Qui a dit "mon seul rival international, c'est Tintin" ?
- Charles de Gaulle
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Qui a dit "mon seul rival international, c'est Tintin" ?
Ce samedi 20 août, il faisait un beau soleil sur Paris et nous avons décidé d’aller faire notre visite annuelle à Paris Plages, secteur voie Pompidou. En ce milieu de journée, il y a beaucoup moins de monde que d’habitude ! Cela permet une cohabitation paisible entre les piétons et les vélos.
Bienvenue au Louvre... au milieu des plagistes, des snacks et des glaciers, le célèbre musée, pour la troisième année consécutive, organise en effet une mini exposition en plein air au pied du tunnel des Tuileries, sur un espace blanc et bleu d’environ 100 m2 : "au Royaume de Neptune" avec des reproductions de statues célèbres, de tableaux et de mosaïques antiques.
En amont, au bord de la Seine, des reproductions de tableaux du peintre bordelais Albert Marquet qui s’avancent "comme des fenêtres ouvertes sur Paris et son fleuve" en provenance du Musée d’Art Moderne, nous permettent de renouer avec cet artiste au talent délicat.
Les chaise longues et les transats sur le sable sont occupés, mais pas tous. Beaucoup de propositions de jeux géants, notamment de dames et d’échecs. La piscine a disparue et la pétanque aussi, mais un brumisateur géant permet de se rafraîchir. Des animations sont prévues dans l’après-midi et la soirée.
Balade très agréable.... d’autant que, pour la première fois, la manifestation est prolongée jusqu’au 4 septembre . Heureux parisiens !
Jacques et Nicole
Photo choisie pour ce texte :
La brasserie LIP dans les années soixante. Deux personnes sont assises chacune devant une table.
Regards croisés
11 heures du matin, une brasserie de quartier tranquille, les habitués s’y retrouvent régulièrement. Georgette, 70 ans, bourgeoise, tirée à quatre épingles, sanglée dans son tailleur de tweed, impeccable, y vient le lundi, le mercredi et le vendredi. Le dimanche, elle va danser à La Coupole avec son amie Josette.
- Bonjour Francis, ma table est-elle libre, lance-t-elle en entrant dans la Brasserie LIP ?
Le barman la remarque à peine, tellement Georgette fait partie du paysage.
- La quatre, comme d’habitude. Une bouteille de chardonnay, c’est bien ça ? Je vous amène le seau à glaçons.
Georgette s’assoit, elle regarde alentour. Il y a très peu de clients pour le moment. Les uns sont partis travailler, les autres vont rappliquer vers midi pour déjeuner.
- Tu fais toujours ton pot-au-feu aux légumes avec os à moelle, Francis ?
- C'est justement le jour,
- Bien dans ce cas, en attendant l’heure, je vais lire les nouvelles fraîches.
Tu as reçu « Le Figaro » Francis ?
- Oui, il a été livré à 9 h. ce matin
- Alors donne-le-moi, avant que quelqu’un qui a du temps à perdre ait la même idée que moi.
- Voilà le journal
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Ce livre s'ouvre sur une condamnation sans appel (documentée à souhait) de Robespierre et se poursuit par la démonstration également sans équivoque que dans la Révolution Française, les grands hommes ont été des femmes.
Le trait est peut-être un peu forcé mais Michel Onfray en profite pour proposer au lecteur une nouvelle approche de cette période-clé de l'Histoire de France.
Il s'ensuit les portraits d'Olympe de Gouges, de Manon Roland, de Charlotte Corday, de Théroigne de Méricourt et de Germaine de Staël. Trois guillotinées sur cinq, ce monde machiste fut sans pitié envers ces femmes qui méritaient notre admiration.
Un livre passionnant écrit par un passionné.
Jean-Paul
Qui a dit "mon seul rival international, c'est Tintin" ?
Mon premier est une boisson
Mon deuxième est une boisson
Mon troisième suit quelqu'un discrètement
Mon tout est un prénom masculin
Si vous voulez entrer dans l'intimité de cet incomparable biographe que fut Stephan Sweig (Fouché, Marie-Antoinette, Marie Stuart...) allez voir "Stephan Sweig : Adieu l'Europe". Vous le suivez dans ses pérégrinations entre New-York et l'Amérique du Sud durant les dernières années de sa vie (ayant quitté l'Europe en 1936, il se suicida en 1942).
Un (*) film qui vous replongera dans une époque où l'on rêvait d'une Europe sans frontières et pacifiée. (On était loin du Brexit !)
Jean-Paul
Photo des 2 religieuses devant une station de métro, regardant le plan de PARIS.
- Ma mère, tu es sûre que c’est à la Porte de Versailles ?
- Mais oui ma sœur, il y a le Salon du Chocolat. On va trouver des religieuses et je pense qu’on pourra en manger. Hier, en piquant notre père je me suis trompée dans la dose. Il a dormi plus de douze heures… Allez !... On prend le métro. Je connais le poinçonneur, il nous fera passer sans payer. Il a une belle voix. Il doit habiter les Lilas. Il est souvent entrain de chanter "j’suis l’poinçonneur des Lilas ce gars qu’on croise..."
- Ça doit lui faire loin pour venir ici percer les tickets. Il va y avoir plein de monde à la Porte de Versailles ?
- C’est sûr, mais je crois qu’on ne nous laissera pas rentrer à cause de notre robe, c’est un signe ostentatoire.
Yvesck
La Maison de Balzac présente jusqu'au 2 octobre "entre mythe et réalité " l'exposition "Balzac et les artistes".
Vous serez comme toujours surpris par la richesse de ce XIXe siècle en artistes en tout genre. Vous découvrirez dans cette exposition entre autres l'importance du salon littéraire de Delphine de Girardin, les relations parfois fraîches de Balzac avec Hugo et les talents de peintre de Théophile Gautier.
Vous pourrez aussi découvrir la nouvelle présentation du cabinet de travail de ce bourreau de travail que fut Honoré de Balzac.
Jean-Paul
Mon premier est une boisson
Mon deuxième est une boisson
Mon troisième suit quelqu'un discrètement
Mon tout est un prénom masculin