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Méli-mélo - Page 15

  • 16ème Vide-Greniers Arvem

    Comment éviter de me répéter sur le sujet 2 fois par an, craignant de vous lasser... Donc voilà !

    AVANT

    (Ayant écouté et résumé la conférence sur Proust et Duras, je me sens pousser des ailes... Alors je prends mon envol... Quant à l'atterrissage ?)

    Comme d'habitude nous nous préparâmes assez tôt pour trier, vérifier et assumer l'emballage de toutes "ces merveilles" à vanter afin que nous nous débarrassassions et chaleureusement encombrions des volontaires avertis, encouragés par nos arguments enjolivés de termes fleuris.

    Si les années antérieures des affaires ils eurent faites, sûr... Ils empilèrent et réempileront encore une fois. Pour nous, c'est déjà la 16eme édition de l'obsession à faire du vide !

    Alors que vous aussi fûtes autrefois également présents fidèles exposants assidus à cet évènement, comment se pouvait-il que vous ne revinssiez pas ?

    Le moral, vous l'eûtes et il ne vous quitta point. Revivre ce que vous vécûtes, des moments fussent-ils joyeux, fatigants, énervants, rarement désespérés, avouez-le s'avérèrent nullement un obstacle.

    N'est-ce pas votre opinion ? S'activer, gesticuler, parlementer sous les arbres, quoi de mieux pour la santé ?

    Convaincus que vous passerez encore de bons instants, vous attendez, j'en suis presque certaine, déjà le 17eme.

    APRÈS

    Je continue ma prose dans le même vent, pour une descente de choc sans parachute, avant de me poser et reprendre mes esprits, afin que je vous racontasse ce nouvel épisode.

    N'avais-je point raison ? Il fallut bien que nous nous retrouvassions en ce jour favorable au déballage, enthousiastes après cette série d'orages que nous connûmes les jours précédents, car dès le petit matin, l'astre solaire encourageait l'installation de chacun avec sérieux... Que je retrouve finalement.

    Comme toujours, beaucoup de succès côté participants, mais la constatation unanime est celle d'un public moins nombreux, et surtout moins enclin à lâcher "les pépettes". Le refrain général entendu par-ci, par-là :
    - 1€ ? – NON 3 € ! - Ah non ! 1€ !
    Et hop, l'objet déjà remisé sous le bras de l'acheteuse et la piécette donnée d'office au vendeur.

    Donc un vide-greniers plutôt calme, mais agréable par ses contacts nouveaux de badauds de tous âges, des échanges de propos, le plaisir de voir enfin quelques acquisitions se faire.

    Mais aussi de fabuleux conseils à recevoir avec grand étonnement comme celui, entre-autre de vendre plus cher ce qui aux yeux du "client connaisseur" a de la valeur.

    Si quelques petites gouttes sont venues nous taquiner, le temps de placer les bâches, histoire de voir un chineur (un habitué de mon rayon littéraire) tout en poursuivant la conversation, se glisser tout le haut du corps en dessous pour chercher le bouquin souhaité, sous les regards interloqués de ses 3 bambins, ressortant tout échevelé et gentiment m'aider à relever et plier le plastique à peine humide.

    Trop drôle, c'est aussi cela qu'offre cet évènement, des situations curieuses, de la spontanéité, de l'inattendu.

    parisAlors que le soleil déclinait, mais caressait les livres que je rangeais, une passante soudain s'écria figée sur place: "regardez, oh ! Regardez" !… Un joli papillon aux couleurs vives s'était posé sur les livres classés. Était-ce ce même papillon qui curieusement la veille, dans mon jardin favori de quartier m'avait narguée ?

    Puis soudain il se réfugia sur les fleurs de mon chapeau. Je voyais bouger ses ailes dans l'ombre portée sur le mur, hésitant de nouveau revint sur mes paquets comme pour se chauffer dans un dernier rayon, je n'osais plus remballer, ni faire un geste.

