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Je me demandais donc si j'allais apprécié le film qui en a été tiré. J'ai été agréablement surpris. La Bretagne est belle, et les acteurs bien choisis . L'histoire de la "sérial killer" que fut Hélène Jégado nous est bien racontée, sans aucune outrance et rend crédible les pérégrinations de cette insatiable empoisonneuse.
Ce premier film de Stéphanie Pillonca est vraiment une réussite et rend bien compte de la vie quotidienne en Bretagne au XIX eme siècle.
C'est un film à voir sans hésiter qui malgré un sujet fort délicat est réalisé tout en finesse.
Nous connaissons peut-être plus Pablo Neruda à travers ses poèmes. Principalement par le très beau "Il meurt lentement", qui lui est d'ailleurs attribué par erreur et qui est en réalité de Martha Medeiros. Ce film nous retrace son parcours en tant que sénateur sous la période sombre au Chili, sa traque par le régime. sa personnalité exprimée à travers ses écrits. Très très bon (*)film.
En Angleterre, Daniel Blake, suite à un accident cardiaque ne peut plus continuer son travail. Il va donc se battre afin d'obtenir une aide auquel il a droit pour survivre. Et là, il se confronte à l'incohérence des différents services administratifs, manque de coordination, de communication. de sens humain. C'est un dossier parmi tant d'autres à traiter selon la règle décidée par les plus hautes sphères. Seulement en toute attente, il dispose de temps et a du cœur. Il va donc se rendre utile auprès d'une famille, l'accompagne, la soutient du moins moralement. Jusqu'au jour où .......
Ce film met l'accent sur l'indifférence, le regard des autres, l'amour-propre, le respect, mais aussi sur une solidarité possible, une générosité gratuite, une attention à l'autre.
L’Odyssée… retrace la vie du Commandant Cousteau, qui dès les années 50, part à la découverte, du monde du silence (pourtant pas si silencieux que cela !!).
Avec toute son équipe, il innove tout un matériel de plongée, de prise de vue. À bord de la Calypso il découvre un monde féerique. Pour financer ces explorations, il ouvre ce monde au grand public grâce à la réalisation, dès 1967, de la série documentaire L'Odyssée sous-marine du commandant Cousteau, qui le rendit, lui, son équipe et la Calypso, mondialement connus.
Un monde de passions, et de découverte où “l’ivresse des profondeurs” l’éloigne peu à peu, de sa famille, avec qui l’aventure avait commencée. Sa célébrité l’écarte de son épouse, pourtant indispensable à bords de La Calypso. Son amour propre, son égoïsme crée la discorde avec Jean-Philippe, son second fils, les éloignant l’un de l’autre, un temps, avant de se retrouver pour donner un nouveau sens à ses explorations : sauvegarde de la planète. Comme un “électrochoc”, la mort accidentelle de ce fils, le fait revenir à la surface, épaulé par Jean-Michel, fils aîné, pourtant bien souvent oublié.
Ce film est un bon complément à l'exposition de Petit Palais "Oscar Wilde, l'impertinent absolu". En effet la représentation de Salomé, spectacle dû à Oscar Wilde permet à Loïe Fuller d'inventer une forme de danse avec un costume qu'elle a dessiné
Ce film retrace son histoire et sa rivalité avec la plus jeune Isadora Duncan. Un film a recommander à tous les fanatiques de nouveautés chorégraphiques datant du début du XXeme siècle.
La guerre 14-18 est terminée. En Allemagne une jeune femme se rend chaque jour au cimetière. Mais qui est donc cet homme venant fleurir la tombe ou elle se recueille ?
Ce film en noir et blanc par sa beauté, nous plonge dans cette époque sombre.
Afin de ne pas raviver la souffrance de chacun, la haine du vaincu, un amour perdu, la culpabilité, tout au long du film nous suivons un fil conducteur tout autre que celui supposé, la réalité étant trop difficile à dire. Le pardon sera t'il plus fort ?
Allez, entre l'amour et la haine, quel est le mieux pour survivre à l'horreur ?
"Moi" comme vous devez le savoir c'est Émile Zola. Ce film raconte avec brio, l'amitié qui existait entre Paul Cézanne et l'auteur de "l’œuvre" un livre qui met en scène Claude Lantier un peintre maudit dans lequel Cézanne se reconnaît avec plus ou moins de raison.
Un film qui vous tient en haleine et vous fait découvrir la personnalité bien difficile à cerner de Paul Cézanne, tout en nous permettant de découvrir certains aspects secrets de la vie d’Émile Zola.
N'hésitez pas , vous ne pouvez être déçus ! Vous ne pouvez qu'être admiratifs devant les paysages de la Ste Victoire et comblés par le jeu des acteurs, les 2 Guillaume en tête.
Si vous voulez entrer dans l'intimité de cet incomparable biographe que fut Stephan Sweig (Fouché, Marie-Antoinette, Marie Stuart...) allez voir "Stephan Sweig : Adieu l'Europe". Vous le suivez dans ses pérégrinations entre New-York et l'Amérique du Sud durant les dernières années de sa vie (ayant quitté l'Europe en 1936, il se suicida en 1942).
Un (*) film qui vous replongera dans une époque où l'on rêvait d'une Europe sans frontières et pacifiée. (On était loin du Brexit !)
Si vous voulez retrouver l'atmosphère des fameux Jeux Olympiques de 1936 qui se déroulèrent à Berlin, alors sous le joug du 3e Reich, et virent le triomphe de Jesse Owens, le merveilleux coureur noir américain, vous pouvez sans aucune hésitation profiter de ce film.
Ses 2h15 de projection vous paraîtront bien courtes, le sujet étant sensible et le jeu des acteurs prenant.
Nous étions bien peu dans le salle de cinéma ce mardi après-midi (et c'est bien dommage) pour assister à la projection du documentaire de Bernard -Henri Lévy : Peshmerga.
De juillet à décembre 2015 le philosophe à la chemise blanche, a tourné sur la ligne de front située entre les combattants kurdes et les troupes de Daesh.
On comprend mieux grâce à ce film ce peuple si attachant qui combat bravement contre les islamistes ennemis de toute culture et de toute morale.
Un film à voir sans plus tarder, car les évènements s'accélèrent.