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Méli-mélo - Page 11

  • Karaoke de la chandeleur

    En ce dimanche particulier
    Nous avons participé,
    Comme promis, à un karaoké
    Puisque celui de l'an passé, fut apprécié.

    Nombreux nous étions
    Pour ce moment en chansons,
    Où les amateurs ont donné de la voix
    Sur des refrains d'autrefois.

    Pour d'autres l'envie de bouger
    "Devant le buffet" évidemment danser"!
    Cette diversion communicative
    Entraîna donc les copains,
    Toujours dans cette activité festive,
    Capables, de montrer leur entrain.

    Assurément c'est donc ainsi
    Ayant perdu quelques calories,
    Que nous avons eu accès
    Sans scrupule au buffet !

    paris,chandeleur

     

     

     

     

     

    Deux jours avant Mardi-Gras
    Certes, mais nous, les crêpes
    Avec cœur les avons faites,
    Puis dégustées à en voir le fond des plats!

    paris,chandeleur

     

     

     

     

     

     

     

    Bravo aux dévouées crêpières,
    Mais sans en avoir l'air,
    Gaufres et beignets joufflus
    N'ont pas résisté non plus !

    Le tout bien arrosé
    De divers jus de la nature,
    À faire glisser pâtisseries et confitures
    Et pas question de se faire prier.

    C'est un plaisir de constater
    Que cette tradition de la Chandeleur,
    Avec toutes ses douceurs,
    Peut encore de nos jours apporter
    Quelques bons instants à partager !

    (Et même celui de ranger....
    Encore merci pour votre solidarité)

    Ninette

     

  • La chandeleur

    En ce dimanche de fin février, le ciel s'annonçait morose autant que le climat ambiant. Je me rendais à "La Chandeleur" organisée par l'Arvem.

    Je passais la Durance quand je fus tout à coup mise en joie par de joyeuses clameurs, une table en fête, une musique en sourdine.

    Nous avons ri, nous avons chanté, nous avons dansé, nous nous sommes régalés des délicieuses crêpes et beignets concoctés par nos Avermois (ses), nous avons dégusté de bons cidres et crémants offerts en abondance.

    paris,chandeleurparis,chandeleur

    Le temps d'une chanson, Titine s'est rêvée en Dalida,Yves en Gainsbourg.... et nous avons découvert les talents de notre conteur Jean-Paul, nous avons admiré notre troubadour, Jean-Yves, plus en verve qu'à l'habitude. Et d'autres.... bravant leur timidité, tantôt émouvants tantôt très drôles !

     

     

    Le soleil, il était là, en ce dimanche de fin février, chez nous, les Avermois.

    Martine C

  • Du théâtre et du totalitarisme

    Le Manteau de Gogol (Théâtre Darius Milhaud - 80 Allées Darius Milhaud - 75O19 Paris). Métro Porte de Pantin.
    Le Passeport de Pierre Bourgeade (théâtre Auguste Dobel, 9 rue Philidor - 75012 Paris). Métro Porte de Vincennes.

    Il paraît surprenant que se jouent au même moment le Manteau de Gogol et le Passeport de Pierre Bourgeade, dénonçant la bureaucratie russe-celle du tsarisme, prémonitoire, dans la première pièce. La stalinienne dans la seconde. Mêmes mécanismes délirants, même asservissement, même folie du pouvoir absolu ricochant depuis la sommet jusqu'aux derniers échelons de la hiérarchie. Et sacrifiant les obscurs. Le peuple.

