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paris - Page 186

  • Atelier d'écriture de janvier

    En ce début d'année à l'atelier d'écriture, parmi différents sujets il était proposé de continuer sur ces quelques mots : "C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant"...
    Sept participants ont donné sept textes différents dont celui-ci.


    C'était un jour comme les autres semblait-il, et pourtant...

    Monsieur Henri comme d'habitude, entre au bistrot de son quartier afin de se restaurer. C'est un habitué, le patron le connaît bien. Du Lundi au samedi, à midi quinze précise, il est souvent le premier client.

    Par un pas tranquille, il se dirige au fond de la salle et s'installe comme toujours à la même table. Il pose son chapeau sur la chaise face à lui et d'un regard inquiet fait le tour des lieux.

    Ce n'est pas comme d'habitude, les clients sont rares et ceux qui sont là semblent pensifs. Les fidèles, il les connaît bien. Il y a le couple d'amoureux qui se dévore des yeux plus qu'il ne mange, Il y a le vieux monsieur que l'on voit à peine, caché derrière son journal, mais il y a surtout la dame au manteau vert. Comment ne pas la remarquer...

    Personne de tous ces habitués n'est là. Pourquoi la dame au manteau vert est-elle absente? Il connaît sa ponctualité, le temps dont elle dispose, ses goûts gastronomiques. Parfois il a eu la tentation de l'aborder, mais craignait de la retarder, son temps semblait être compté. Sont-ils donc tous malades ou bien en vacances ? Nous ne sommes pas dimanche se dit-il. Depuis que Monsieur Henri est en retraite il n'a pour seul repère que ce jour là, son petit restaurant étant fermé Il doit donc se contenter d'un plat surgelé à la maison.

    Le patron semble pressé, il a constamment le regard vers la pendule.

    Et Monsieur Henri est toujours obsédé par l'absence de la dame au manteau vert.

    Soudain, dans la rue un brouhaha attire son attention. Des enfants courent et chantent en poussant la porte d'entrée dans des éclats de rire. Et surprise, la dame au manteau vert apparaît derrière sa marmaille qui s'exclame en chœur "Joyeux Noël Monsieur Henri".

    Eh oui, Monsieur Henri vit seul, n'est pas entouré, pour seule compagnie n'a que son chat. Il n'a plus aucune notion de toutes ces fêtes, et ne croit plus au père Noël depuis bien longtemps.

    Alors les enfants l'entourent, lui déposent des chocolats dans son chapeau et l'embrassent.

    La dame au manteau vert l'invite alors à venir déjeuner en famille. "Notre appartement n'est pas très grand, mais vous serez mieux qu'au restaurant" insiste t-elle. Et tout ce petit monde est heureux de repartir avec Monsieur Henri.

    Annick D

  • Expo "On l'appelait Chocolat"

    paris,expositionLa Maison des métallos 94 rue Jean-Pierre Timbaud XIeme présente du 3 au 28 février (du mardi au samedi 14h - 20h et le dimanche 14h -19h Entrée libre) "On l'appelait Chocolat", une exposition sur cet artiste sans nom qui fit courir avec son compère Footit "Le Tout Paris" de la Belle Epoque.

    Vous y découvrirez, dans un lieu très lumineux, des documents exceptionnels (affiches, photographies, dessins, archives sonores, films,...) présentés pour la première fois au grand public par l'historien Gérard Noiriel, commissaire auteur de la biographie "Chocolat La véritable histoire d'un clown sans nom " .

    Vous profiterez en visitant cette exposition d'un bon complément au film "Chocolat" de Roschdy Zem où excelle Omar Sy.

    Jean-Paul

  • Film "Chocolat"

    paris,filmCe film raconte tout d'abord la formation à la fin du XIXeme siècle du duo célèbre dans le monde du cirque de Footit le clown blanc autoritaire et de Raphael Padilla un Noir d'origine cubaine (le premier clown noir) son souffre-douleur.

    Il raconte surtout le racisme ordinaire qui existait à cette époque et perdura durant le XXeme siècle (a-t-il totalement disparu ?)

    Un film a voir sans attendre. Omar Sy "Chocolat" y est émouvant à souhait.