    Il était tellement calme qu'il nous montrait probablement les dernières heures de sa vie. Délicatement Jean-Paul aidé d'un souffle léger l'a fait s'envoler, comme dans un ultime effort. C'est la dernière douce image romantique que je garde d'un vide-greniers... à Paris !

    Ninette

  • Bonne franquette "La fête du printemps"

    parisMarquée par la recherche de tenues plus légères, colorées, des Dames, le port de fleurs par-ci par-là, même sur les Messieurs, nous étions heureux de nous retrouver autour du buffet et d'en apprécier les bons plats "faits maison". Bravo aux divers cordons bleus, qui encore une fois, ont gravi les échelons... À quand la toque ?

    Mais aussi un petit mot de " Pâquerette"

    Quel destin pour la réelle fleurette
    Attirante par sa blanche collerette !
    Il n'est tout de même pas banal
    De tirer sur ses pétales,
    Pour mesurer quelque peu
    Les sentiments amoureux !

    Sûr, vous connaissez la tradition
    Car sans hésitation,
    Peut-être l'avez-vous un jour
    Doutant d'un incertain amour,
    Effeuillée, passivement
    Un peu, beaucoup, passionnément ?....

    paris  paris

    La "Pâquerette" du jour heureusement
    A échappé à ce tourment.
    Comme la petite fleur du printemps
    Le vert gazon, est ravie d'égayer,
    La "factice" nullement martyrisée,
    Grâce à Vous, était récompensée.

    Elle Vous remercie pour votre participation
    À sa grande satisfaction,
    Espère cependant votre pardon
    Pour les moments de dérision,
    Durant lesquels a été sollicité
    Votre bonne volonté.

    Propageant la bonne humeur,
    Sous son crépon, battait fort son cœur
    Afin d'essayer que cette journée,
    Se passe dans la gaité,
    Sans aucune prétention
    Telle était vraiment son intention.

    Ninette

  • Théâtre "Court sucré ou long sans sucre"

    paris,théâtreComédie de la Bastille - 5 Rue Nicolas Appert 75011 Paris

    Une comédie de Sylvie Audcoeur, David Basant, Bruno Chapelle et Olivier Yeni. Mise en scène de Jean-Luc Moreau, assisté d'Anne Poirier Busson.

    Les auteurs que sont aussi les acteurs savent de quoi ils parlent, sur quoi ils "jouent" : deux d'entre eux gagnent leur vie en partie dans l'entreprise. L'un dirige une agence de "communication parlée". L'autre est coach de dirigeants.

    Et l'énormité de la charge rejoignant nos critiques du libéralisme, faisant tourner à la farce ce qui pourrait être une tragédie - l'est souvent dans la réalité - noie nos griefs et nos craintes dans une tempête de rire : on rit tout au long, dans la connivence et le soulagement.

    Plus que le texte c'est l'art des comédiens - particulièrement celui de Bruno Chapelle dont le jeu fin et complexe, gestuel comme de physionomie, en rajoute continuement par rapport aux répliques - qui maintient constamment la pièce, sur un rythme endiablé, au niveau de la caricature. Tout y est : la "tueuse" qui croit mener son monde à la baguette jusqu'à ce qu'elle soit balayée elle-même par le plus insignifiant et le moins dangereux (semble-t-il) de tous ; les coucheries affairistes sans amour et les mensonges afférents aux légitimes comme aux "extras", et le parasite méprisé qui à force de souplesse, veule et obstiné, réussit à tirer son épingle du jeu.

    La réussite tient à ce que l'écueil de la vulgarité est évité jusque dans les séquences les plus lestes par le grossissement-même. On pourrait sans doute se passer de la "nymphomanie" de la dirigeante qui vers la fin menace de nous détourner de la satire essentielle. Reste que c'est une belle réussite, gaie et intelligente, deux dimensions de la vie sociale comme culturelle qui manquent quelque peu actuellement.

