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paris - Page 187

  • À vous de jouer ? (391)

    Mon premier est un pronom personnel dit "réfléchi" (3ème pers. singulier)
    Mon deuxième tire-bouchonne le derrière du cochon
    Mon troisième est une moitié de tutu
    Mon quatrième est un adjectif démonstratif
    Mon cinquième est une conjugaison du verbe "avoir", ou une préposition
    Mon sixième est le son de la lettre "P"
    Des élèves qui rentrent dans la classe forment mon septième
    Mon huitième est un article défini masculin singulier
    Mon neuvième est un chapeau anglais
    Mon dixième est un pronom personnel indéfini
    Jeanne d'arc a, parait-il, entendu mon onzième
    Mon douzième est le son d'une lettre évoquant le bourdonnement
    Mon treizième est le premier entier plus grand que 0

    Mon tout est un proverbe chinois

  • Lire "La France pour la vie "

    paris,livreC'est la première fois qu'un ancien Président de la République met entre les mains de ses lecteurs (quoiqu'il écrive à ce sujet) une déclaration de candidature à la prochaine élection présidentielle.

    On trouve dans ce livre une part de repentance (casse-toi pauv'con ! le yacht de Boloré, la Princesse de Clèves....) et une autre (la plus importante) de propositions s'il est élu en 2017 (la fiscalité, la réforme des retraites, mariage homo....)

    De toutes façons ce livre semble parti pour une plus grande diffusion que celle des ouvrages de ses divers concurrents. L'avenir proche nous le dira.

    Question pour l'avenir plus lointain : les électeurs accorderont-ils l'absolution pour l'acte de contrition ?

    Jean-Paul

  • Film "Nous 3 ou rien"

    C'est la vie des parents de Kheiron (comique, rappeur, acteur). L'histoire débute en Iran sous un climat politique difficile et pourtant le film traite tous les moments clés de la vie de son père, joué par Kheiron (donc, le fils), de la rencontre avec sa mère, jusqu'à leur arrivée et leur vie en France avec un humour, une bienveillance, un amour pour ses parents qui ne laissent personne indifférent.

    À l'issue de la séance, la salle était unanime : applaudissements naturels, avec des "formidable !" par ici et des "superbe !" par là.

    Je suis désolée d'avoir tarder pour en parler, parce qu'il est désormais à l'affiche dans peu de salles. Vous pourrez voir où ICI. Sinon, il sortira en DVD le 9 mars prochain.

    Laurence D

  • Expo "La mode retrouvée La Comtesse Greffulhe

    Si vous voulez vous régaler Mesdames, et vous Messieurs, aller à la recherche du temps perdu, je vous invite à me suivre.

    La comtesse était une femme hors du commun, tant par sa beauté, son maintien altier que sur le déroulement de sa vie, de ses actions époustouflantes si bien décrites dans le livre de Laure Hillerin "La comtesse Greffulhe L'ombre des Guermantes".

    Elle s'est employée dans divers domaines fréquentant les "hauts placés" de ce monde, tant en politique que dans les arts, musiciens, écrivains, que chez les scientifiques dont elle s'est faite mécène pour bon nombre d'entre eux, ainsi prenant une place très importante dans la société de l'époque, allant jusqu'à même envisager l'émancipation de la femme.

    Mais le plus important, justement, était de paraître et montrer qu'elle se voulait différente des autres femmes qui pouvaient être également en relief. Une personnalité originale, élégante, généreuse, artiste et visionnaire, d'une influence réelle. Très admirée des hommes (entre autre le jeune Proust), laissant planer un certain mystère, gardant un comportement de femme respectable, en un mot : la Classe !

    Elle a donc eu recours aux maisons et stylistes de la haute couture  comme, Félix, Worth, Poiret, Boulanger, Lanvin, Nina Ricci ( pas Chanel jugée trop ordinaire...)

    La superbe garde-robe présentée au Palais Galliera jusqu'en mars 2016, témoigne bien du goût et des moyens importants qu'elle possédait provenant de sa famille, également de son mari, volage et manipulateur qui vivait de son côté.