    Deux bons spectacles.

    paris,théâtreLa mise en scène du Manteau par Hugo Paccito est ingénieuse : masques grotesques et tenues de marionnettes vêtues d'oripeaux-ceux des mendiants et du héros, La Savate : une houppelande usée et sale. Sur ce fond sordide et dérisoire éclate le miracle du manteau neuf, création d'un tailleur alcoolique et généreux.
    Une gestuelle très au point, notamment dans le numéro d'un clochard ivre qui fait s'esclaffer la salle. Le fond est tragique : le fonctionnaire copiste trop zélé n'aura pas le temps de profiter ni du manteau ni de la vie, malgré tant d'heure supplémentaires bénévoles ; battu et dépouillé, il verra sa requête brutalement rejetée par ceux qui l'exploitent et se gobergent sur son dos.
    Laissons à chacun le soin d'un rapprochement avec l'actualité !

    paris,théâtreLa mise en scène de la pièce de Bourgeade est plus sobre : dans un bureau de fonctionnaire, un douanier en uniforme près de la retraite et une femme qui en fut amoureuse et a dû attendre pendant 20ans... un passeport pour la Pologne où elle veut rejoindre ses neveux. Celui-ci lui est refusé à la dernière seconde pour avoir tué et mangé la poule qui constituait son cheptel, la faisant ainsi changer de catégorie. À moins d'un coup de théâtre, qui advient, il lui faudra attendre vingt ans de plus !
    Le revirement de cette victime - d'un amour rejeté comme du caprice de celui qui veut aveuglément appliquer la loi - le jeu sadomasochiste, activé par la frustration, doublant le politique est intéressant féministement : apprenant les règles du jeu elle risque de déboulonner son adversaire et ancien "chef" en le battant sur son propre terrain-celui de la discipline bureaucratique. Mais elle perd la partie. Le triomphe final de l'homme grâce à des appuis haut placés et longuement cultivés la poussera au suicide.
    Les acteurs de cette troupe amateur de la RATP, la compagnie Aurore, qui se sont produits dans le off à Avignon en 2016, sont très bons, exacts et nuancés dans leur interprétation. Claude Lautournet qui incarne le fonctionnaire est aussi le metteur en scène.

    Contrairement aux USA, nous ne sommes guère menacés de totalitarisme, tout au moins sous cette forme patente. Mais la crainte que beaucoup ont d'une telle dérive, sur fond d'inégalité criante, et d'(entre) surveillance galopante, semble transparaître dans le choix de ces deux œuvres, et leur accueil par le public.

    Signalons aussi au théâtre Thénardier à Montreuil (19 rue Girard) - métro Croix de Chavaux) une pantomime surtout destinée aux enfants : trois clowns talentueux au physique contrasté se débattant avec des machines baroques, au milieu d'averses multicolores ; et surtout le concert de musique concrète qui suit dans la salle voisine, peuplée d'étranges instruments-sculptures fabriqués à partir d'éléments de récupération et dont mobilité et sons sont produits par deux intervenants électroniquement et manuellement.
    Bravo à cette créativité fertile, fréquente en cette ville, où d'anciens lieux industriels deviennent autant de creusets artistiques, transformant la triste jachère en un futur fabuleux.

    Marie-Claire Calmus

  • Théâtre "Le passeport"

    Le programme prévu par Arvem annonçait "Le clan des vamps" en première partie. En remplacement de ces 40mn de rires prévus ce fut un chanteur qui se présenta. Quelques vieilles chansons, dont Renaud plus jeune, nous incitèrent agréablement à la nostalgie avant d'écouter, attentifs, quelques textes particulièrement émouvants de ce grand fantaisiste qui enchanta notre jeunesse, voire notre enfance, j'ai nommé Robert Lamoureux.

    parisIl ne nous restait plus qu'à entrer avec "Le passeport" dans le monde absurde généré par la bureaucratie stalinienne. Le jeu des 2 comédiens sonne juste, dans une mise en scène sobre et efficace.

    En résumé une bonne après-midi.

    Jean-Paul

  • Résultat du concours photos Arvem

    Suite aux ateliers photos que Jacques anime depuis près de 2ans, Arletteck, Astrid, ColetteC, JacquelineS, Jeanet, LaurenceD, Marie-Andrée, MarieD, MartineL, MichelD, Nico, Yvesck ont participé au concours photos Arvem 2016.

    Ces photos ont été exposées du 29 novembre au 10 décembre 2016 à la Maison des associations du 12è.