    Marie-Claire C

  • Le goûter festif de la chandeleur

    Les poisons ne nous ont même pas effrayés !

    parisparisparis

     

     

     

     

     

     

     

    Pour ne pas rester sur "un goût douteux" la tentation étant la plus forte, c'est dans un élan spontané que les saveurs offertes à nous, ont trouvé leurs destinataires !

    paris

    Crêpes, beignets, bugnes, maison ou non ont eu leur succès comme d'habitude. Merci à vous d'avoir fait honneur à notre table. Merci à celles et ceux qui, à la force du poignet, ont su charmer nos papilles !

    Ninette

  • Théâtre "Court sucré ou long sans sucre ?"

    Quel bonheur ! Comparable à Feydeau !

    Pour être sucrée, cette pièce* est un délice ! Dégustée avec gourmandise, je n'étais pas rassasiée après 1h30 de situations de plus en plus drôles, déchaînant rires et fous rires devant l'énergie déployée par des comédiens époustouflants qui trouvent la force de garder leur sérieux, alors que les spectateurs hilares, souhaitent presque qu'ils se soulagent, tellement cette comédie est irrésistible.

    Quel bienfait ! Pourquoi fallait-il qu'elle s'arrête ? Bravo à tous, des créateurs aux acteurs.

    Ils méritent vraiment une grande scène, pour faire profiter à un plus large public leur bonne humeur contagieuse

    Ninette

    Comédie Bastille

  • A night to remember

    Une soirée très sympathique comme ARVEM sait en dénicher.

    D'abord à l'entame (mais c'était pas une soirée jeux !), accueillis par un cocktail (boire et manger) copieux et original (pas une cacahuète sur les tables, mais des verrines variées, des feuilletés au fromage, au thon, à la saucisse... en veux-tu en voilà..).

    Puis on passait dans la salle (dommage, remplie aux 1/3 des 200 places) pour entendre des chanteuses de bon niveau (lyrique, variété, soul-jazz...).

    À l'entracte, re-belote (mais c'était pas une soirée jeux ! ) ... à boire et à manger....

    Et en 2ème partie, un trio d'Amérique du sud qui enchanta la salle et fit remonter sur scène tous les participants pour un final endiablé..... Les spectateurs ne tenaient plus en place et une grande majorité (les plus jeunes... dans leur tête surement, mais peut-être aussi les moins arthrosiques) se mirent à danser !!!

    Puis, que croyez-vous qu'il se passa ? Eh! bien oui, pour le 10 de der (mais c'était pas une soirée jeux !) on eut droit à boire et à manger.... salé et sucré !!!! Et tout ça pour 20€ !!!!

    Dommage que certains amis arvemois/oises, co-frustrés récents de cacahuètes n'étaient pas parmi nous.

    Merci ARVEM pour cette soirée.

    Jean O.

  • Réveillon au "Bella Tavola"

    Belle te voilà ? Non ! "Bella, Bellissima" Vous voilà !.....

    Les dames d'Arvem ont sorti paillettes, strass, tenues brillantes, accessoires fantaisies, "le petit plus de fête", le cœur léger afin de passer le cap de la nouvelle année en beauté !

    Le vaste endroit réservé s'est vite investi, chacun libre de choisir sa place, 55 personnes.... pas simple de les regrouper. Ce sont les arrivées les plus tardives qui sont placées quelque peu éloignées, mais soignées d'égale façon.

    Le service aimable et rapide, ne laisse pas nos appétits en souffrance, lorsqu'une jeune danseuse lance l'animation.

    parisSur scène, trois belles jeunes femmes nous feront des démonstrations de danses diverses, plutôt exotiques, changeant de costumes, de plus en plus dénudés, dévoilant des corps bien moulés (À laisser baba la gente masculine qui ne s'attendait pas à ces attractions affriolantes).

    Déjà la technique est celle essentiellement d'onduler et de gesticuler copieusement sur un rythme d'enfer. Bras, torses, bassins, jambes et on remonte, genoux, ventres, épaules, cous, têtes ont le tournis. Mais...... Lire la suite >>>