    Quelques modèles de la fin du XIXeme siècle sont particulièrement magnifiques, comme cette robe de velours de soie ciselé aux motifs de grenade, des robes brodées de fils d'or et d'argent ou cette splendide robe "byzantine" étincelante portée juste pour le mariage de sa fille entièrement brodée, couverte de pierreries, dont la traîne est bordée de zibeline.

    Des tenues portées une seule fois en général, sauf, une robe de velours noir munie de longues fleurs de lys blanches incrustées brodées de perles qui fut transformée car elle l'aimait particulièrement.

    Elle portait souvent des couleurs sombres, afin de mettre en valeur son teint sous sa chevelure auburn, créant même la mode du chignon placé au-dessus de la tête dénommé "le petit Greffulhe".

    Avec l'évolution de la mode dans les années 1920 qui abandonna les manches gigot, la taille de guêpe, le corps moulé dans le corset et la traîne, se livrant à la souplesse dans les matières et les formes, pour une silhouette plus fluide, on remarque encore des toilettes richement décorées, dentelles pailletées, des  motifs  originaux évoquant la Chine, l’Égypte après la découverte du tombeau de Toutankhamon.

    Des tenues d'intérieur, de ville, du soir, soieries, voile, emploi de perles pierreries, multiples broderies, fourrures, des chapeaux assortis, gants, souliers, sacs, éventails , à faire rêver ! Mais pas de bijoux! Non! Toujours pour se différencier, ceux-ci n'étaient pas dans ses convictions, mais plutôt réservés aux femmes faciles, ce qu'elles recevaient en échange de leurs frivolités.

    Figurent peu de documents photos, car la comtesse s'opposait à divulguer ces images, les réservant plutôt à ses proches. On découvre quelques croquis longtemps cachés du peintre Paul César Helleu, seul un portrait en pastel et deux petits films nous permettent d'apprécier cette femme légendaire pourtant si peu connue, disparue à 92 ans en 1952 et repose au Père Lachaise dans une chapelle. (Un jour si  vous le souhaitez, nous irons la saluer)

    Je me demandais comment cela se faisait-il qu'à cette époque elle ait pu avoir une telle place, une telle volonté, un tel pouvoir, une telle capacité à bousculer les foules, les principes, tenir un rang élevé dans ses salons, être respectée et admirée et survivre à trois guerres.

    Sans doute ce talent était-il dans ses gènes ? J'en ai eu la certitude en découvrant qu'elle était l'arrière petite- fille de Madame Tallien, mais également aidée par l'éducation reçue de sa mère, égale à celle de ses frères, intellectuellement et artistiquement. Cela explique tout ! Je reste pleinement admirative !

    Ninette

  • Lire "Jean Moulin L'ultime mystère"

    Pierre Péan a déjà écrit sur Jean Moulin "Vies et morts de Jean Moulin" et "La Diabolique de Caluire".

    Dans "Jean Moulin L'ultime mystère" il s'intéresse à l'une des fidèles parmi les fidèles, Antoinette Sachs qui lui gardera sa confiance jusqu'à sa terrible et, sous certains aspects, si mystérieuse fin.

    Des personnages bien connus dans l'après-guerre comme René Hardy, Lydie Bastien, Henri Fresnay reviennent à notre mémoire et vus sous un autre jour permettent une nouvelle lecture de cette période si sombre.

    Jean-Paul

  • (8) 2016 : Quelques nouveaux mots scrabble

    Mots en vigueur depuis le 1er janvier 2016 (*)

    • MOOC (n.m) Cours en ligne ouvert à tous / Pluriel : Moocs
    • SWIN (n.m). Variante simplifiée du golf / Pluriel : Swins
    • CÔT (n.m) Cépage rouge qui fournit le cahors / Pluriel : Côts
    • GIF (n.m.) Type de codage d'image, permettant une animation / Pluriel : Gifs

    Jeanet

    (*) ODS7 = 7è édition de l'Officiel du Scrabble