Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ARVEM ASSOCIATION - Page 160

  • Bons baisers de la réserve des Monts d'Azur

    En ce début du mois de septembre, alors que l’automne s’annonce (colchiques dans les prés, c’est la fin de l’été…) nous avons profité d’un séjour sur la Côte d’Azur pour visiter la désormais célèbre réserve des monts d’Azur, situé à Thorenc, à 1250 m d’altitude, dans un environnement exceptionnel, et ce, à une heure de voiture de la Riviera, en passant par la magnifique route de Gréolières en partant de Nice ou de Grasse.

    Accueil chaleureux, excellent déjeuner sur place avec un service très convivial et surtout, rencontre avec les bisons de Pologne et les chevaux de Przeswalski.

    Ces derniers sont en effet célèbres car ils sont les derniers représentants de chevaux que l’on croyait à jamais disparus (ils figurent notamment sur les parois de la grotte de Lascaux avec leur crinière typique en brosse) et ont été miraculeusement retrouvés en Mongolie par un explorateur polonais au XIXe siècle.

    On peut les voir, soit en marchant le long d’un sentier balisé, soit en calèche, traîné par deux robustes chevaux boulonnais avec le commentaire d’une jeune guide passionnée et compétente.

    On observe au cours de la visite deux groupes séparés de chevaux et deux groupes séparés de bisons, qui semblent tous vivre en bonne intelligence. Il y a aussi des cerfs, des biches, des sangliers et maints autres animaux et aussi… le plus petit canard du monde sur un étang. La réserve est ouverte toute l’année et les animaux sont donc en permanence dehors.

    Créé et animé depuis une dizaine d’années par un jeune couple sympathique et dynamique, le succès est venu rapidement.

    Il y a bien sûr d’autres possibilités : séjours sur place (petit hôtel) et randonnées dans les montagnes proches.

    Si vous en avez la possibilité, n’hésitez pas à faire cette visite, authentique et gratifiante, qui fait du bien.

    Jacques et Nicole

  • Notre Assemblée Générale

    En ce samedi d’octobre, mois célèbre pour une certaine Révolution, nous étions si nombreux à notre Assemblée Générale Consultative, que “l’hémicycle” en était même trop étroit !

    Cette sympathique réunion s’est déroulée dans le calme, laissant les intervenants s’exprimer clairement et vos souhaits émis, recueillis pieusement, sollicitant votre patience pour les voir se réaliser.

    Le compte rendu confirmera tous les détails de nos idées échangées.

    Pour clôturer la séance, le buffet préparé avec attention, aussi varié que possible, bien garni et léger à la fois, vous a récompensés pour votre venue, et nous étions ravies de constater que vous l’aviez apprécié, en retrouvant les plats soulagés de leur contenu, ce qui nous fit grand plaisir !

    C’était l’heure du déjeuner, vous avez bien fait de prendre des forces pour soutenir la Révolution Russe l’après-midi, journée non-stop pour les plus courageux (es)!

    Merci à tous, évidemment on compte sur vous l’année prochaine !

    Ninette

  • Lire "Lénine, l’inventeur du totalitarisme"

    paris,livreAprès avoir participé en 1997 à la rédaction du “Livre noir du communismeStéphane Courtois s’intéresse dans ce dernier ouvrage à Lénine nous démontrant qu’en fait il fut “l’inventeur du totalitarisme” à rebours de l’idée dominante qui accable en priorité Staline, alors que celui-ci n’en fut que son disciple.

    Pour l’auteur en attaquant sans cesse ses rivaux et en instaurant une culture de la violence et de la soumission, Lénine favorisa la montée des extrêmes qui endeuilla le XXeme siècle et blessa à mort la vieille Europe.

    Un livre à lire de toute urgence pour mieux appréhender le centenaire de la Révolution d’Octobre et mieux comprendre le siècle qui vient de s’écouler.

    Jean-Paul

  • 2 - Atelier écriture "Brodez un texte à partir de : J'aime la pluie

    Tiens, aujourd’hui il pleut ! Certains vont se plaindre : "Encore il pleut" "Quel temps de chien".

    D’abord pourquoi un temps de chien ! Les pauvres, Ils n’y sont pour rien eux s’il pleut !! Cela n’est pas de leur faute !! Bof de toute manière, y’en a qui sont jamais contents de rien ! Qu’il pleuve, qu’il vente, et même quand il fait beau ! Et bien "OUI" Moi j’aime la pluie !

    Je ne dis pas que je n’aime pas le soleil. Mais oui, j’aime aussi la pluie ! Hum, c’est bon la pluie… Hum, ça sent bon après. L’herbe a un parfum bien particulier. Et puis réfléchissons… Lorsqu’il ne pleut pas… Hé bien, il faut arroser les fleurs du jardin pour qu’elles poussent, et puis tout se dessèche… Plus de légumes, plus de fruits… plus de fleurs !

