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Que vous aimiez ou pas, parcourir les musées pour y admirer toutes sortes de tableaux, je vous recommande “La passion Van Gogh” cette œuvre cinématographique et exceptionnelle charme nos yeux par la particularité de voir s’animer les tableaux de ce peintre sur la période de sa vie à Auvers s/ Oise et l'énigme de son décès.
Très surprenant, vraiment extraordinaire. Surtout à ne pas rater pour tous les amoureux de la peinture et même pour tous les curieux.
"L’école Buissonnière" de Nicolas VANIER. Mais de quelle école ? Celles du calcul et des rédactions de 1930 pour celle des forets et de ses habitants.
Superbes images de la nature, mais plus encore, de la brume dans les bois, des oiseaux, des cerfs. Découverte de vie de "la campagne" et du braconnage, respectueux de tout ce qui y vie, même des feuilles !
Paul, jeune enfant sortie de l’orphelinat de Paris, découvre tout d’abord avec méfiance, les animaux de la bergerie du domaine de Sologne, où il "débarque" sans savoir pourquoi. Très vite, il découvre et apprends à reconnaitre le chant des oiseaux, le bruit, et les traces de chaque habitant de cet espace. Il se passionne pour les bois... Et d’un mystérieux et ancestral cerf aux 17 andouillers…. Que tous cherchent à voir, et à chasser.
La curiosité de Paul, lui fait découvrir les trophées de chasses, remportés par le Comte, maître des lieux, et évidemment rencontrer ce dernier. Une certaine tendresse nait entre le Comte et l’orphelin. Ce dernier confirme l’existence du Cerf ; puisqu’il l’a vu. Le respect des traditions de la chasse pousse le Comte vers Le Cerf, son amour de la Nature, le fera gracier le Majestueux Cerf après la chasse.
Tout y merveilleux, les images de la nature, les bruits si respectueux des bois, les personnages si bien interprétés par tous les comédiens… Mais bien d’autres mystères sortent du domaine…. Alors allez respirer le grand air de la forêt de Sologne, pour changer des histoires bruyantes de fusils et de bagarres.
Si vous voulez connaitre la jeunesse de Karl Marx journaliste et philosophe dans une Europe en pleine ébullition (1848 se profile à l’horizon) précipitez–vous pour visionner ce film.
Il y fait la connaissance de Friedrich Engels et s’exile à Paris avec son épouse Jenny. Vous côtoierez Proudhon et assisterez à l’élaboration du “ Manifeste communiste” prélude au “Capital”.
En 1891, le peintre Paul Gauguin abandonnant femme et enfants, las de Paris, part pour Tahiti.
C‘est d’abord une histoire d’amour qui nous est racontée, celle unissant l’artiste (Vincent Cassel excellent) et une jeune tahitienne (beaucoup plus jeune en réalité).
C’est un film plein de sensibilité se déroulant dans les paysages majestueux de Tahiti.
À recommander aux amoureux de peinture et de dépaysement.
Ce film raconte le réembarquement vers l'Angleterre entre le 21 mai le 4 juin 1940 de 350 000 soldats anglais et d'une centaine de milliers de soldats français coincés par l'avancée fulgurante des chars allemands.
Le film suit 3 personnages-clés : un pilote de la RAF le capitaine d'un petit bateau de plaisance envoyé d'Angleterre pour aider au sauvetage des troupes et un pauvre soldat perdu parmi tout les autres attendant sur le rivage tâchant de sauver sa peau dans un univers où tout brûle, coule ou explose.
Les Français sont quasi inexistants tandis que les Anglais parviennent héroïquement a sauver le plus d'hommes possible.
Ce film pousse bien entendu à la comparaison avec "Week-end à Zuydcoote" d'Henri Verneuil avec J.P. Belmondo tourné il y a 53 ans où les égoïstes Anglais abandonnent leurs courageux alliés français sur les plages du Nord.
"Dunkerque" est une victoire anglaise,"Zuydcoote" une défaite française. Au spectateur de juger.
Parfois dans les familles, ce qui nous lie peut être aussi la cause de ce qui nous sépare. Comme dans ce film.
Chacun suit son chemin. Il y a celui qui part à la découverte du monde, afin de prendre des distances, il y a celui qui reste par obligation ou par devoir, et celui qui est bien dans son terroir. Les yeux du chef de famille se ferment pour toujours. L'aîné, de retour, a droit aux reproches, à l'incompréhension. Qui est capable de prendre la relève. Comment gérer l'héritage, le partage, en tenant compte de l'affectif et des intérêts de chacun. De plus, si les non concernés s'en mêlent afin d'en tirer un avantage, la situation se complique.
Une plongée dans l'ambiance des vendanges, ses vignobles à perte de vue sous un soleil annonçant la fin de l'été incite à s'évader ailleurs qu'au cinéma.
Ce film vous raconte tout d'abord dans la période hitlérienne quelques épisodes de la vie de Reinhard Heydrich qui devint un des serviteurs les plus zélés du régime nazi.
Nous sommes ainsi les spectateurs des exécutions ordonnées par cet abominable régime notamment en Pologne dès 1939.
Puis le film se focalise sur la préparation en 1942 par 2 résistants, un tchèque et un slovaque, d'une opération qui permit d'éliminer à Prague Heydrich devenu, le protecteur de la Bohème-Moravie.
Un film prenant, nous permettant de visionner une page d'Histoire souvent peu connue.
Un homme influent tombe dans le coma après une journée oppressante. À son réveil, toute son existence est inexplicablement transformée.
J'ai personnellement eu du mal à différencier le rêve dû au coma, de la vie réelle. Il aurait été souhaitable que le réalisateur utilise le noir et blanc pour aider à la compréhension le spectateur peu doué, comme moi il s'y retrouverait mieux.
Si vous êtes d'esprit plus alerte, allez quand même voir ce film, il est bien joué notamment par Laurent Laffite et Chiara Mastroianni.
Agnès Varda accompagnée par son photographe du moment J R, partent du nord au sud de la France à la rencontre des habitants. Ceux dont on ne parle pas.
Ils vont les mettre en valeur en les photographiant, puis reproduire en très grand modèle ces clichés. Comme pour dire" vous êtes beaux, vous êtes reconnus par votre âge, votre métier, votre mode de vie, votre différence des uns et des autres". Ils vont saisir leur regard heureux, tel qu'ils sont, sans artifice, vont les laisser parler de leur vécu.
Ils vont coller ces photos sur des murs tristes et isolés, comme dans un village abandonné ou dans des lieux inattendus. Puis avec le temps, la pluie et le vent, tout s'effacera. Peu importe, c'est l'aventure du moment.
Ils vont rendre heureux tous ces gens qui ont bien voulu se prêter au jeu . Tout au long de leur aventure il y a une complicité, une drôlerie, un autre regard, enrichis par leur génération différente.
Nous retrouvons Agnès Varda dans son humanité, son originalité, son sens bien à elle de voir le monde avec fantaisie.
Si vous voulez vivre 2 heures la vie de Rodin passé les 40 ans entre la réalisation de la Porte de l'Enfer et la représentation si critiquée d'Honoré de Balzac, précipitez-vous dans la salle de cinéma la plus proche programmant "Rodin" le film de Jacques Doillon.
Vincent Lindon campe admirablement Rodin dans son labeur titanesque et dans ses hésitations entre son amour passionné pour Camille Claudel et ses habitudes bien ancrées avec sa quasi femme-servante Rose Beuret qui finira par l'emporter.
Vous vivez 2 heures dans l'atelier au milieu des modèles et des élèves. Un vrai documentaire.