    Jean-Paul

  • Film "Spotligth"

    paris,filmÀ Boston, un prêtre est accusé de pédophilie. Les plus hautes sphères du clergé sont informées mais personne ne bouge. Après enquête d'autres ecclésiastiques sont aussi mis en cause. Les nombreuses victimes se taisent ou ne sont pas crues, devenues adultes elles accusent avec difficultés malgré tout. Tout le monde sait, mais des pressions étouffent l'affaire. Jusqu'à ce que la presse s'en mêle...
     
    Des faits identiques se sont passés aussi en France dans des lieux d'accueil pour enfants. 

    Très bon film.   

    Annick D.

  • Réponse "à vous de jouer n°391"

    Mon premier est un pronom personnel dit "réfléchi" (3ème pers. singulier)
    Mon deuxième tire-bouchonne le derrière du cochon
    Mon troisième est une moitié de tutu
    Mon quatrième est un adjectif démonstratif
    Mon cinquième est une conjugaison du verbe "avoir", ou une préposition
    Mon sixième est le son de la lettre "P"
    Des élèves qui rentrent dans la classe forment mon septième
    Mon huitième est un article défini masculin singulier
    Mon neuvième est un chapeau anglais
    Mon dixième est un pronom personnel indéfini
    Jeanne d'arc a, parait-il, entendu mon onzième
    Mon douzième est le son d'une lettre évoquant le bourdonnement
    Mon treizième est le premier entier plus grand que 0

    Mon tout est un proverbe chinois

    • Ce que tu sais, apprends-le à ton voisin
  • Expo "Le Marais en héritage(s) "

    Marais héritage.jpgLe Musée Carnavalet présente jusqu'au 28 février " Le Marais en héritage(s)". De nombreuses maquettes vous sont présentées. Des entretiens vous sont proposés (notamment avec André Malraux, il y a 50 ans, Ministre des Affaires culturelles et Pierre Sudreau Ministre de la construction...)

    De multiples photos vous sensibilisent au triste Marais de l'époque (la saleté) redevenu plus gai de nos jours.

    Une visite dans les collections permanentes s'impose. Les salles sont mieux aménagées, dans la cour de l'Hôtel la statue de Louis XIV est mise en valeur.

    Le Musée s'est dépoussiéré à l'imitation du Marais.

    Jean-Paul

  • Discussion "Élisabeth Vigée Le Brun

    paris,vigée le brunCette peintre renommée, préférée de Marie-Antoinette, ne pouvait qu'attirer bon nombre de courtisan(es) invités à la discussion précédant "la Fête des Rois", de notre "Cour amicale" !

    Cette Élisabeth Louise est née le 16 avril 1755 d'un père aquarelliste et d'une mère coiffeuse, fut élevée  dans un couvent rue de Charonne.

    Initiée par sa mère au goût de la peinture en l'entraînant autour de belles collections au Palais du Luxembourg ainsi qu'à Bruxelles admirer l'œuvre de Rubens entre autres.

    Mais déjà, petite fille douée elle dessine, fait des aquarelles et son père l'encourage face à son talent.

    paris,vigée le brunCelui-ci décède quand elle a 12 ans. Sa mère se remarie la même année avec un joaillier très avare qui profitera des ventes de tableaux de sa belle-fille.

    - À 15 ans elle réalise le 1er tableau de sa mère. Durant sa vie, elle fera d'innombrables portraits et auto-portraits.

    Lire la suite ICI

  • Programme février 2016

    Jeux de société
    Vous cherchez des partenaires, vous désirez vous initier ! Venez nous rejoindre.

    Scrabble, tarot, belote
    Lundis 8, 15 & 22 février de 18h30 à 21h30
    Samedi 20 février à 10h30 & 17h15

    Échecs
    Lundi 8 février de 18h30 à 21h30

    Bridge
    Lundi 15 & 22 février de 18h30 à 21h30

    Mercredi 3 février à 18h30
    Atelier photos

    Mardi 9 février à 18h30
    Billard

    Dimanche 14 février à 14h
    Fêtons la chandeleur

    Samedi 20 février à 14h30
    Discussion de Jean-Paul : Alexandre Dumas témoin de son temps

    Lundi 22 février à 19h
    Atelier d'écriture

    Mardi 23 février à 20h20
    Spectacle musical "Cabaret du poilu"

    Samedi 27 février à 10h
    Rallye-parcours dans un musée parisien