Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

film - Page 13

  • Film "La douleur"

    Film LA DOULEUR – D’après le roman autobiographique de Marguerite Duras De Emmanuel Finkiel Avec Mélanie Thierry, Benoît Magimel, Benjamin Biolay

    Je suis encore sous la choc de "La Douleur", beau film d’Emmanuel Finkiel. Ce film est sensible, intelligent et… douloureux tant par l’illustration de la trouble période 1944/1945 que par le jeu délicat des acteurs et une mise en scène très réussie reconstituant le Paris de l’époque.

    C’est l’angoisse individuelle d’une femme espérant le retour de l’homme aimé liée à celle, collective, d’un pays qui n’a pas su ou pas voulu savoir….

    C’est aussi un magnifique et pudique portrait de femme avec toute son ambivalence, tiraillée entre son insoutenable attente et sa liaison secrète.

    Mélanie Laurent honore Marguerite Duras jeune.

    Qui aime la Personne et l’Auteure Marguerite Duras aimera ce film bouleversant.

    MartineC

  • Film "L’échange des princesses"

    Si vous voulez vous retrouver plongés en plein XVIIIeme siècle sous la Régence, n’hésitez pas, précipitez-vous vers le superbe film “L’échange des princesses” qui dans un décor splendide vous raconte l’histoire d’un désastre historique ; les fiançailles ratées de 2 princesses (l’une française et l’autre espagnole) avec les 2 héritiers du trône respectifs.

    Un film à ne pas rater.

    Jean-Paul

  • Film "La promesse de l’aube"

    La promesse de l’aube nous raconte la relation fusionnelle et parfois étouffante entre un écrivain célèbre (Romain Gary) et sa mère excentrique et exigeante, rôle magnifiquement interprété par Charlotte Gainsbourg.

    Un (*)film admirablement joué auquel le spectateur souscrit sans aucune réticence.

    Jean-Paul

    (*)Séances ICI

  • Film "Au revoir là-haut”

    Ce film acclamé au Festival du Film Francophone d’Angoulême et plébiscité par la critique est adapté d’un roman de Pierre Lemaître prix Goncourt 2013. Ses reconstitutions sont superbes (notamment les scènes dans une tranchée au début du film). C’est l’histoire d’une arnaque post-guerre 14 avec un fort relent anti-militariste (les survivants avaient tant souffert et certains dans quel état !). La fin est plus poétique que celle suggérée dans le livre.

    Un film à voir.

    Jean-Paul

  • Film "La passion Van Gogh”

    Que vous aimiez ou pas, parcourir les musées pour y admirer toutes sortes de tableaux, je vous recommande “La passion Van Gogh” cette œuvre cinématographique et exceptionnelle charme nos yeux par la particularité de voir s’animer les tableaux de ce peintre sur la période de sa vie à Auvers s/ Oise et l'énigme de son décès.

    Très surprenant, vraiment extraordinaire. Surtout à ne pas rater pour tous les amoureux de la peinture et même pour tous les curieux.

    Ninette

  • Film "L'École buissonnière"

    "L’école Buissonnière" de Nicolas VANIER. Mais de quelle école ? Celles du calcul et des rédactions de 1930 pour celle des forets et de ses habitants.

    Superbes images de la nature, mais plus encore, de la brume dans les bois, des oiseaux, des cerfs. Découverte de vie de "la campagne" et du braconnage, respectueux de tout ce qui y vie, même des feuilles !

    Paul, jeune enfant sortie de l’orphelinat de Paris, découvre tout d’abord avec méfiance, les animaux de la bergerie du domaine de Sologne, où il "débarque" sans savoir pourquoi. Très vite, il découvre et apprends à reconnaitre le chant des oiseaux, le bruit, et les traces de chaque habitant de cet espace. Il se passionne pour les bois... Et d’un mystérieux et ancestral cerf aux 17 andouillers…. Que tous cherchent à voir, et à chasser.

