Je suis à votre écoute
    Sinon, le poème du mois...
    Eh bien, il n'y en a pas !

    Une vraie drogue ma foi
    Que de vous parler sans voix.
    Bien sûr ne pas oublier
    De vous signaler,
    Qu'une autre fois avec vous
    Je serai au rendez-vous
    Afin de vous résumer,
    Peut-être, un sujet corsé !

    Ninette

  • Voir "Love Letters"

    Au "Théâtre des Champs Elysées", Mylène Demongeot et Jean Piat nous font vivre une belle histoire qui dure à travers l'écriture.

    paris,théâtreMélissa et Andy se connaissent depuis leur adolescence, ils sont liés par une solide amitié.

    Elle a l'argent, mais sa vie est sans intérêt par manque d'amour des siens. Lui, a toujours été entouré dans une famille aimante, il va de l'avant. Venant chacun d'un milieu différent ils continuent leur chemin dans la vie tout en ayant un amour inavoué l'un pour l'autre.

    Ils s'écrivent régulièrement, parlent de leur nouvelle vie, se confient leurs projets, leurs échecs, leurs espoirs.

    S'écrire, lire, relire, comme si l'autre était tout près en prononçant ces mots, est un bonheur partagé. Mieux que le téléphone où les mots disparaissent à travers les ondes, ou l'ordinateur pouvant tomber en panne ou effacer les traces.

    Annickd

  • Lire "Juger la Reine"

    Emmanuel de Waresquiel nous donne toutes les informations permettant d'imaginer le décor qui vit du 14 au 16 octobre 1793 le Tribunal Révolutionnaire juger et condamner Marie-Antoinette.

    Les juges, les avocats et les jurés défilent devant le lecteur. L'auteur s'intéresse à leurs antécédents et nous convie à connaître la suite de leur carrière bien souvent interrompue par la guillotine à laquelle ils condamnèrent la Reine, malgré ses défenseurs.

    Une belle leçon d'Histoire.

    Jean-Paul