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Encore un film sur la guerre de 14/18, penserez-vous peut-être ?!!! Que nenni ! C’est avant tout une histoire bouleversante et tragique sur l’absurdité de la guerre, une belle histoire d’amour entre un homme et une femme, une histoire d’attachement profond entre un chien et son maître. Une formidable leçon d’humanité.
De plus, excellemment joué par François Cluzet, Nicolas Duvauchelle et Sophie Verbeeck.
Très beau film de Jean Becker, d’après un roman de Jean-Christophe Ruffin.
Si vous voulez passer 1h30 agréable en compagnie de Franck Dubosc jouant le rôle d’un dragueur invétéré un brin mythomane pris à son propre piège, n’hésitez pas, précipitez vous au cinéma le plus proche de chez vous diffusant cette comédie divertissante. Alexandra Lamy y pratique la chaise roulante avec maestria. Franck Dubosc ne pouvait que tomber sous son charme.
À la demande de l'église, un journaliste doit mener une enquête afin de valider une supposée apparition vue par Anna. Il devra s'approcher de cette jeune fille, observer son état lors de sa présence auprès du public.
Est-ce une imposture, une illuminée, qui est autour d'elle, quels sont les intérêts affectifs voire financiers, quelles sont les preuves. Sa sincérité, sa certaine fragilité ont elles été exploitées.
Que de questionnements que de réflexion. Faut-il voir pour croire, ou chercher, s'informer afin de ne pas être manipulé.
Très beau film de Cédric Kahn, non pas sur le monde des drogués et l’addiction à la drogue, mais comment en guérir…
Pas dans un centre de désintoxication comme on pourrait le penser mais par un tout autre chemin, dans une communauté d’ex-toxicomanes, isolée dans la montagne….
Là, règnent la fraternité, l’aide des "copains" dans les hauts et les bas, les différentes voies qui s’offrent à chacun d’entre eux…
Film LA DOULEUR – D’après le roman autobiographique de Marguerite Duras De Emmanuel Finkiel Avec Mélanie Thierry, Benoît Magimel, Benjamin Biolay
Je suis encore sous la choc de "La Douleur", beau film d’Emmanuel Finkiel. Ce film est sensible, intelligent et… douloureux tant par l’illustration de la trouble période 1944/1945 que par le jeu délicat des acteurs et une mise en scène très réussie reconstituant le Paris de l’époque.
C’est l’angoisse individuelle d’une femme espérant le retour de l’homme aimé liée à celle, collective, d’un pays qui n’a pas su ou pas voulu savoir….
C’est aussi un magnifique et pudique portrait de femme avec toute son ambivalence, tiraillée entre son insoutenable attente et sa liaison secrète.
Si vous voulez vous retrouver plongés en plein XVIIIeme siècle sous la Régence, n’hésitez pas, précipitez-vous vers le superbe film “L’échange des princesses” qui dans un décor splendide vous raconte l’histoire d’un désastre historique ; les fiançailles ratées de 2 princesses (l’une française et l’autre espagnole) avec les 2 héritiers du trône respectifs.
La promesse de l’aube nous raconte la relation fusionnelle et parfois étouffante entre un écrivain célèbre (Romain Gary) et sa mère excentrique et exigeante, rôle magnifiquement interprété par Charlotte Gainsbourg.
Un (*)film admirablement joué auquel le spectateur souscrit sans aucune réticence.
Ce film acclamé au Festival du Film Francophone d’Angoulême et plébiscité par la critique est adapté d’un roman de Pierre Lemaître prix Goncourt 2013. Ses reconstitutions sont superbes (notamment les scènes dans une tranchée au début du film). C’est l’histoire d’une arnaque post-guerre 14 avec un fort relent anti-militariste (les survivants avaient tant souffert et certains dans quel état !). La fin est plus poétique que celle suggérée dans le livre.
Que vous aimiez ou pas, parcourir les musées pour y admirer toutes sortes de tableaux, je vous recommande “La passion Van Gogh” cette œuvre cinématographique et exceptionnelle charme nos yeux par la particularité de voir s’animer les tableaux de ce peintre sur la période de sa vie à Auvers s/ Oise et l'énigme de son décès.
Très surprenant, vraiment extraordinaire. Surtout à ne pas rater pour tous les amoureux de la peinture et même pour tous les curieux.
"L’école Buissonnière" de Nicolas VANIER. Mais de quelle école ? Celles du calcul et des rédactions de 1930 pour celle des forets et de ses habitants.
Superbes images de la nature, mais plus encore, de la brume dans les bois, des oiseaux, des cerfs. Découverte de vie de "la campagne" et du braconnage, respectueux de tout ce qui y vie, même des feuilles !
Paul, jeune enfant sortie de l’orphelinat de Paris, découvre tout d’abord avec méfiance, les animaux de la bergerie du domaine de Sologne, où il "débarque" sans savoir pourquoi. Très vite, il découvre et apprends à reconnaitre le chant des oiseaux, le bruit, et les traces de chaque habitant de cet espace. Il se passionne pour les bois... Et d’un mystérieux et ancestral cerf aux 17 andouillers…. Que tous cherchent à voir, et à chasser.
La curiosité de Paul, lui fait découvrir les trophées de chasses, remportés par le Comte, maître des lieux, et évidemment rencontrer ce dernier. Une certaine tendresse nait entre le Comte et l’orphelin. Ce dernier confirme l’existence du Cerf ; puisqu’il l’a vu. Le respect des traditions de la chasse pousse le Comte vers Le Cerf, son amour de la Nature, le fera gracier le Majestueux Cerf après la chasse.
Tout y merveilleux, les images de la nature, les bruits si respectueux des bois, les personnages si bien interprétés par tous les comédiens… Mais bien d’autres mystères sortent du domaine…. Alors allez respirer le grand air de la forêt de Sologne, pour changer des histoires bruyantes de fusils et de bagarres.