    La curiosité de Paul, lui fait découvrir les trophées de chasses, remportés par le Comte, maître des lieux, et évidemment rencontrer ce dernier. Une certaine tendresse nait entre le Comte et l’orphelin. Ce dernier confirme l’existence du Cerf ; puisqu’il l’a vu. Le respect des traditions de la chasse pousse le Comte vers Le Cerf, son amour de la Nature, le fera gracier le Majestueux Cerf après la chasse.

     

    Tout y merveilleux, les images de la nature, les bruits si respectueux des bois, les personnages si bien interprétés par tous les comédiens… Mais bien d’autres mystères sortent du domaine…. Alors allez respirer le grand air de la forêt de Sologne, pour changer des histoires bruyantes de fusils et de bagarres.

    Arletteck

  • Film "Le jeune Karl Marx"

    Si vous voulez connaitre la jeunesse de Karl Marx journaliste et philosophe dans une Europe en pleine ébullition (1848 se profile à l’horizon) précipitez–vous pour visionner ce film.

    Il y fait la connaissance de Friedrich Engels et s’exile à Paris avec son épouse Jenny. Vous côtoierez Proudhon et assisterez à l’élaboration du “ Manifeste communiste” prélude au “Capital”.

    Un film instructif.

    Jean-Paul

     

  • Film "Gauguin"

    En 1891, le peintre Paul Gauguin abandonnant femme et enfants, las de Paris, part pour Tahiti.

    paris,filmC‘est d’abord une histoire d’amour qui nous est racontée, celle unissant l’artiste (Vincent Cassel excellent) et une jeune tahitienne (beaucoup plus jeune en réalité).

    C’est un film plein de sensibilité se déroulant dans les paysages majestueux de Tahiti.

    À recommander aux amoureux de peinture et de dépaysement.

    Jean-Paul

     

  • Film "Dunkerque"

    Ce film raconte le réembarquement vers l'Angleterre entre le 21 mai le 4 juin 1940 de 350 000 soldats anglais et d'une centaine de milliers de soldats français coincés par l'avancée fulgurante des chars allemands.

    Le film suit 3 personnages-clés : un pilote de la RAF le capitaine d'un petit bateau de plaisance envoyé d'Angleterre pour aider au sauvetage des troupes et un pauvre soldat perdu parmi tout les autres attendant sur le rivage tâchant de sauver sa peau dans un univers où tout brûle, coule ou explose.

    Les Français sont quasi inexistants tandis que les Anglais parviennent héroïquement a sauver le plus d'hommes possible.

    Ce film pousse bien entendu à la comparaison avec "Week-end à Zuydcoote" d'Henri Verneuil avec J.P. Belmondo tourné il y a 53 ans où les égoïstes Anglais abandonnent leurs courageux alliés français sur les plages du Nord.

    "Dunkerque" est une victoire anglaise,"Zuydcoote" une défaite française. Au spectateur de juger.

    Jean-Paul

  • Film "Ce qui nous lie"

    Parfois dans les familles, ce qui nous lie peut être aussi la cause de ce qui nous sépare. Comme dans ce film.

    Chacun suit son chemin. Il y a celui qui part à la découverte du monde, afin de prendre des distances, il y a celui qui reste par obligation ou par devoir, et celui qui est bien dans son terroir.
    Les yeux du chef de famille se ferment pour toujours. L'aîné, de retour, a droit aux reproches, à l'incompréhension. Qui est capable de prendre la relève. Comment gérer l'héritage, le partage, en tenant compte de l'affectif et des intérêts de chacun.
    De plus, si les non concernés s'en mêlent afin d'en tirer un avantage, la situation se complique.

    Une plongée dans l'ambiance des vendanges, ses vignobles à perte de vue sous un soleil annonçant la fin de l'été incite à s'évader ailleurs qu'au cinéma.

    Annick D