Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vos visites - Page 3

  • Expo "Henri Cartier-Bresson"

    paris,expositionPour profiter de la réouverture du musée Carnavalet, j’ai parcouru avec grand intérêt l’exposition consacrée aux photographies d’Henri Cartier-Bresson. Beaucoup de clichés, noir et blanc comme il se doit, sur des Parisiens dans la rue, des lieux de manifestations (mai 68) et des grands évènements comme la Libération de Paris en août 1944… mais également des photos prises dans le cadre de reportages et commandes pour la presse internationale.

    Tirages originaux, enregistrements audiovisuels de l’artiste… Un moment fort agréable et rempli de nostalgie également…

    Une récompense à l’issue de cette visite : un café dans le jardin fleuri du musée…

    Maintenant, il ne me reste plus qu’à aller voir l’exposition consacrée à Eugène Atget à la Fondation Cartier-Bresson cette fois…

    Colette C

  • Expo "Marie-Antoinette métamorphoses d’une image"

    paris,marie-antoinette

    Jusqu’au 28 janvier 2020 la Conciergerie où elle vécut ses derniers terribles jours avant d’être guillotinée, présente une exposition sur  "Marie-Antoinette métamorphoses d’une image".
     
    Ceux que la reine fascine y trouveront leur compte dans les robes et les atours de son époque fastueuse ainsi que dans les images véhiculées par les divers films consacrés à sa vie ô combien mouvementée.
     
    Les chercheurs y trouveront des souvenirs inoubliables: au hasard la dernière lettre à Mme Élisabeth, le fameux "collier de la Reine" la coiffure à la "Belle Poule"  le "bol sein" ou "jatte–téton" de la laiterie de Rambouillet et j’en passe....
     
    Une visite riche que vous pourrez conclure en revisitant les cachots qui virent la fin de cette reine si critiquée de son vivant (souvent avec juste raison) devenue une icône des temps modernes, dans une admiration frisant parfois l’idolâtrie.

    Jean-Paul

  • Expo "Du Douanier Rousseau à Séraphine"

    Lparis,expositione Musée Maillol jusqu’au 19 janvier 2020 présente les grands maîtres naïfs, avec comme chefs de file Le Douanier Rousseau et Séraphine Louis.
     
    Je reconnais être passé bien vite devant certaines peintures  pour me concentrer sur 2 œuvres du Douanier Rousseau et sur la salle réservée à Séraphine Louis. C’est la Vierge qui l’aurait invitée à peindre. Louée soit la Madone c’est superbe et vaut le déplacement.
     

    Jean-Paul

  • Expo "La Révolution s’affiche"

    paris,exposition,révolutionJusqu’au 15 novembre si vous voulez faire la demande sur internet au www.assnat.fr/1789 vous pouvez pénétrer dans une dépendance de l’Assemblée Nationale où est exposé à l’occasion du 230e anniversaire de la Révolution Nationale un fonds inédit d’affiches datant de 1789 à 1798. Certaines de ces affiches vous surprendront.
     
    33 Quai d’Orsay du lundi au samedi de 9 h 30 à 18 h 30 . Entrée libre

    Jean-Paul

  • Expo "Toutankhamon: le trésor des pharaons"

    paris,toutankhamonCeux qui, comme votre serviteur, ont il y a plus de 50 ans, découvert ”l’exposition du siècle” peuvent se rafraîchir la mémoire en se connectant sur internet (c’est la nouveauté!) pour se procurer un billet à 1 heure précise et attendre malgré tout plus de 45 mn avant de pénétrer dans la Grande Halle de la Villette, où ils imagineront la traversée du jeune pharaon vers la vie éternelle à travers un parcours riche en objets.

    Toute cohue mise à part, si vous réussissez à vous faufiler entre les porteurs de téléphones portables (c’est une autre nouveauté) vous verrez une exposition extraordinaire, (programmée jusqu’au 22 septembre) que vous n’oublierez pas.

    Jean-Paul

  • Expo "Les Nabis et le décor"

    paris,nabisMusée du Luxembourg jusqu'au 30 juin 2019

    Vous les connaissez, ces mystérieux Nabis ? Nabi : prophète en hébreu mais aussi en arabe…ou illuminé, annonciateur etc..

    C’est en réalité un petit groupe de lycéens parisiens de Condorcet, qui se dénommèrent ainsi avec la volonté de casser les barrières entre les arts : peinture, sculpture, vitrail, tapisserie, céramique etc… Ah, la jeunesse !.

    Fasciné par la peinture de Gauguin, le groupe, actif entre 1888 et 1900, grandit, essaima et réunit au fil des années des garçons devenus depuis célèbres : Paul Sérusier, autour duquel ils se regroupent, Maurice Denis, Pierre Bonnard, Vuillard, Ranson, Lugne-Poe, Valotton entre autres, qui ont défendu un art en lien direct avec la vie. Avec Gauguin comme maître spirituel, que Sérusier alla rencontrer à Pont Aven en 1888 pour y réaliser sous l’autorité du Maître le célèbre tableau "le Talisman". Il se donne tous un surnom signe leur initiation (exemple : Pierre Bonnard "le nabi très japonart" et paraphent les lettres qu’ils échangent du sigle : ETPMVMP 'en ta paume mon verbe et ma pensée' !.

    Maurice Denis publie en 1890 un manifeste intitulé "définition du Néo Traditionnisme" où il donne une définition devenue célèbre : "se rappeler qu’un tableau, avant d’être un cheval de bataille, une femme nue ou une quelconque anecdote, est une surface plane recouverte essentiellement de couleurs en un certain ordre assemblées"..

    Les décors des Nabis constituent une expérience spécifique d’art total, basé sur un décloisonnement des techniques. Répondant le plus souvent à des commandes d’amis et de mécènes proches du groupe, ils reprennent des thématiques familières aux artistes comme l’association de la femme à la nature, l’intériorité, la spiritualité. Animés par le désir de créer un art accessible à tous, ils ont innové notamment dans le domaine de la tapisserie, du papier peint, du vitrail et de la céramique..

    L’ambition de cette exposition est de reconstituer le plus complètement possible quelques-uns des ensembles majeurs dans leur production, ambition difficile car la plupart des panneaux décoratifs des Nabis ont été dispersés au cours du temps.

    Lire la suite ICI

    Jacques et Nicole

  • L’atelier des lumières

    Profitant des vacances de février, nous sommes allés avec quelques-uns de nos petits-enfants, passer une matinée à l’Atelier des Lumières, 38, rue Saint-Maur dans le 11e ardt de Paris.

    On nous en avait dit le plus grand bien : c’est très mérité ! Car nous avons passé deux heures d’enchantement visuel et musical , baigné dans les peintures de Van Gogh et de dessins japonais anciens.

    Situé dans une ancienne forge du XIXe siècle réaménagée, le public, assis ou debout dans la pénombre, ou marchant à petit pas, baigne dans les lumières des tableaux, émerveillé.

    Ce centre d’art numérique nous emmène dans des immersions monumentales, en continu. Avec 140 vidéoprojecteurs et une sonorisation spatialisée, cet équipement multimédia unique en son genre épouse 3300 m² de surface du sol au plafond avec des murs s’élevant jusqu’à 10 m.

    Après le succès de la première exposition consacrée à des peintres autrichiens, dont Klimt , qui a eu un succès considérable (1 200 000 visiteurs) le bouche-à-oreille a parfaitement fonctionné et la deuxième exposition actuelle, jusqu’en décembre prochain, affiche presque complet en permanence. C’est là le hic : il faut réserver à l’avance par Internet.

    N’hésitez pas à faire le voyage !

    Jacques et Nicole