    Mais attention ne pas confondre avec le déluge ! Mais j’aime la pluie ! Une paire de botte, un imper, un panier…. hé hop ! On va chercher les escargots.

    Dans les bois, on n'entend que la pluie qui caresse les feuilles. Tout se tait. Tous se calfeutrent.

    Et puis, avez-vous remarqué à la mer, sur la plage, les baigneurs quand il pleut, ils sortent de l’eau en courant !! Pourquoi !? Ridicule ! Puisqu’ils sont déjà mouillés ! En plus, l’eau de la mer est encore plus chaude quand la pluie vient lui chuchoter aux vagues. Moi, je vous dis, J’aime la pluie ! Mais j’aime aussi le soleil… à l’ombre des cocotiers !

    Arletteck

  • Le flash radar dans les virages

    Radar_virage.pngIl existe depuis peu un nouveau type de radar, le radar placé à l'entrée ou à la sortie d'un virage et capable de flasher (prendre une photo si l'excès de vitesse est constaté au milieu d'une courbe). Il a été testé pour la première fois dans le Var le 16 septembre 2017 et doit être prochainement déployé dans toute la France.

    Tous les radars placés à l'approche d'un virage dangereux seront annoncés par un panneau indiquant le contrôle. Concernant ce nouveau type de radar, il pourra notamment être déployé sur les routes de montagne.

    Jeanet

  • Promenade au Luxembourg

    Sous un coin de parapluie a débuté la promenade jusqu’à la monumentale fontaine Médicis où batifolent d’heureux canards entre la cascade et le bassin.

    Le jardin pratiquement vide en ce dimanche au ciel capricieux, nous a permis aisément de faire le tour auprès de ses Grandes Dames du Haut Moyen Age jusqu’au XVII e siècle, qui n’ont plus de secret pour nous.

    paris,jardin,luxembourgSur le parcours, nous avons admiré le beau jeune homme “marchand de masques” qui nous a incité à identifier les visages sculptés à ses pieds.

    Puis nous profitons d’un rayon de soleil pour découvrir la plaque commémorative signalant l’emplacement où furent fusillés des communards (des traces de balles sur le mur sont encore visibles).

    Au passage on peut jeter un regard admiratif sur les superbes massifs de fleurs si bien entretenus par une soixantaine de jardiniers !

    Curieusement nous remarquons le ballet de chaises vides pêle-mêle ; certaines étant marquées du symbole “sénat” signe de leur appartenance. Jusqu’en 1975 pour les occuper, il fallait payer auprès de la chaisière. (Je me souviens comme au Jardin des Plantes... Celles du Luxembourg devaient être jolies, il parait que Lénine demeurant à Paris, serait tombé amoureux de l’une d’entre-elles).

    Nous contournons le bassin octogonal où des enfants comme jadis, s’activent avec leurs petits bateaux. Subitement me vient à l’esprit qu’il manque des gamins jouant avec leurs cerceaux.

    Poursuivons notre visite, passons devant l’espace verdoyant autrefois mal famé, indésirable, car lieu de séjour des brigands (d’où l’expression “au diable vauvert”) remplacés par des Chartreux eux-mêmes expulsés à la Révolution.

    Hormis devant les Dames en pied de ce jardin, nous nous sommes arrêtés face au médaillon de Stendhal par Rodin, La bouche de la vérité, George Sand assise, Flaubert, et près du verger, Baudelaire invisible car la statue est enveloppée, comme également d’autres, en vue d’un nettoyage supposé.

    Pas de bouches closes, mais au contraire grâce aux mémoires aguichées, des poésies allègrement ont été reprises en chœur. Courageusement nous reprenons notre balade vers le Pavillon de la Pépinière pour écouter un extrait des Misérables relatant le lieu où Marius rencontrait Cosette.

    Soudainement nous constatons que de nombreux parisiens sont sortis de chez eux, profitant de l’éclaircie, pour noircir les allées par leur présence et animer l’horizon.

    paris,jardin,luxembourgTout en croisant de multiples joggeurs, notre attention se tourne encore vers la statue de "La Liberté éclairant le monde“ et le “Triomphe de Silène” magnifique bacchanale, composition imposante de Dalou, avant de retrouver le buste récent de Stéphan Zweig et celui de Beethoven de Bourdelle.

    Passons devant l‘Orangerie aux fenêtres ouvertes laissant apparaitre palmiers et orangers, pour terminer devant la fontaine de Dalou qui rend hommage à Eugène Delacroix.

    Presque 3 heures de promenade culturelle gratuite, avec un guide connaissant parfaitement les personnages, capable d’élargir à souhait leur histoire, avec la totale reconnaissance des plus courageux(es) qui en ont pris plein les yeux, plein les oreilles....et “plein les bottes “!

    Ninette