    Le public et les professionnels, appelés à voter, ont primé les photos suivantes :

     1er prix du public et des professionnels LaurenceD

    paris,photos

    2è prix du public et des professionnels MarieD

    paris,photos

    3è prix du public Nico

    paris,photos

    3è prix des professionnels Marie-Andrée

    paris,photos

    Jeanet

  • L'Épiphanie

    Toutes les occasions sont bonnes pour se retrouver et bien commencer l'année. Ce jour en est une parmi tant d'autres. De nombreux adhérents sont venus afin de partager ce plaisir. Chacun apporte sa bonne humeur.

    L'accueil chaleureux de nos hôtesses nous réchauffe des frimas de la rue. Chacune s'affaire à installer une jolie table. Pour l'instant il y a seulement quelques assiettes garnies de mises en bouche à déguster avec les yeux, Il faut savoir attendre.

    Afin de nous faire patienter, Jean Paul veut tout nous dire ou presque, sur le second empire, sans oublier les fantaisies de Napoléon lll. Alors, tendons l'oreille. Est-ce le parfum des galettes ou les grands chantiers de Paris conduits par le baron Haussman, de nouveaux invités se joignent à nous, apportant quelques bouteilles. Soyez les bienvenus.

    Mais avant les douceurs du jour nous allons savoir qui sont les élus du concours photo. Tous les participants sont gagnants même s'ils ne sont pas nommés officiellement. Gagnants pour s'être levés tôt par tous les temps les dimanches matin afin de jouer le jeu, gagnants pour savoir observer, transmettre ses impressions par l'image avec originalité, curiosité.

    Partons donc en balade avec eux. Après s'être arrêtés au mémorial pour la paix, nous découvrons la tour Eiffel, un soir sous un ciel flamboyant, après être vue de loin depuis le pont d'Iéna, puis la voilà derrière les herbes folles, ceci après avoir montré ses dessous. Plus loin, un piéton poursuivi par son ombre, se dirige vers les réverbères du pont Alexandre lll. Ce flâneur, curieux de tout, va d'un bon pas vers le jardin du Luxembourg où il ne trouve que deux chaises vides en attente posées sur un sol couvert de feuilles aux tons chauds. Comme rien ne l'arrête, il emprunte une rue inondée en sens interdit. Peu importe, il poursuit son chemin en passant par la promenade plantée. Derrière les feuillages, quel est donc cet oiseau qui le scrute d'un mauvais œil ? Une chauve-souris, mais non, illusion, il ne fait pas déjà nuit. Il cueillerait bien quelques dahlias pour sa belle, mais il ne veut pas effrayer un superbe papillon posé là à se pavaner au soleil. Fatigué, notre promeneur est sauvé en croisant une station de vélib. Il enfourche un engin et se dirige vers le parc de Belleville. Surpris par le Street-art de ce quartier, il escalade les quelques marches. Là, il s'appuie près d'un tronc d'arbre. Au loin, un arc en ciel illumine sa journée. Il reste là jusqu'à ce que la nuit tombe. Sur les toits de Paris les cheminées dominent. Demain il partira dans la vallée du Lot, son havre de paix. Il n'est déjà plus là...

    Il n'est plus là notre promeneur, mais les invités sont dans la salle. De nouveaux adhérents font connaissance entre deux parts de galette. Les plus anciens sont heureux de se retrouver afin de discuter, échanger. En cours d'année ils se croisent sans se rencontrer.

    Le bar est ouvert et bien garni, il y a même une réserve sur la terrasse. Jeannette a du mal à suivre. Pas étonnant, il y a de la demande. Les galettes sont très bonnes. Comme il y a autant de fèves, il y a autant de reines qui, d'ailleurs, ne se manifestent pas étant donné qu'il y a peu de rois (mages).

    Ce dimanche de Janvier est une belle journée. Merci aux organisatrices (eurs).

    AnnickD

  • La galette

    paris,epiphanieLes Rois ? Ah ! Non ! En ce jour c'est plutôt l'Empereur Napoléon III que nous avons fêté, car nous avions passé préalablement un moment à remonter le temps, celui des évènements du Second Empire !

