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paris - Page 188

  • Lire "Un été avec Victor Hugo"

    Un été avec Victor Hugo.jpgLaura el Makki et Guillaume Gallienne nous permettent grâce à ce livre d'apparence modeste (d'apparence seulement) de mieux appréhender cet homme-océan que fut Victor, tout à la fois romancier, poète, dramaturge, pamphlétaire, académicien, Pair de France, député, (j'en oublie)...

    Le livre fermé et lu d'une traite, vous n'aurez plus qu'une envie : vous replonger dans une des œuvres de cet auteur qui échappe à la commune mesure.

    Jean-Paul

  • Pavillon de l'Ermitage

    Jusqu'au 17 juillet le Pavillon de l'Ermitage présente deux petites expositions.

    Au rez-de-chaussée c'est une représentation (1 panneau par édifice) de 12 "folies" parisiennes (douze édifices du XVIIIe siècle encore visibles aujourd'hui à Paris ou en région parisienne).

    Si vous grimpez au premier étage vous puiserez des informations sur des entreprises pionnières de l'Est parisien (1850-1950).

    J'ai ainsi découvert que jusqu'en 1969 La Brasserie "Karcher et fils" siégeait 139 rue des Pyrénées et les dragées "Martial "se dégustaient 56-58 rue Planchat. Et vous ? Le saviez-vous ?

    Jean-Paul

  • Film "Peshmerga"

    Nous étions bien peu dans le salle de cinéma ce mardi après-midi (et c'est bien dommage) pour assister à la projection du documentaire de Bernard -Henri Lévy : Peshmerga.

    De juillet à décembre 2015 le philosophe à la chemise blanche, a tourné sur la ligne de front située entre les combattants kurdes et les troupes de Daesh.

    On comprend mieux grâce à ce film ce peuple si attachant qui combat bravement contre les islamistes ennemis de toute culture et de toute morale.

    Un film à voir sans plus tarder, car les évènements s'accélèrent.

    Jean-Paul

  • Expo "Le Douanier Rousseau"

    Grande et belle exposition sur Le Douanier Rousseau et ce jusqu'au 17 juillet au Musée d'Orsay.

    Son ambition est de revisiter l’œuvre d'un artiste jugé inclassable mais dont le travail s'inscrit dans son époque.

    Ainsi sur fond parisien fin XIXeme "Moi-même, portrait paysage" où "La Muse inspirant le poète" (Marie Laurencin et Guillaume Apollinaire). Les Surréalistes ne cachaient pas, Breton en tête, leur admiration pour Le Douanier dont "La charmeuse de serpent" et "La Guerre" appelée aussi "La chevauchée de la discorde" subjuguent les visiteurs.

    Une exposition à ne pas manquer.

    Jean-Paul

  • Atelier d'écriture "Inventions inventées"

    Les inventions complètement inventées par Pierre Dominique Burgaud.
    Extrait :
    "Les points des coccinelles ont été inventés pour que l'on puisse savoir leur âge, mais il est quasiment impossible de savoir leur prénom"
    "Les draps ont été inventées pour que les fantômes ne sortent pas tout nus le soir"

    Inventions inventées de Laurence
    "L'ordinateur a été inventé pour que l'on puisse avoir un endroit pour coller les post-it"
    "Les animaux ont été inventés pour la La Fontaine puisse écrire des poèmes"

    Inventions inventées de Yves-Marc
    "Une prothèse de patte arrière pour cochon parce qu'on le mange petit à petit. Hé oui, c'est bon le jambon"
    "L'échelle miniature avec un barreau pour limace afin quelle puisse manger les fraises"

    Inventions inventées de Annick
    "La table a été inventée pour ne pas manger sur le pouce"
    "Le vent a été inventé pour insuffler de nouvelles idées"

    Inventions inventées de Marie
    "Le caramel mou a été inventé par l'Ordre des dentistes anonymes"
    "Le string a été inventé par un styliste qui avait un énorme stock d'élastiques invendus"
    "La "danse des canards" a été inventée pour prouver que le ridicule ne tue pas"

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    Vous avez des idées d'inventions inventées, n'hésitez pas à les mettre dans les commentaires.

    Jeanet

  • Expo "Un Musée révolutionnaire"

    paris,expositionJusqu'au 4 juillet Le Louvre présente Le Musée révolutionnaire : celui des Monuments français d'Alexandre Lenoir qui élut domicile de 1795 à 1816 dans le couvent des Petits Augustins (actuellement école des Beaux-Arts).

    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il avait belle allure profitant des statues et gisants sauvés des pillages d'octobre 1793 perpétués dans la basilique St-Denis.

    Cette visite s'impose ne serait-ce que pour rendre hommage à Alexandre Lenoir à qui nous devons de retrouver au Louvre et à St-Denis tant de chefs d’œuvre.

    Vous pouvez avec le même billet voir ou revoir l'exposition consacrée à Hubert Robert et s'il vous reste des forces, et du temps, vous mêler à la foule qui se précipite pour admirer La Joconde.

    Vous serez moins pressuré en visionnant Hubert Robert et surtout Alexandre Lenoir et c'est bien mieux, car vous pourrez ainsi scruter tout à loisir, les gisants et les statues polychromes comme l'admirable Notre Dame de la Carole.

    Jean-Paul