    Nos couronnes n'étaient pas semblables à celles de Louis Napoléon ni d'Eugénie, composées de feuillages d'or ciselés alternés de têtes d'oiseaux et d'émeraudes entre autres, ni cette réunion comparable au faste des fêtes impériales, car sans la présence de Manet ou Winterhalter pour immortaliser de leurs pinceaux nos belles toilettes sans crinolines, ou le long buffet garni de ses nombreux plats de pâtisseries à en faire craquer nos corsets, nous avions tout de même, quelques photographes à l'affût peut-être agités par l'envie de se présenter au prochain concours, émoustillés, par la remise des prix aux quatre gagnantes de la dernière exposition !

    paris,epiphanie2017 a donc bien commencé par cet amical goûter, où nous avons battu le record de participants "bien stylés". Merci de l'aide spontanée apportée pour le rangement de la salle, ainsi que pour votre soin en général, car étonnamment, le balai n'a même pas eu la chance d'être sollicité !

    Bien triste de terminer un tel après-midi par ce funeste détail, mais je n'oublie pas de dire combien il est agréable de "mener Salon" si populaire soit-il, quand il est apprécié ! J'oserai ajouter : alors, rendez-vous à la prochaine invitation !

    Ninette

  • Le Réveillon

    Le "Pataquès" nous accueillait
    Pour passer la dernière soirée
    De cette année écoulée,
    Et celle qui débutait,
    Entre amis, se réunir
    Et ainsi se réjouir.

    Après un bon dîner,
    Aux petits plats cuisinés,
    Aisément pouvoir danser
    Sur des rythmes variés,
    Une piste sans cesse occupée
    D'amateurs enjoués,
    Et sans interruption, jusqu'au moment
    Fatidique, annonçant le changement.

    Aux dernières minutes comptées
    En chœur, à minuit sonné
    Toutes les bises distribuées
    Des vœux à gogo donnés,
    Et sans se faire prier
    Le champagne à déguster.

    paris,rréveillon

     

     

     

     

     

     

     

    Bonne ambiance assurée
    Pour cette St-Sylvestre,
    Déjà des souvenirs nous restent
    De ce 1er de l'An, au Pataquès !

    Ninette

  • Bienvenue à bord de l'année 2017

    Des sourires, pour chasser la tristesse,
    De l’audace, pour que les choses ne restent jamais en place,
    De la confiance, pour faire disparaître les doutes,
    Des arcs en ciel, pour colorer les idées noires,
    Des gourmandises, pour croquer la vie,
    Du réconfort, pour adoucir les jours difficiles,
    De la générosité, pour le plaisir de partager,

    paris,2017

     

     

     

  • Buche de Noël

    En cette fin d'année, nous vous proposons une recette "spécial Noël" pour préparer une bûche de la paix. Cette recette est facile à réaliser. Les débutants peuvent se lancer.

    Prendre un saladier
    Y mettre une cuillère à soupe d'accueil.
    Casser dessus une demi-douzaine de bonjour, de s'il vous plait, de merci, d'au revoir...
    Mélanger le tout avec votre spatule de sourire.
    Ajouter un peu de parole et beaucoup d'écoute.
    À ce moment, introduire délicatement quelques grammes de levain d'amour.
    Laisser reposer un bon moment.
    Détendre ensuite la pâte avec un demi litre d'aide et un demi litre de soutien.
    Bien mélanger.
    Ajouter ce qu'il faut de tolérance pour rendre votre pâte homogène.
    Mettre à four chaud en surveillant avec attention.
    Si en gonflant, le contenu déborde du plat.
    Piquer avec une bonne dose de pardon.
    Quand votre pâte vous parait bien cuite
    Roulez-là sur une toile de tendresse
    Puis la remplir d'une crème de calme et de sérénité...
    Saupoudrez d'une pincée d'humour et de compassion.
    Votre bûche de Noël est maintenant prête à être partagée
    Avec tous ceux qui sont autour de vous.